Citations du moment :
«Il était tellement obsédé qu’à la fin il sautait même des repas.»
[ Pierre Desproges ]
Imagine

A quoi ressemble une soirée avec l'être aimé chez Sam Carter : Chapitre 1


ENFIN ! Jack avait  eu le courage d'inviter son colonel à dîner. Après deux jours de réflexion (eh oui, Sam doit toujours réfléchir avant de prendre une décision ), elle décida d'accepter. Rendez- vous fut pris ce Vendredi : 20h30 chez elle.

Durant toute la journée du vendredi, Sam ne tenait plus en place, elle ne pensait qu'a cette soirée. Préoccupée par ses pensées, elle n'arrivait pas à travailler. Ceci ne passa pas inaperçu auprés de ses collègues et amis : Daniel, Teal'c et Janet (non ici elle n'est pas morte). Daniel voulant connaître ce qui préoccupait tant son amie, la persécuta toute la journée. Mais Sam état une militaire tenance aux tortures :elle ne dit rien ! Daniel voyant que son amie ne parlerait pas, décida d'employer un moyen plus malin (pour une fois) pour arriver à ses fins. Il s'adressa à Janet. Ni une ni deux, après la visite de Danny Boy, celle-ci courut parler à Sam dans son labo.
Au bout d'une heure, Sam craqua et dit à son amie qu'elle mangeait avec Jack le soir même. Janet était tellement perspicace, qu'elle optient la parole de Sam d'avoir le récit complet de la soirée.
Dimanche 9 h Sam appelle Janet.
Hello Janet
J : Hello Sam, dèjà réveillée !  Alors cette soirée romantique ?
Sam : Ah la soirée
J : Cela s'est mal passé Sam ?
S : On ne peux pas dire vraiment cela 
J : Ben alors quoi ? Racontes tout depuis le début
S : Le général est arrivé avec une demie heure de retard, il m'a dit qu'il avait cherché un raccourci qu'il n'a jamais trouvé. (Cela vous dit-il quelque chose ?  ).
J : Tu ne devrais pas être étonnée, cela lui arrive tout le temps. Bon ensuite.
S : Nous sommes ensuite allés dans ce nouveau resto français "La belle cuisse". Jack était très bea : pantalon à pinces avec une superbe chemise rose. Moi, je portais une robe sexy décolletée, rouge. Le resto était chic et cher, la nourriture était délicieuse, le dîner aux chandelles, le cadre romantique. 
J : A part le retard, tout était bien donc ?
S : C'est après que cela s'est gâté. Le général m'a ramené chez moi, je lui est proposé de venir prendre un dernier verre. Nous sommes entrés, regardés, embrassés, puis nous sommes montés dans la chambre......
Janet n'y tenant plus : Et alors ?
S : Le désir montant, non avons commencés a ...., enfin du comprends ?
Janet : Ok je vois très bien
Sam : Au moment fatidique, je lui ai demandé de se protéger. Il m'a répondu c'est normal et est parti comme un fou chercher l'objet dans son portefeuille. Après quelque secondes, je l'ai entendu hurler au premier étage "Mais c'est pas vrai, elles sont périmées". Je suis descendu pour le rejoindre. N'en n'ayant pas chez moi non plus, il m'a dit qu'il allait en acheter dans une pharmacie. J'ai dit Ok, il ne devait pas en avoir pour longtemps, normalement.
Janet : Et cela n'a pas était le cas ?
Sam : J'ai attendu plusieurs heures, morte d'inquiètude, ne pouvant pas l'appeller car il avait laissé son portable ici. Quatre heures plus tard le téléphone a sonné. C'était le poste de police.
Janet :  ...
Sam : Ils m'appelaient pour Jack. Celui-ci s'était fait arrêter pour dégradation et vol.
Janet : Dégradation, vol ?
Sam : Oui, Jack était en train de voler le distributeur d'une pharmacie quand la police l'a arrêté.
Janet : Pourquoi a t'il fait cela ?
Sam : Les policiers m'ont dit que Jack leur avait expliqué qu'il avait silloné toute la ville durant deux heures, mais que tous les distributeurs étaient vides. Il avait enfin trouvé celui-ci, mais quand il a mit 2 $, le distributeur ne lui a pas donné le dernier paquet. Le général s'est alors énervé sur l'appareil pour récupérer l'objet tant désiré. Voyant que les coups ne suffisaient pas, il a arraché la machine du mur et pensait l'emmener chez lui pour l'ouvrir de force. Les policiers sont alors arrivés. Ils lui ont repris le matèriel dérobé (qu'il venait de mettre dans sa voiture) et lui ont demandé la raison d'une telle violence.
Janet : Qu't-il répondu ?
Sam : Que Thor n'était jamais là quand il le fallait et qu'il avait dû trouver rapidement une solution. Que son colonel et lui attendaient depuis huit ans et deux heures de trop. De plus, ce n'était pas une simple machine terrienne qui allait l'empêcher de "fraterniser" avec son second. Les policiers le prenant pour un individu dérangé on appelé un spychiatre de garde . Après entretien, celui a fait interner le général, qui selon lui était dans un état "de nervosité et d'impatience inaproprié" pour la simple envie de passer la nuit avec un autre homme (ce ne peut être qu'un homme puisque l'autre est un colonel  .
Janet : Mais où est-il maintenant ?
Sam : Il est dans son lit, il dort. Le médeçin m'a dit qu'il en avait pour deux jours. Il a forcé sur la dose de tranquilissant quand le général lui a dit qu'aucun serpent ni "tortionnaire en blousse blanche" ne pourrait l'empêcher d'arriver à ses fins.
Janet : Eh bien quelle histoire ! Elle entendit un autre téléphone sonné.
Sam : Attends je répond, c'est Jack.
Deux minutes plus tard.
Sam : Janet je dois partir, jack s'est réveillé. Je le rejoints dans 20 mns, mais avant j'ai un achat essentiel à faire. Elle raccrocha.
Janet : 


Moralité de cette histoire : Le date limite de consommation n'est pas uniquement importante que pour les yaourts ! 

 
 
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