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Fate : Chapitre 1

FATE (DESTIN)



Auteur : Blue Topaz ( blue-topaz@lycos.com )


Traductrice : Némésis ( nemesis.63@caramail.com )


Rating : R


Genre : humour, « romance »


Résumé : Les aléas du destin d’après Sam Carter… Pas de spoilers


Notes de l’auteur : This is for Becky, because she asked for it. And true to my word, this is not a NC-17 *g*. And for Scully too. Because in my eyes, Becky and Scully are partners in crime. The rating is R for those with overactive imagination (and you know who you are). Enjoy.


Notes de la traductrice : Bon, comme d’hab je ne possède rien, même pas cette histoire ! Je l’ai découverte sur le site de Blue Topaz, qui m’a gentiment autorisée à la traduire. Vous pouvez aller faire un tour sur son site si vous maîtrisez l’anglais (www.geocities.com/bluetopazfic/ ) et lui envoyer un petit feedback, je suis sûre que ça lui fera plaisir. Il existe pour le moment 2 autres suites à cette fanfic, je les traduirai peut-être (mais vue ma rapidité…). Sinon, j’espère que ma traduction n’est pas trop maladroite, j’ai fait de mon mieux ! Et franchement, il faudrait faire un bouquin des expressions anglaises…



*********************




Elle n’était pas vraiment sûre de savoir si le Destin était en train de se venger sur elle ou non.


Mais il semblait aimer rire à ses dépens. En fait, cela semblait tellement l’amuser qu’elle commençait à se demander si elle n’avait pas fait quelque chose d’épouvantable dans une vie antérieure ; si épouvantable que le Destin avait décidé qu’elle devrait payer maintenant.


Mais bon sang, personne ne devrait avoir à endurer une telle chose. Elle n’aurait pas souhaité ce genre de situation à son pire ennemi ! Personne ne devrait en souffrir !


Elle haïssait le Destin.


Nul doute que ce même Destin l’avait aidée à rester en vie durant les sept dernières années. Ou qu’il lui avait permis de rentrer dans le monde merveilleux qu’était le SGC ; et avait permis qu’il entre dans sa vie.


Par « il », elle voulait dire son incroyablement et déloyalement-beau-charismatique-sarcastique-énigmatique-(et tous les autres adjectifs positifs se terminant en –ique)- colonel.


Elle se sentait dupée.


Il était là, le seul homme qui semblait rassembler « toutes » ses exigences ; et elle ne pouvait pas l’avoir. Le pire de tout, c’était que le Destin adorait l’agiter devant elle, pour la tourmenter, la tenter, l’appâter, le suspendant si souvent comme un bon morceau de viande bien saignante devant un lion affamé (elle dans ce cas). Le fruit absolument défendu.


Comme maintenant.


Son torse puissant et masculin pressé si fort contre le sien. Il n’y avait pas d’espace entre eux. Sa poitrine écrasée contre la sienne. Ses bras l’engloutissant dans une étreinte très serrée. Comme elle le faisait elle aussi. Ses cuisses la touchaient, l’une devant et l’autre par-dessus. Son souffle frôlait son oreille. Sa chaleur se propageait dans ses veines.


Avait-elle besoin de continuer ?



Bien sûr, la situation actuelle était surtout de la faute de Daniel. Après tout, c’était lui qui avait refusé d’épouser la princesse du coin. Mais le Destin était le seul responsable du fait que la flèche de Cupidon avait touché le cœur de cette pauvre jeune fille. Et le Destin était aussi celui qui avait décidé que les habitants de P76 9C2 attachaient leurs prisonniers d’une manière spéciale, non ?


Manière qui, elle devait l’admettre, était très efficace, d’une certaine façon. Ils positionnaient les captifs (deux ou plus) face à face, les membres liés de telle manière qu’il était impossible de séparer les corps. Leurs bras et leurs jambes bien attachés par des nœuds compliqués.


Heureusement (ou non), Teal’c n’était pas avec eux quand la princesse avait ordonné leur arrestation. Daniel avait été escorté jusqu’à sa chambre. Son but était évident : séduire le linguiste en utilisant ses coéquipiers comme monnaie d’échange.


Une autre victime des yeux de chien battu de Daniel, avait certifié le colonel.


Oh, au moins Teal’c était ailleurs, quelque part. Plus tôt, il avait demandé au colonel la permission de jeter un œil seul autour du village. Sa requête avait été accueillie favorablement, les villageois ne semblant pas dangereux. Ouais, les « villageois » étaient sans danger ! Il n’en était pas de même pour leur souveraine. Le Jaffa allait sûrement bientôt entendre parler de ça et venir à leur secours.



« Bon… »


Au moins, leurs kidnappeurs ne les avaient pas bâillonnés.


« Bon… »


Il soupira lourdement, acceptant la défaite. Ces dernières heures, il avait essayé tous les trucs, remuant, s’étirant, se frottant et gesticulant contre elle ; tout cela pour soi-disant desserrer la corde. Est-ce qu’il avait conscience que ces frictions généraient de la chaleur ? Elle subissait toute l’épreuve en chantant « USAF, USAF, USAF, USAF… » dans sa tête. Sa santé mentale était suspendue à un fil.


« Une idée ? »


Elle respira calmement alors que la sensation de son souffle sur son oreille gauche la menait à sa perte.


Pourquoi, mais pourquoi ?


« Hum, …peur que non .» Elle n’arrivait pas à penser. Elle était trop occupée à départager les plaisirs interdits et le bon sens. Jusqu’à présent, le bon sens soutenait sa raison mais pour combien de temps ? Elle pariait que le plaisir n’allait pas tarder à mettre son adversaire à terre. Pourquoi ne le ferait-il pas ? Son corps était plaqué contre le sien, touchant des endroits inappropriés.


Pourquoi la tentation devait-elle être aussi… tentante ?



« Vous allez bien ? » La voix concernée et amicale brisa le fil de ses pensées. La tête sur son épaule droite se recula, séparant légèrement son corps du sien. Instinctivement, elle lui fit face, si bien que leurs fronts se touchèrent. Ses yeux noisettes plongèrent dans les siens, cherchant un quelconque indice sur son problème. L’intensité du regard la força à cligner plusieurs fois des yeux.


« Ca va. Seulement… » Elle hésita à continuer, plus trop sûre de pouvoir garder ça pour elle-même.


« Vous préféreriez ne pas être attachée. » finit-il pour elle.


« C’est ça », dit-elle, tout en refusant de continuer à le regarder plus longtemps. Sa tête reprit sa place initiale. « Et autre chose. »


« Vous voulez m’en parler ? »


Bien sûr ! Il faudrait que les cochons se mettent à voler pour qu’elle fasse ça ! Ou qu’ils ne soient plus dans la même chaîne de commandement, que la loi de fraternisation soit abolie… ou n’importe quoi de ce genre. Elle n’allait pas chipoter là dessus.


« Ce n’est rien, vraiment. » répliqua-t-elle, essayant d’éviter la question. « C’est juste… c’est tellement déloyal. »


« Déloyal ? » Il était amusé par sa réponse.


« Ouais. Daniel obtient toujours la place la plus confortable. »


« Bien, que puis-je dire ? Il est clair qu’il abuse de ses charmes. Les filles tombent tellement facilement à ses pieds… »


« Je suppose que c’est ça »



Le silence était de retour. Il était plutôt confortable. Ils se connaissaient depuis si longtemps que parfois, toute conversation semblait devenue inutile. Chacun profitait simplement de la présence de l’autre, sachant qu’un moment comme celui-ci ne survenait pas souvent.


Sa vision périphérique remarqua soudain quelque chose d’intéressant. Tellement intéressant qu’elle décida de se focaliser dessus. Plus elle regardait et plus elle en avait envie. Mais peu importe, elle ne pouvait pas l’avoir. Alors elle se calma en observant furieusement à la place.


« Arrêtez ça ! » ordonna-t-il.


« Mon colonel ? » Elle était déconcertée.


« Vous regardez mon cou. Arrêtez ça ! »


Elle s’indigna : « Je ne regarde *pas* votre cou ! »


Ce qui était à moitié vrai. Elle ne regardait pas son cou en général. C’était la *veine* de son cou, lequel battait régulièrement. Il avait l’air bon à croquer. La peau était bien bronzée et le lent battement de son sang le rendait au moins dix fois plus irrésistible. Elle se mordit les lèvres à l’avance, consciente qu’il ne pouvait pas voir son geste.


« Je peux sentir vos yeux faire un trou dedans », l’accusa-t-il.


Mmmmh… elle était quasiment sûre de ne pas être un vampire. Mais ça n’expliquait pas le besoin urgent de d’imprimer ses dents *là*. Il y avait sûrement une autre raison à cet inexplicable… désir.


« Vraiment ? » Elle joua le jeu innocemment.


« Carter, *arrêtez* ça ! » Il répéta son ordre. « Ca me rend nerveux. »


Elle pouvait sentir sa tension. Se sentant légèrement coupable d’être à l’origine de son inconfort, elle se força à détourner les yeux de sa nouvelle obsession. Elle soupira intérieurement.


« Merci. » Il expira lentement.


Les muscles sous ses bras se relâchèrent considérablement. En parlant de muscles… un bras nu qui appartenait à un certain colonel venait d’entrer dans son champ de vision. Elle ferma les yeux et fit de son mieux pour chasser l’image. Il n’était pas très judicieux de tenter le diable alors que leurs vies étaient en danger. Mais le diable avait une autre idée. Au lieu de la laisser, il s’infiltrait sournoisement en elle. Le propriétaire du bras nu avait aussi les pieds nus maintenant. Très agréable.


Puis un torse nu.


Mmmh… elle aimait beaucoup le diable.


Suivi par des cuisses nues.


Sainte mère !


Elle était en train de déshabiller mentalement son coéquipier. Son officier *supérieur*. A qui elle devait respect et honneur. Et là, elle était en train de lui enlever ses vêtements un par un dans sa tête.


Elle était vraiment une perverse.


Cette réalisation lui fit froncer les sourcils. Elle ? Une perverse ? Il y avait quelque chose qui ne collait pas. Mais vraiment pas. Mais quand ça *le* concernait, elle avait admis depuis longtemps que tout était possible. Utilisant sa raison floue, elle déduisit que puisqu’il était « mauvais » pour elle, alors *tout* ce qui le concernait devait l’être aussi. Là ça avait parfaitement du sens.


Du moins, c’est ce qu’elle se dit. Le problème de logique réglé, il était temps pour elle de continuer son activité précédente.


Où en était-elle ? Ah oui, les cuisses nues. Maintenant, il était temps de lui retirer son…


« Carter ! Arrêtez ça ! » il cria.


Elle détestait quand les gens l’interrompaient comme ça. « Quoi ? »


« Quoi que vous soyez en train de faire, arrêtez-le ! Et maintenant ! » La tension dans sa voix était palpable.


Ne sachant sincèrement pas de quoi il parlait, elle lui redemanda : « Qu’est-ce que vous voulez que j’arrête de faire ? » La dernière fois qu’elle avait vérifié, il était incapable de lire dans les pensées.


« Vous savez très bien ce que c’est » dit-il entre ses dents.


Si elle savait, elle ne lui demanderait pas, n’est-ce pas ? Mais elle trouva plus judicieux de ne pas le demander à voix haute. D’ailleurs, elle fit quelque chose qui confirma les craintes de son supérieur. Pour ne pas dire…


Oh.


Salut toi.


Quelqu’un était heureux de la voir. Mais elle devait quand même vérifier, juste au cas où.


« Monsieur ? »


« Ouais ? »


« Il vous ont bien pris votre arme ? »


Son corps se tendit. Son silence était la confirmation à sa question. Elle avait peut-être perdu les sensations dans ses bras et ses jambes mais une… certaine partie de son corps était encore assez vive pour ressentir toute pression additionnelle.


Donc…


A première vue, ce qu’elle avait fait auparavant avait eu un effet sur lui. Il était seulement humain et elle était heureuse de constater qu’elle pouvait faire ressortir l’homme en lui. C’était bon à savoir. Bon OK, c’était génial à savoir. Elle soupira d’aise et sa respiration s’accéléra alors que son imagination se déchaînait. Elle pressa son corps contre le sien, lui permettant de mieux en connaître les contours.



Ah, bon, c’était donc *ça* qu’il voulait qu’elle arrête de faire. Elle n’avait pas réalisé que c’était ce qu’elle faisait depuis tout à l’heure.


Elle sourit ouvertement, comme un chat qui a réussi à voler la crème (j’adôôôôôre traduire les expressions anglaises…). Ou comme une maniaque ! Elle n’y faisait pas particulièrement attention et, en général, elle faisait ça quand elle jubilait. Son sourire s’amplifia quand elle constata qu’il n’avait toujours pas répondu à sa question rhétorique.


Il semblait que le destin lui avait lancé un os à rogner.


Elle se demanda jusqu’à quel point elle pouvait se servir de son avantage… et jusqu’où elle pouvait aller avec. Il ne pourrait pas rapporter ça au général Hammond et elle non plus. Donc tout ce qui pourrait arriver dans cette pièce resterait dans cette pièce. Cette pensée stimula sa confiance.



« Non ! » fut tout ce qu’il dit.


Elle fut tentée de la jouer innocente mais c’était plus dans son style de l’ignorer tout bonnement. Elle négligea son avertissement de façon flagrante. Ses yeux se reposèrent sur son cou. Et, sans plus de cérémonie, ses lèvres descendirent sur sa peau.



Il sursauta.


Et jura. Mais ne fit aucun effort pour la décourager. Avec cet accord silencieux, ses lèvres et ses dents commencèrent à se promener sur lui. Mmmmh, si elle fermait les yeux, cela semblait augmenter le plaisir. Le goût salé de sa peau commençait à exciter ses papilles.


Il continuait de jurer. Même si c’était assez dérangeant, elle trouvait cela attachant aussi.


La pression *en bas* augmentait de façon évidente et elle en ronronna de satisfaction, tandis que sa bouche commençait à voyager le long de son cou.


« Carter ! Reprenez vos esprits ! » lui lança-t-il, juste au moment où le bout de sa langue entra en contact avec sa clavicule.


Il plaisantait ? Il ne voyait donc pas qu’elle s’amusait ? Il fallait qu’il la ferme. Et il n’y avait qu’un moyen pour ça. Elle recula sa tête et observa ses lèvres avec gourmandise.


Il le remarqua aussi.


« Non. » Le feu dans ses yeux était assez fort pour être sûr qu’elle suive son ordre.


« Pourquoi pas ? » gémit-elle.


« Parce qu’il y a définitivement quelque chose qui ne va pas chez vous » insista-t-il. « Vous ne feriez pas ça sinon. »



Hein ? Alors il voulait expliquer son comportement par une quelconque influence alien ? Elle était d’accord. Aussi longtemps qu’il la laissait faire ce qu’il lui plaisait. Ignorant son cri d’indignation, elle attaqua l’autre côté de son cou. Ca lui apprendrait à ne pas renier ses lèvres la prochaine fois !


« Major, retirez-vous de là » il gronda. Elle l’ignora mais il essaya de nouveau : « Carter, ce n’est pas vous. »



Ah ? Alors ? Mais ? Et ensuite ?


Même *si* elle était sous influence (ce qui était possible, vu qu’elle avait mangé un gâteau bizarre et bu un truc inconnu), elle n’allait pas gâcher l’opportunité de goûter à toute la surface de son cou ! Et même plus s’il l’autorisait. Si le Destin avait décidé qu’elle ne devait pas être dans son état normal, elle ne pouvait rien faire contre ça. Excepté en profiter du mieux qu’elle pouvait.


En plus, il appréciait. Son corps le disait clairement.


Et nul n’ignorait que se battre contre le Destin était inutile. Elle-même le savait grâce à ses expériences antérieures.



Wow, il était délicieux. Sentant son hésitation elle fit basculer leurs deux corps, de façon à ce qu’il se trouve sur le dos avec elle au-dessus. Elle commença à dessiner sa mâchoire avec ses lèvres puis descendit. Il lui disait quelque chose mais elle était tellement absorbée par son travail qu’elle ne put identifier ce que ça pouvait être. Les mots « base »,  « Fraiser » et « examen » semblait revenir souvent quand même. Son corps se mit à bouger de façon provocante, s’étirant et se frottant avec un seul but en tête. Lui donner envie d’elle autant qu’elle avait envie de lui.


Mais une chose après l’autre. Ses lèvres attirèrent son attention.


Il fallait qu’elle les touche avec les siennes, mais ce fichu colonel s’obstinait à reculer et à secouer sa tête, niant son souhait. La corde entravait sa liberté mais ce n’était pas grave. Elle allait charmer les-dites lèvres. Grignotant la chair qu’elle pouvait atteindre, elle patienta.


Inutile de brusquer les choses. Ils avaient tout leur temps.



« O’Neill, Major Carter”.


Ou pas.


Elle avait envie de hurler. Teal’c avait un meilleur timing habituellement, qu’est-ce qui n’allait pas avec lui aujourd’hui ?



« Teal’c, mon pote ! Détachez-nous ! Maintenant ! » demanda désespérément le colonel.


« Est-ce que j’interromps quelque chose ? » s’enquit le Jaffa. Bon, il n’était pas aveugle ni stupide.


« Oui ! »


« Non !! »


Bien sûr, inutile de préciser qui avait dit quoi.



Heureusement pour lui, Teal’c se contenta de lever un sourcil et dit « Très bien » avant de les libérer en un clin d’œil.


Elle grommela mais n’en tint pas rigueur au Jaffa. Elle n’aurait pas pu. Mais quand la chaleur du colonel la quitta, elle lui jeta un regard diabolique. Teal’c semblait confus mais il garda le silence. Le colonel parut soulagé quand ils se séparèrent finalement. Elle ne pouvait pas le blâmer. Mais elle était sûre qu’il était sur le point de craquer avant que Teal’c n’entre.



Bon sang !


Allez, il était inutile de s’attarder sur le passé ; Elle pourrait toujours recommencer. Ce n’est pas comme si elle n’avait pas aimé faire cet effort. Confortée par cette pensée, elle offrit un brillant sourire à ses coéquipiers. Et pour ça, le colonel la regarda avec méfiance. Il semblait qu’il avait senti les ennuis arriver.


Il murmura quelque chose à Teal’c et soudain, il se retrouva armé d’un Zat. Il le pointait sur elle. Elle savait ce qu’il allait faire. Elle était un handicap dans son état actuel. Il ne pouvait pas risquer qu’elle tente de le séduire quand ils iraient secourir Daniel.



« Vous ne pouvez pas juste m’attacher à la place » offrit-elle comme alternative. Etre zattée n’était pas vraiment une expérience agréable.


« Je pourrais » acquiesça-t-il.


Elle connaissait très bien la routine. Elle mit ses mains derrière son dos et observa le colonel s’approcher d’elle. Après avoir redonné le Zat à Teal’c, il se plaça près d’elle, tout en tenant un morceau de corde dans la main. Quand il fut à un pas, il lui ordonna : « Tournez-vous ».



Le Destin avait peut-être joué avec elle comme avec une marionnette, l’utilisant comme source d’amusement, mais elle était maligne. Elle savait comment tromper le Destin.


Avant qu’il (ou le Destin) puisse dire ou faire quelque chose, elle accrocha ses bras autour de lui, l’attira à elle et joignit ses lèvres aux siennes dans un mouvement parfait.



Sam Carter savait toujours comment obtenir ce qu’elle voulait… même quand elle était sous influence.




FIN !!!






 
 
Conçu par Océan spécialement pour Imagine.
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