C'est dur mais ça n'a pas d'os dedans...
"C'est dur mais ça n'a pas d'os dedans
ça bouge tout seul, mais ça n'a pas de muscles.
C'est doux et touchant quand ça a fini de jouer,
arrogant et obstiné quand ça veut jouer.
C'est fragile et capricieux, ça obéit pas à son maître,
C'est d'une susceptibilité maladive,
ça fait la grêve sans qu'on sache pourquoi,
ça refuse tout service ou ça impose des travaux forcés,
ça tombe en panne quand le terrain devient délicat
et ça repart quand on n'en a plus besoin;
ça veut toujours jouer les durs alors que ça pend
vers le sol pendant la majeure partie de son existance...
Mais comme le disaient les chansonniers de la Tomate
il y a quelques dizaines d'années:
"c'est rouge...et puis c'est amusant !"
Il paraît que nous aurions adoré avour un truc comme ça.
Il paraît que quand on n'en a pas, c'est bien simple,
on n'a RIEN
Benoîte Groult"
"Dites moi Carter vous avez des lectures assez bizarres !
- Vous savez mon général, quelqu'un me répète souvent qu'il faut toujours bien connaître son ennemi !
- Son ennemi vraiment ? Pourtant ce n'est pas l'impression que vous m'avez donnée il y a 5 minutes colonel !
- Vraiment ? vous allez voir alors..."
La jeune femme se glissa au dessus de son général et commença à l'embrasser partant de sa bouche et descendant de plus en plus bas.
"Il faut toujours connaître son ennemi Sam, mais là je dois bien admettre que c'est une des reconnaissances les plus agréable que je connaisse.
-Il faut aussi toujours savoir où se trouve la faille de son ennemi, dit-elle en se relevant et en sortant du lit emportant les draps avec elle.
-Sam, Sam ! Il se releva prestement et se heurta au battant de la porte de la salle de bain. Sam ! Tu ne peux pas me faire ça !"
Il ne reçut pour toute réponse que le bruit de l'eau qui ruisselle sur les carreaux.
Il soupira de frustration. Cette femme allait le rendre fou !
Ah elle voulait jouer à ça ? Très bien lui aussi pouvait !
Il s'en retourna dans sa chambre et s'habilla. Il descendit en bas en faisant le plus de bruit possible dans l'escalier.
Il entendit le robinet d'eau se couper. Il s'avança vers le porte d'entrée, l'ouvrit et la claqua, mais il resta caché dans l'entrée. Il entendit la porte de la salle de bain s'ouvrir et le bruit d'une cavalcade dans l'escalier. Il savait que la fenêtre de la salle de bain donnait sur le lac comme celle de la chambre, il lui était donc impossible de savoir s'il était parti. Quand elle passa devant lui vêtu seulement d'une serviette qui ne tenait on ne sait comment, il tira sur le pan du tissu et vit le corps de la femme qu'il aimait se dévoiler en quelques secondes. Il l'attrapa par la taille et commença une douce torture sur la jeune femme en plaçant savamment des baisers dans son cou. Il l'entendit gémir et d'un coup sans prévenir monta avec elle dans les bras au premier étage, ils pénétrent dans la douche lui habillé, elle nue.
"La prochaine fois que vous me faites ce coup là Madame O'Neill je vous jure que je ne réponds plus de moi !
-si c'est comme..."
Elle ne put finir sa phrase car son mari venait de s'emparer de sa bouche, la bâillonnant.
FIN...
Petit délire, désoler je sais que le coups du "je te laisse mariner dans ton plaisir mon petit Jack" est assez répandu mais je n'ai pas pût m'en empêcher ! oh et si vous avez des commentaires vous savez quou faire non ?