6h34.Allez…6H35.Encore un effort mon vieux …6H36…6H37.Tu le fait exprès là non ? Plus vite bon sang !6H38…S’il te plaîîîîît … 6H39 … *no comment*…6H40 … Yessss !!!
Il balança rapidement les couvertures de son lit, chopa son vieux réveil, le lança dans un tir parfait dans la corbeille à papier : « trop lent mon ami, trop lent », et se dirigea dans la salle de bain, notant au passage sur un bout de son rapport (qu’il devait rendre le jour même) le rachat d’un nouveau réveil « plus rapide que le précèdent si possible » rajouta t-il en post-cristum.
Il fallait qu’il soit à l’heure, parce que aujourd’hui était un jour spécial, il allait *l*’avoir… enfin, après plus de 4 mois de lutte acharnée, de combats intensifs et de recherches infructueuses.
La partie était terminée. Il allait gagner.
« Jack ? » *Et m****…*
« Pas-le-temps-desolé »
Il ne voulait pas savoir qui c’est, malgré le fait qu’il le sache déjà : une voix pareille dans un couloir du SGC ne s’oubliait pas, même si celle-ci avait suivit son maître pendant son ascension durant quelques mois.
« Jack ? » *Gros soupir*
« Mouiii Daniel ??? Je vous écoute ? »
Il s’était retourné entièrement pouvant regarder droit dans les yeux son archéologue et pour lui faire comprendre *implicitement* que ce n’était pas le moment de venir le déranger.
« C’est bien vous ? »
…
« Oui c’est bien moi, pourquoi ? »
« Nan ce n’est pas possible ça ne peut pas être vous… »
…
« Et pourquoi pas ? »
Consternation, incompréhension, étonnement, Jack s’était même surpris à regarder ses mains, redoutant un éventuel effet secondaire de P4X201, (on est jamais bien sûr dans ce métier)…mais non c’était bien lui. Son regard se posa alors sur Daniel.
« Il est sept heures moins dix Jack . Vous ne pouvez pas être debout, ce n’est pas possible ! » affirma t-il.
« Mais… »
« Hem, … qui que vous soyez, … veuillez m’excuser, je … je vous ai pris pour quelqu’un d’autre l’espace d’un instant. »Il se mit à rire doucement, comme un fou.
« Je n’ai pas dû assez dormir cette nuit alors… bonne journée !»Dit-il gêné et confus et il partit.
Jack réfléchit un instant puis se mit a sourire. C’est vrai que très peu de gens ont eu l’occasion de le voir se lever tôt depuis l’ouverture du SGC, sa réputation allait en prendre un coup. Mais cela n’avait pas d’importance, il devait arrivé à l’heure coûte que coûte.
Quelques minutes après, dans le couloir, Jack pris son stylo et écrivit à même sa main :
*Pour Daniel .Demander au doc. si l’utilisation abusive d’anti-allergiques peut avoir des effets hallucinogènes.*
*****
Il entra dans le mess et repéra immédiatement sa cible.
Tout en gardant un contact visuel avec sa victime, il se dirigea vers le self-service, priant pour qu’elle ne l’ait pas repéré. Elle était là, assise avec son plateau au fond de la salle, les yeux plongés dans un quelconque bouquin dont il ne voulait même pas savoir le nom.
Il se servit rapidement, prenant un peu au hasard se qui restait sur les étagères à moitié vide et se dirigea d’un pas sûr et conquérant vers sa table. Est ce que c’était lui ou les peu de soldats qui se trouvait devant lui s’écartait (il était tenté de dire *fuyait*) de son chemin ?
Il arriva enfin à destination.
Il allait gagner, il va gagner.
*****
Il claqua son plateau sur la table, la regardant de haut attendant qu’elle l’ait remarqué. Elle leva doucement les yeux de son livre avec un sourire naissant.
« 8 ! »
« 9, …dommage mon colonel, bien essayé quand même. »
Elle fit claquer son livre en le refermant, le posa à coté de son plateau et, sur ce, regarda franchement son colonel avec un sourire jusque aux oreilles.
« Vous avez entendu ce que je viens de dire là ? J’en ai 8 ! »Reitéra celui-ci.
« Et moi j’en ai trouvé 9 mon colonel, vous avez perdu. » Elle sortit son calepin de dessous son plateau, l’ouvrit et nota le résultat, puis consulta l’ensemble de la page :
« C’est dingue, vous auriez eu deux points de plus et vous m’auriez battue, on peut dire que j’ai eu chaud. »
Pas de réponse.
…
Elle le regarda :
« Eh bien mon colonel, asseyez vous ! Ne rester pas debout. »
« Vous venez de dire quoi là Major ? » dit-il menaçant.
Elle avala doucement sa salive et dit d’une petite voix mal assurée :
« Hum, j’ai dit…. « Asseyez vous mon colonel » ? »
« Non, non, non, avant ça. »
« Oh, euh, que vous aviez perdu ? » dit-elle avec crainte.
*Silence, gros silence*
Il tira sa chaise et s’affala dessus. Il passa ses mains sur son visage puis les retira brusquement et s’agita :
« Mais comment vous avez fait !! » s’indigna t-il « J’étais certain de gagner !!J’allais gagner !! Et vous avez tout foutu par terre !! »
«Mon colonel, sauf votre respect, vous êtes mauvais joueur, et de tout façon, pour ce qui est de la manière dont je vous ai (elle baisse les yeux, souriante) …*écrasé*… nous en avons déjà parlé : *A chacun ces sources…
«… du moment quelles ne sont pas communes.* je sais Carter et puis n’en profitez pas, hein, vous ne m’avez *écrasé*, j’ai simplement…perdu voila tout. »
Il s’installa correctement et commença à manger.
« Comme d’habitude je vous ai gardé du lait, vous avez de la chance : sg-5 et sg-8 sont partit tôt ce matin et il n’en restait plus que pour une personne après le départ des équipes. »
« Cool, merci. »
Et il reprit :
« Donc, puisse que vous avez gagné, quelles sont vos rumeurs ? »Dit-il en la pointant de sa cuillère
Et voila, c’était comme ça depuis plus de 4 mois, ils se retrouvaient tout les vendredi matin, au mess, à une table éloigné des autres, qui n’appartenait qu’à eux : à SG-1 et plus particulièrement à Jack et Sam ces jours là, Teal’c partant le jeudi soir sur Chula’c ne rentrant que le samedi et Daniel déjeunant dans son labo, ils avaient la table rien que pour eux. Voila donc 4 mois que ce pari avait été lancé :*récolter le plus de rumeurs possible sur eux et leur pseudo relation*. Ils avaient bien rit ce jour là et encore plus les jours suivants , au fur et à mesure qu’ils récoltaient les rumeurs plus insensées les unes que les autres , provenant de divers endroits (douches, infirmerie, toilettes, armurie , cuisine du mess…) . Chacun avait son petit carnet, amassant le plus d’informations possibles , se rendant bien compte qu’ils auraient aimé vivre certaines rumeurs, se rendant bien compte qu’ils auraient aimé vivre cette vie imaginaire qu’on leur prêtait régulièrement.
Elle reporta ses yeux sur son carnet :
« Ok, alors je serais encore enceinte selon les dires d’une infirmière qui m’aurait personnellement auscultée à la place de Janet… »
« Encore ? On en a combien déjà ? »
« 14, mon colonel, en rajoutant bien sûr les deux qui vivent chez la tok’ra, celui de P8T045, le mort né, ça fait 14 enfants » fit-elle avec un sourire.
« En 4 mois ? » elle acquiesa « Vous êtes une vrai usine ! »
« Je vous retourne le compliment. »
« Ensuite ? »Il se prépara à enfourner sa cuillère
« ……..Celle là ne va pas vous plaire (elle hésita) : vous seriez impuissant et nous aurions demandé aux asgards, grâce à leur technologie sur le clonage, de remplacer votre … euh … enfin vous voyez… »
Jack recracha immédiatement le contenue de sa cuillère et hurla :
« QUOI !!!!! QU’EST CE QUE C’EST QUE CES CONNERIES !!! CARTER…»
Sam ferma les yeux moitié souriant, moitié grimaçant.
« Pas si fort mon colonel !!!Ne vous inquiété pas, je suis sûr que c’est faux. »
« Mais ça l’est !! »Cria t-il plus doucement.
*Oh oui ça l’est !* se dit Sam se rappelant les rares fois où, tombés l’un sur l’autres, elle avait sentit cette excroissance contre elle. *Et quelle excroissance !!*
« Bon,… »Dit-elle en revenant sur terre, « Je suppose que vous avez entendus cette rumeur nous concernant pour les vestiaires ? Et celle où on est dans la buanderie au 24ème niveau ? »Dit-elle avec un petit rire.
« Celle avec les bacs à linge ? »Rajouta t-il en rigolant doucement, se remettant petit à petit de l’affront précédant. « Mouais, on les entend partout celles là, j’aime surtout le coup des bacs à linge. Bien trouvé. »
Ils se mirent à rigoler ensemble d’un air complice.
« Ensuite » continua t-elle « Le Classique : nous aurions eu un rapport ensemble dans le bureau d’Hammond, vous savez, quand il est parti pour la conférence à Washington, » il hocha la tête tout en ouvrant son yaourt et ajouta sans la regarder:
« Votre string serait resté sur le téléphone rouge. »
« Je n’mets pas de string. »Affirma t-elle, indifférente et sans s’en rendre compte.
Il releva brusquement la tête, presque choqué.
« Enfin… pas en mission et à la base. Bien sûr. » Rectifia t-elle rapidement et gênée.
« Bien sûr.»Répéta t-il lui aussi gêné.
*Petit silence*
Ils avaient beau mieux s’entendre, certains sujets étaient encore gênants.
Sam se leva un instant :
« Je vais chercher quelque chose à manger. Faudrait pas que vous soyez le seul à vous empiffrez devant mon nez ! »Dit-elle malicieusement.
« Foncez Carter .Le cuistot a déjà planqué les gâteaux aux chocolats alors dépêchez vous si vous voulez qu’il vous reste de quoi manger! »
« A vos ordres mon colonel ! »
Sourires échangés, complicités… Oh oui, Jack aimait bien le vendredi matin, même si il fallait se lever tôt.
Sam revint quelques instants plus tard avec une pomme et un yaourt. Ils reprirent immédiatement leur discussion.
« Carter, j’ai bien compté et nous en sommes qu’a 5 rumeurs. J’attends la suite, je ne voudrais pas me faire avoir. »
« Ne vous inquiétez pas mon colonel, j’allais y venir. »
Elle rouvrit son carnet.
« Je ne serai pas la vraie Carter mais celle de la réalité alternée, en effet j’aurais jeté la vrai Sam à travers le miroir, et me serais coupée les cheveux pour pouvoir être enfin avec vous. »
« J’aimais bien la Sam de la réalité alternée moi. »Dit-il tout sourire se rappelant délicieusement le baiser échangé.
…
« Mais ça ne veut pas dire que je ne vous aime pas Carter ! De toute façon vous êtes identique à elle non ? L’autre Carter était … gentille, enfin je ne veux pas dire que vous ne l’êtes pas, hein, mais vous êtes différentes vous deux… »
« Tout en étant identiques n’est-ce pas ? »Rajouta t-elle ironiquement.
« C’est cela même ! »Dit-il, se rendant compte dans quel pétrin il s’était mis.
…
« On continue ? »Demanda t-il innocemment en avalant son jus d’orange.
« Moui, bon, j’en ai encore une du même style, ah oui ! Vous ne seriez pas le vrai Jack O’Neill mais son double robotique et sachant que les rapports sexuels entre robots étaient impossible à cause d’un code de sécurité, vous seriez venu ici…moi aussi j’aimais bien le Jack O’Neill en robot … »ajouta t-elle dans le seul but de le déstabiliser.
« Bah, c’était pas un super gars croyez moi ! »
Elle rigole doucement, quand Jack ajouta :
« C’est incroyable ! Pourquoi presque toutes les rumeurs sont basées sur le sexe ? »S’étonna t-il.
« Peut être des jaloux, ou des insatisfaits… »
« Des obsédés ouais ! Et le pire c’est que ce sont les femmes qui lancent les rumeurs ! »
« Ex-cusez moi ? »Articula t-elle ? « Il y a pas mal d’hommes qui sont aussi branchés là dessus quand ils parlent de nous ! »S’insurgea t-elle.
« Des noms, des noms…! »Scanda t-il en souriant.
« Teal'c »
Jack s’étouffa avec ses corn-flakes et se mit à tousser violement.
« Eh ! Ca va mon colonel ? »S’inquiéta Sam.
« *touss**touss*… non, non, non, ça ne va pas du tout là ! Vous venez de me dire que Teal’c était un pervers !
« C’est exact : il y a deux mois, Teal’c voulait en apprendre plus sur l’homme et la femme dans notre monde, alors Daniel l’a envoyé chercher des choses pouvant appartenir à des femmes. Mais il n’a pas dû se douter de ce qu’allait ramener Teal’c… »
« Et alors ? »
Sam soupira, en faisant bien attention de ne pas regarder son supérieur.
« Il a piqué un des mes soutiens gorges… »
…
« Ok,….vous avez raison, les hommes sont vicieux….mais pas tous !!Que l’on soit bien clair ! »
« D’accord avec vous. »Affirma t-elle. « Rumeur suivante : le mariage ! »
« Ha ha, alors c’est où cette fois ? »
«Russie, dans l’usine désaffecté de Kielchiev, à 13h21 heure locale lors d’une mission.»Elle éclata de rire : « Mon Dieu que c’est romantique ! Je me demande encore comment on a pu trouvé un prêtre dans une usine en ruine acceptant de nous marier en plein milieu d’un échange de tir avec l’ennemi !»
Jack se mit lui aussi à rire. Le jour où il devrait retourner en Russie n’était pas encore venu et encore moins pour s’y marier, mais si l’occasion se présentait, et avec une certaine personne, il serait loin de refuser.
« Et enfin le point gagnant ! »Dit-elle en regardant jack avec un grand sourire.
…
C’était cette ambiance un peu euphorique qu’ils aimaient tant. Ils étaient heureux d’avoir pu trouver une manière de décompresser par rapport à leurs sentiments respectifs, de pouvoir se libérer et d’évacuer tout en se considérant amis alors qu’au fond eux ils espéraient bien plus.*Amis*, un bien faible mot pour ce qu’ils étaient réellement. *Amis*n’était qu’une façade, un masque qu’ils portaient continuellement. *Amis* était devenu un jeu de séduction, une mission top-secrète , digne des Black Ops, où l’enjeu était de ne pas se faire découvrir par l’ennemi, de ne pas dire ce que l’on est réellement, qui on est, et ce que l’on cache au plus profond de nous.
*Amis*, un pacte qui n’offrait pas de possibilité à l’Avenir…
L’excitation de tout à l’heure retombait au moment où ils passèrent la porte du Mess. La routine venait se re-installer : un major, un colonel. Mais celle-ci ne parvenait pas à s’incruster complètement dans l’esprit des deux officiers, seuls leurs comportements avaient obéi.
« Vous allez retourner vous coucher mon colonel ? »
Il regarda sa montre un instant et releva yeux sur elle :
« Non, pas maintenant j’ai une chose à finir au niveau 21, une histoire de comptabilité qu’ Hammond m’a envoyé faire hier soir. »L’informa t-il en fronçant les sourcils et en secouant la tête.
« Oh. »Elle baissa la tête. « Vous prenez l’ascenseur avec moi alors ? »Dit-elle malicieusement.
Sourires, gêne, appréhensions, c’est à peu près dans cet état qu’ils arrivèrent devant celui-ci et y rentrèrent.
Les portes se referment.
*Silence*
C’est incroyable comment leurs comportements euphoriques de tout à l’heure étaient imperceptibles à présent : la joie ayant fait place à la tension…
Mais Jack semblait en proie à divers tourments : il regarda en haut, puis le panneau de commande, Carter, le panneau de commande, Carter, ses Rangers, les cheveux de Carter…
« Vous en pensez quoi ? »Lâcha t-il finalement.
« De quoi ? »
« De toute ces… *rumeurs* »Dit-il en joignant le geste à la parole.
« Bah, rien de bien méchant . Je trouve ça amusant. »
« Oh ! »
…
« Pourquoi ? »
« Pourquoi quoi ?
« Pourquoi cette question ? »Interrogea t-elle avec agacement.
«Oh ! Ben…parce que… »Hésita t-il.
Il soupira bruyamment, et se tourna entièrement vers son second.
« Parce que j’avais envie de faire ça ! »
Il posa ses mains sur son visage, s’avança doucement mais sûrement, et captura les lèvres de Sam, toute en la faisant reculer contre le mur, le temps de forcer ses barrières et d’y introduire sa langue. Elle n’eut même pas le temps de se demander ce qui se passait, qu’elle enfouit ses mains dans ses cheveux pour pouvoir le rapprocher d’elle et d’émettre un gémissement de satisfaction. S’en suivit un baiser passionné qui ne semblait plus vouloir prendre fin.
*****
Il appuya plusieurs fois sur le bouton de l’ascenseur, tout en échappant un bâillement.
*Encore une nuit blanche* Se dit-il. Bon sang, il avait l’impression d’avoir bu toute la nuit !
Il croisa les bras en attendant et cligna plusieurs fois les yeux pour essayer de rester éveiller et évité d’halluciner comme il l’avait fait avec cet Airman tout à l’heure (qu’il avait malencontreusement pris pour Jack.).
*Mais qu’est ce que fait ce foutu ascenseur !*
Les portes s’ouvrirent enfin…
…
N
O
M
D
E
D
I
E
U
!
!
!
…
Il découvrit devant lui un entremelage de bras et de bouche dont il ne savait pas à qui ils /elles appartenaient respectivement.
Le couple, s’étant rendu compte que l’engin s’était arrêtée, décollèrent leurs têtes l’un de l’autre et les tournèrent d’un même mouvement vers l’intrus.
Un intrus particulièrement connu du couple, et qui paraissait à la fois interdit et confus.
« Je, … »
Il reprit :
« Ca y’ est voila que je délire maintenant !! »Dit-il en soupirant et en se passant les mains sur le visage. « Janet, il faut que j’aille voir Janet…moui, elle pourra sûrement m’enfermer ou encore, me donner un sédatif.»
Les portes se refermèrent doucement sur un Daniel complètement perdu dans le couloir.
*Encore un silence*
Aucun des deux n’avaient bougés, trop secoués d’avoir été surpris, même si ils savaient que rien ne sortirait de cette pièce puisse que Daniel ne les avait pas ‘‘réellement’’ vus, même sachant que cela s’aboutirait à une rumeur. Une de plus.
L’ascenseur repartit.
Elle retourna sa tête et prit la parole, inquiète :
« Il va bien ? »
« Très bien. »
« Et toi ? »
« Très bien aussi.»
Ils se sourirent et s’embrassèrent une nouvelle fois plus passionnément que tout à l’heure. Les choses commençaient à aller plus loin entre eux… à tous les niveaux.
Ca va loin là…
Très loin…
Quelqu’un pourraient les surprendre une nouvelle fois…
Pas envie de s’arrêter…
Veulent continuer…
En sécurité…
Cachés…
Euphoriques…
Dans l’ascenseur…
Jack appuya sur le bouton stop.