Citations du moment :
Le moment le plus important c'est le présent car si on ne s'occupe pas de son présent on manque son futur.
[Bernard Werber]
Imagine

Kidnapping : Chapitre 1

Kidnapping

_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-

 

Le téléphone portable de Jack se mit à sonner.
J : O’Neill j’écoute…… Quoi ? C’est pas vrai……

 

Jack raccrocha et se mis face à Sam.

 

J : C’était Daniel ! Il arrive demain à neuf heures au lieu de midi !
S : (riant) C’est pour ça que vous êtes énervé ?
J : Oui ( ben il lui en faut peu lui ! lol)
W : Pourquoi ?
J : Parce qu’il va à une conférence d’archéologie aura et par conséquent comme il ne te connaît pas il va te parler sans cesse de ça ! Et ça va m’énerver !
W : (riant) Ah d’accord je comprends mieux !
J : Bon on va se le faire ce shopping ou quoi ?
S : ok c’est parti !

 

Et ils montèrent tous les trois dans la voiture de Jack. Ils passèrent tout le reste de la journée à faire du shopping dans le centre commercial de Minneapolis. Samantha avait acheté des cadeaux pour Cassandra et Wylie. Wil, elle s’était acheté des habits et un cadeau pour Cassandra, même si elle ne la connaissait pas encore. Jack quant à lui avait acheté plusieurs cadeaux pour Cassy et Wil, et même pour Janet et Samantha. Le soir vers dix heures, après avoir mangé dans un restaurant, ils rentrèrent au chalet, tellement ils étaient fatigués et allèrent se coucher. Vers trois heures du matin, Jack qui avait du mal à s’endormir se leva et alla sur le ponton du lac. Sam s’y trouvait déjà. Il s’approcha d’elle et s’assit à ses côtés.

 

S: Mon colonel?
J: Jack!
S: Pardon, Jack?
J: Oui c’est moi.
S : Vous n’arrivez pas à dormir ?
J : Oui et vous ?
S : Pareil.

 

Ils regardèrent tous les deux le ciel puis au bout d’un moment Sam sembla émerger de ses pensées.

 

S: Jack?
J: Oui.
S: Si le règlement n’existait pas, vous pensez qu’on serait ensemble?
J : (troublé) Pardon Sam ?
S : Je veux dire nous sommes très liés n’est-ce pas ?
J : Oui sans doute.
S : Plus que l’on ne devrait.
J : Oui.
S : Et bien si le règlement n’existait pas on serait sans doute ensemble. Non ?
J : Oui je crois.

 

Ils se regardèrent dans les yeux et leurs visages se rapprochèrent et ils s’embrassèrent avec passion.

 

S : Je t’aime Jack.
J : Moi aussi je t’aime ma Sam.

 

Le lendemain Sam se réveilla dans le lit de Jack ayant juste un drap pour la couvrir. Elle se retourna et vit Jack qui dormait silencieusement. Elle se leva, alors, et alla dans la salle de bain pour s’habiller. Elle descendit ensuite dans la cuisine et y trouva Wylie.

 

W : Alors ?
S : Alors quoi ?
W : Cette nuit ?
S : Quoi cette nuit ?
W : C’était bien.
S : Mais qu’est ce que tu racontes ? ( dialogue de sourd ! lol)
W : Oh ! Arrête maman pas à moi ! Je vous ai vu hier monter ensemble dans la chambre de Jack. Et ce matin c’est de sa chambre dont tu es sortie !
S : Oui tu as raison !

 

A ce moment là Jack descendit les escaliers et entendit la dernière phrase de Sam. Il alla se mettre sur un tabouret à côté de cette dernière.

 

J : En quoi Wil a-t-elle raison ?
S : En ça…

 

Sam embrassa tendrement Jack.

 

J : Hein ?
S : Wil nous a vu.
J : Quoi faire ?
W : Aller dans ta chambre.
J : Ah !
S : C’est bon elle ne le dira à personne. C’est ma fille.
W : Oui Jack ne t’en fait pas.
J : Mais je ne m’en fais pas du tout !
W : Dans ce cas on peut manger moi j’ai faim !

 

Jack commença à faire des œufs brouillés quand quelqu’un frappa à la porte.

 

J : C’est pas vrai, jamais tranquille.
S : C’est bon ne t’énerve pas j’y vais.

 

Et elle se dirigea vers la porte et l’ouvrit.

 

S : Daniel !
Daniel : Sam !
S : Salut ça va ?
D : Oui.
S : Entre.
D : Tu es toute seule ?
S : Non, non. Le colonel est dans la cuisine.
D: Ah ok!

 

Les deux amis se dirigèrent donc vers la cuisine où Jack et Wylie s’amusaient à faire une bataille avec des grains de riz. Quand Daniel et Sam entrèrent le colonel et Wylie s’arrêtèrent comme deux gamins pris en faute. Sam lança alors un regard noir au colonel.

 

S: Mon colonel! Wil!
J: Major! Daniel!
D: Jack! Et … ?

 

Depuis son arrivée dans la cuisine Daniel regardait Wylie sans comprendre qui elle était. Peut-être était-ce une amie de Cassy se demandait-il.

 

S : Wylie.
D : Wylie ?
J : C’est Wylie !
D : Wylie ?
S : Oui Wylie.
J : Elle s’appelle Wylie.
D : Mais qui est-ce cette Wylie ?
J : Ben c’est Wylie.
S: Oui c’est Wylie. ( waouh ! le dialogue de la mort ! heu c’est pas Wylie par hasard son nom ! lol ! Ah c’est pas drôle ? oki j’me casse…)
W : (très énervée) Bon c’est pas bientôt fini ! On a compris, je m’appelle Wylie. Et même Wylie Samantha Johnie Carter si ça vous chante ! Et pour faire court à vos stupidités je suis la fille  de Samantha Elizabeth Carter ! Bon voilà maintenant c’est compris !

 

Tout le monde regarda Wil avec de grands yeux. Ils étaient étonnés par la subite prise de parole de cette dernière. Au bout de quelques minutes Daniel pris la parole.

 

D : La fille de…
S : Oui c’est ma fille.
D : Mais comment ?
W : de la façon la plus naturelle qui soit.
J : Raa ! C’est ce que j’allais dire !
D : (ne comprenant rien) Mais qui est son père ?
S : Heu…
J : Question piège !
S : Vous ne voulez pas qu’on en parle autour du petit déjeuner !

 

Ils s’attablèrent tout les quatre et se mirent à manger. Sam expliqua toute l’histoire à Daniel avec l’aide du colonel et sa fille. Daniel n’en croyait pas ses oreilles. Il demanda à plusieurs reprises si ce n’était pas une blague. Mais il du se résoudre à croire que c’était la vérité.
Un peu plus tard dans la matinée, Janet et Cassandra arrivèrent chez Jack. Elles s’installèrent et Sam leur présenta Wylie en leur racontant toute l’histoire. Au début elles crurent comme Daniel que c’était une farce, puis elles changèrent vite d’avis en voyant les quatre têtes qui arboraient un air très sérieux autour d’elles.
La fin de la journée se passa bien. Le soir tout le monde alla se coucher, chacun dans leur chambre. Jack et Sam avaient décidé d'un  commun accord de ne pas se voir avant que Daniel, Janet et Cassy.
Le lendemain matin Jack et Wylie se levèrent en premier vers huit heures du matin. Ils prirent tout les deux le petit déjeuner calmement. Mais comme depuis trois jours maintenant celui-ci dégénéra et les deux concernés se retrouvèrent dans le lac tout habillé. ( de vrais gamins !)Ils s’éclaboussèrent pendant quelques minutes. Mais il n’était à peine que huit heures et demi et bien que ce soit l’été, il faisait un peu frisquet. Jack et Wil sortirent de l’eau. Quand ils arrivèrent dans la cuisine, les quatre autres personnes étaient en train de petit déjeunés et les regardèrent étonnés quand ils les virent tremper. Sam avec un large sourire fit mine de s’énerver.

 

S : Mais c’est pas vrai tout les deux ! Toujours en train de faire des bêtises. On peut pas vous laisser deux minutes.
W : Mais…
S : Il n’y a pas de mais ! Allez vous changer.
W : (avec un sourire aussi grand que celui de sa mère) D’accord maman.
J : (avec le sourire) D’accord maman.

 

Jack s’éloigna avec Wylie et alla se changer pour mettre des habits secs. Pendant ce temps là dans la cuisine.

 

D : Ils ont l’air de bien s’entendre tout le deux !
S : Quoi ? Le colonel et Wylie ?
D : Oui.
Janet : Oui moi aussi je me disais la même chose en les voyant.
S : Oui j’ai remarqué. Mais le colonel a toujours était proche des enfants.
Cassandra : Ca c’est vrai !

 

Après cette conversation le reste de la journée se passa dans la plus grande amitié. Le soir venu, Janet et Sam mirent la table pour l’anniversaire de Cassandra et Wylie. La soirée se passa bien. Cassy reçu une paire de boucles d’oreilles et un collier de la part de Jack, une magnifique robe de la part de Janet, un livre de médecine de la part de Daniel et un diskman de la part de Samantha. Wylie, elle, eu un téléphone portable par sa mère et un beau stylo avec une paire de boucles d’oreilles de la part de Jack.
Vers dix heures du soir, tout le monde alla se coucher.
Le lendemain matin Janet et Cassandra partirent, et Daniel, lui partit en début d’après midi. Le reste de la journée Jack, Sam et Wylie partir faire une promenade dans la petite forêt qui se trouvait près du lac de Jack. La discussion allait bon train.

 

W : Alors comme ça vous travaillez dans les satellites ?
S : Oui c’est ça.
W : Je sais pas pourquoi mais je ne vous crois pas. Vous faîtes quoi au juste ?
J : Mais tu es bien curieuse dis donc !
W : Ah je vois c’est du genre top secret c’est ça ?
S : Heu…
J : Mais de quoi je me mêle !
W : De ce qui ne me regarde pas, je sais !

 

Wylie découragée partit seule en direction du chalet  laissant Sam et Jack seuls.

 

S : désolée pour son impertinence !
J : Pas grave ! Elle aimerait bien savoir ce que fait sa mère. C’est normal pour une enfant de son âge.
S : C’est vrai tu as raison.

 

Sam frissonna de froid.

 

S : On peut rentrer, je commence à avoir froid.
J : (avec un grand sourire) A vos ordres !

 

Ils se mirent à faire une course jusqu’à la maison. Sam arriva en première. Il était à présent neuf heures. Elle entra dans le chalet et y découvrit Wylie endormie sur le canapé. Elle était enveloppée dans une couverture et avait allumé le feu dans la cheminée. A ce moment là, le colonel arriva.

 

J : hé Sam ! Tu aurais pu m’attendre, je n’ai plus vingt…
S : Chut !

 

Jack se tut et vint se placer près de Samantha. Il vit, alors, Wylie. Il prit Sam par la main et l’emmena dans sa chambre.
Le reste des vacances se passa dans la plus grande joie. Jack, Sam et Wil se rapprochaient. On aurait dit une famille.
Les vacances finies, chacun rentrèrent de leur côté. Wylie et Sam chez cette dernière et Jack chez lui. Sam et Jack avaient décidé en commun accord de se voir en cachette.
Les missions s’enchaînaient et Sam et Jack se voyaient très fréquemment. C’en était au point que Jack n’était pas rentré chez lui depuis quatre jours. Cela faisait deux semaines déjà qu’ils étaient rentrés de vacances. Deux semaines ! Sam avait l’impression que cela faisait deux mois ! Elle se sentait fatigué. Et puis en ce moment elle commençait à avoir des nausées. Elle décida donc d’aller voir  le médecin, en l’occurrence Janet.
Arrivée à l’infirmerie, Janet l’accueillit et lui donna quelque médicament. Puis Sam alla en direction de son bureau, où elle y travailla pendant vingt heures d’affiler.
Après ces vingt heures a travaillé sur le même objet, Sam s’assit quelques instants. Jack arriva à ce moment là et s’installa sur une chaise à côté d’elle.

 

J : Salut !
S : Salut !
J : Tu fais quoi ?
S : (avec un sourire) Tu es sûr de vouloir que je t’explique que je fais ?

 

Jack fit mine de réfléchir quelque instants, puis répondit.

 

J : Tout bien réfléchis non !

 

Samantha se mit à rire. Mais s’arrêta presque immédiatement. Tout tournait autour d’elle. Elle ne voyait plus très nettement Jack. Elle mit ses bras en avant pour essayer de s’accrocher à quelque chose. Elle appela Jack une dernière fois avant de tomber dans l’inconscience. Le colonel la transporta à l’infirmerie.
Quand elle se réveilla, Samantha se trouvait à l’infirmerie et Janet et Jack discutait près de son lit.

 

S : (à moitié endormie) … Janet ?

 

Janet se retourna, pour se retrouver face à elle.

 

Ja : Alors comment ça va ?
S : J’ai un peu la tête qui tourne. Qu’est ce que j’ai ?
Ja : Rien tu as juste eu une baisse de tension. (Se retournant vers Jack) Mon colonel, j’aimerais que vous sortiez je dois examiner le major.

 

Jack sortit de la pièce laissant les deux femmes seules.

 

S : Janet pourquoi veux tu me faire faire d’autres examens.
Ja : En réalité j’ai déjà fait tous les tests nécessaires.
S : Dans ce cas pourquoi avoir dire au colonel de partir ?
Ja : Et bien… Voila vous êtes enceinte !
S : Qu… Quoi ?

 

Samantha eu du mal à se remettre de la nouvelle. Elle remercia Janet, et partit de l’infirmerie. Dans les couloirs elle croisa Jack.

 

J : Sam est-ce que ça va ?
S : (préoccupée) Oui, oui.
J : Où vas-tu ?
S : Je rentre chez moi j’ai promis à Wylie qu’on passerai une soirée entre fille.
J : Ah je vois. Ce n’est donc pas la peine de te demander si on se voit ce soir ?
S : Non désolée Jack. Mais je n’ai pas vraiment eu le temps de discuter vraiment avec ma fille.
J : Je comprends très bien Sam.
S : Bon je dois y aller. Excuse moi encore une fois.
J : D’accord à demain alors.
S : A demain Jack.

 

Sur ces derniers mots elle partit. Jack la regarda partir, en se disant qu’il avait de la chance d’avoir rencontré une femme comme ça. Instinctivement, il serra le mouchoir qui était dans sa poche.
Quand Sam se gara devant chez elle, elle s’étonna de ne voir aucune lumière allumée. Pourtant Wylie devait être rentrée depuis au moins trois heures. Elle descendit de sa voiture et se dirigea vers la porte d’entrée.

 

S : (en entrant dans la maison) Wylie tu es là ?

 

Sam avança dans le hall et alluma la lumière. Il n’y avait personne. Elle entra alors dans le salon. A peine avait elle mit un pied dans la pièce qu’elle sentit un objet froid sur sa nuque.

 

Inconnu1 : Mettez vos mains en l’air et n’essayez pas de prendre votre arme de service !

 

Samantha s’exécuta mais lentement au goût de l’inconnu qui exerça une pression plus forte avec l’arme qui tenait en joue Sam.

 

I 1 : Plus vite que ça !
S : C’est bon, ok !

 

A ce moment là la lumière s’alluma et laissa place à une Wylie morte de peur ligotée et bâillonnée, assise par terre aux pieds d’un deuxième homme.

 

S : Qu’est ce que ça veut dire ?
I 1 : Tais toi et assis toi à côté d’elle !

 

Samantha alla s’asseoir à côté de Wylie, tandis que le deuxième inconnu commençait à la ligoter. Une fois que Sam fut finie de ligoter et bâillonner, le premier homme se mit à parler.

 

I 1 : Vous vous demandez certainement pourquoi je vous kidnappe ? Et bien je vais vous le dire. Aux yeux du SGC vous êtes précieuse et vous savez beaucoup de chose c’est pourquoi je vais vous échanger contre tout les dossiers de mission et un goa’uld. Pour ça nous allons aller au SGC, vous serez aussi notre passe pour entrer dans la base. (S’adressant à l’autre homme) Emmènes les dans la voiture, nous partons !
Inconnu2 : Bien chef !

 

Sam et Wylie furent emmenés dans une voiture noire garée dans la rue de Samantha. Ils se dirigèrent ensuite vers le SGC.
Jack et le général discutaient avec deux soldats en salle de briefing quand ils entendirent des éclats de voix provenant du couloir. Les militaires présents dans la salle n’eurent pas le temps de réagir que la porte vola en éclat. Un homme venait de lui faire une prise de karaté. Deux hommes apparurent en pointant avec leurs armes le major Carter et sa fille.

 

I 1 : Ne bougez pas ! Et mettez vous à genou.

 

Tout le monde s’exécuta. Sauf Jack qui craignait pour la vie des deux jeunes femmes. Son manque d’obéissance lui valut une balle dans la cuisse, ce qui le fit immédiatement se mettre à terre. Sam, qui s’était débarrassé de son bâillon cria.

 

S : Jack !
I 2 : Tais toi !

 

Le second homme lui donna une claque pour son insolence.

 

H : Que voulez-vous !
I 1 : En échange  de ces deux charmantes personnes nous voulons tout les rapports de mission et un goa’uld !
J : (grimaçant et se tenant la cuisse) Vous rêvez !
I 1 : Alors nous les tuons !
S : (désespérée) Mon colonel !

 

Le colonel fit un regard au deux sergents. Ces deux derniers comprirent, puis tout se passa très vite. L’un des deux sergents sortit son arme et tira sur l’homme qui se trouvait près des deux filles. Puis le premier homme qui s’était approché de Jack pointa son arme sur le sergent qui avait tiré. O’Neill fit un effort surhumain pour se lever et désarma  l’homme ; Il lui donna un coup de poing et le deuxième sergent acheva l’inconnu. Après ça le général appela une équipe médicale.
Les infirmiers arrivèrent quelques minutes après avec un brancard sur lequel ils mirent le colonel.
Dans le couloir, quelque chose tomba du brancard. Sam, à qui on avait enlevé les cordes qui la ligotaient, vit la chose tombée. Elle alla la ramasser. C’était un mouchoir brodé de deux initiales. Elle se souvint de ce mouchoir, elle l’avait offert au père de Wil. Mais ce qu’elle ne comprenait c’était qu’il soit tombé du brancard où était Jack. Ce pourrait-il que ce soit lui le père de sa fille ? Elle s’en souviendrait tout de même. Elle décida d’aller réfléchir dans son laboratoire.
Jack se réveilla. Il était tombé dans les pommes après avoir perdu beaucoup de sang. A côté du lit du colonel se trouvait Wylie et le général.

 

J : Mon général ?
H : Oui colonel.
J : Vous avez réussi à savoir qui étaient ces deux hommes ?
H : Ils appartenaient au NID et voulaient récupérer une larve de goa’uld pour contrôler la planète.
J : Encore des fous ! Où est le major ?
W : Maman est partie à la maison.

 

Wylie et Hammond furent mis dehors de l’infirmerie par le docteur Frasier qui devait finir le bandage de la plaie du colonel O’Neill. Jack demanda, alors, à Janet si il pouvait  sortir de l’infirmerie, celle-ci accepta et donna des béquilles à Jack. Ce dernier sortit de la pièce et se dirigea vers les quartiers de Daniel pour que celui-ci puisse le conduire chez Sam. Il entra dans le bureau de l’archéologue et y trouva Daniel, Teal’c et Wylie.

 

J : (en les saluant) Daniel, Teal’c.
Teal’c : (saluant) O’Neill.
D : Nous avons appris pour tout à l’heure. Vous allez bien ?
J : Oui très bien.
T : Je suis content qu’il ne vous soit rien arrivé.
J : Merci Teal’c. Daniel pouvez vous m’emmener chez Carter ?
D : Oui bien sûr.
J : Wylie tu viens avec nous ?
W : Non c’est Janet qui doit me ramener.
J : D’accord. A plus.

 

Daniel conduisit jack jusque chez Samantha. Le colonel entra chez elle et la découvrit assise sur un fauteuil le regard dans le vide.

 

J : Sam ?

 

Cette dernière se retourna. Elle était à la limite de fondre en larmes. Elle tenait le mouchoir entre ses mains.

 

S : Jack ?
J : Oui.
S : Il faut que je te demande quelque chose.
J : Oui ?
S : Ce mouchoir est à toi ?
J : Oui. (il se prend pour Oui-Oui ou quoi ?)
S : Qui te l’a donné ?
J : Une jeune femme il y a presque dix sept ans.

 

Samantha qui s’était levée se rassit sur le fauteuil.

 

S : Oh Jack !
J : Quoi ?
S : Ce mouchoir je l’ai donné au père de Wylie. Et… C’est toi.
J : Oui Sam c’est moi. Je m’en suis souvenu mais je n’étais pas sûr.
S : Jack c’est merveilleux !
J : Nous allons pouvoir former une vraie famille. Je vous aime major Carter.
S : (pleurant) Moi aussi je t’aime.

 

Jack s’agenouilla et sortit une petite boîte en velours bleu. Il l’ouvrit et la tendit en direction de Sam.

 

J : Samantha Carter voulez vous m’épouser ?
S : On a le droit ?
J : Oui, juste avant que tu viennes ligotée en salle de briefing, le général m’a donné une dérogation.
S : C’est génial !
J : Oui. Alors ta réponse ?
S : (émue) Oui !
Jack se releva et Sam se jeta dans ses bras.

 

S : Moi aussi j’ai quelque chose d’important à te dire.
J : (étonnée) Qu’est-ce que c’est ?
S : Et bien dans quelques mois nous serons quatre.

 

Jack tellement étonné ne répondit pas.

 

S : Tu ne dis rien ? Tu ne veux pas ?
J : (reprenant ses esprits) Si, si bien sûr que je veux.

 

Jack resserra son étreinte sur Sam.

 

J : Je ne veux plus jamais te perdre.
S : C’est promis…

 

 

 

 

EPILOGUE

 

Jack et Sam se marièrent trois semaines plus tard et Sam devint Madame Samantha Carter O’Neill. Et Wylie devint en même temps Wylie Samantha Johnie Carter O’Neill. Quelques mois plus tard des cris vinrent réveillés la base : June Amy Jackie Carter O’Neill vit le jour. La famille Carter O’Neill était plus heureuse que jamais.

 

 

 

 

Lor.d.a.sam

 

 

 

 

 
 
Conçu par Océan spécialement pour Imagine.
[ Me contacter ]