Pirates des Caraibes 4

Retour à la mer

( suite )

Pendant ce temps là, dans une ville des Caraibes:

Dans une place ronde des centaines de personnes hurlent et se révoltes. Certains savent de quoi ils parlent d'autres se défoulent sur le spectacle. D'autres mieux habillés regarde d'un air froid l'événement. Ce sont les hommes d'Etats comme on disait. Les Lord etc..... Face à tout ce monde , un échaffaud était dréssé.

Un homme bien habillé également  lisait à haute voix un parchemin. De l'autre côté de l'échaffaud , un homme se tenait prés d'un bouton en bois , ou plutot d'une espèce de grande manette. Entre eux, se tenait debout la mine pâle , deux hommes mains enlacés et corde au cou.

Les deux hommes semblaient se connaitrent car ils se lançaient de temps en temps des regards inconnus. De toutes évidences , ils savaient que leur fins étaient proches.

L'homme au parchemin commençait la fin du discours. Les roulements de tambours commençèrent. Petit à petit les gens se criaient plus fort " a mort".

Sur un tonneau , une petite fille était en larme et était retenu par un petit garçon qui regardait d'un regard courageu la mort ....de son père. Il savait qu'il ne le revérait plus jamais . Tout comme Isabelle qui allait perdre son père également , Wyatt  savait que c'était la fin.

L'homme regardait son fils d'un regard d'adieu et entendu. Tout deux repensait à la discussion qu'ils avaient eu , la veuille avant le jugement.

" Un petit garçon passait ses mains à travers les grilles d'une prison. A côté la petite fille l'imitait mais vis à vis d'un autre homme. Le père du garçon le regarda et dit :

- Wyatt , ne sois pas triste s'il te plait.

- Je ne le pourrais pas , répondit le garçon en larme

- Sois fort , pour ton père comme je l'ai était à la mort de ta mère , s'il te plait , sois fort pour Isabelle.

Le petit garçon finit par hochait la tête faiblement en sanglots.

- Je te vengerai ! dit le garçon

- Je ne veux pas que tu meurt toi aussi. Promet moi seulement de choisir seul ton destin. Ne te laisse jamais imposé quelque chose compris ? Et si quelqu'un te fait un obstacle , montre lui qui tu es. Peut importe de qu'elle famille il vient . Tu me le promet ?

- Oui , oui je te le promet père.

Le garçon et son père se regardèrent dans un regard. "

Puis les roulements de tambours céssèrent et l'homme qui tenait la manette la baissa. Un trou apparut sous les pieds des prisonniers qui tombèrent mais restèrent au dessus du vide , retenu par une corde autour de leur cous.  Petit à petit les hommes cessèrent d'avoir de l'air dans les poumons. Petits à petit ils ne virent plus rien . Petit à petit leur battement de coeur diminuèrent jusqu'à ne plus existés.

Tandis que la foule applaudis comme on applaudi à la fin d'un film , deux coeurs se brisaient. De battements de coeurs qui brulaient dans leurs poitrine et qui devenaient de plus en plus violente et douloureuse en voyant cet horrible spectacle. Ces hommes dont la conscience se prétendaient tranquille mais dont leur crime redoublaient dans leur amusement de rire de la mort de deux hommes qu'ils connaissaient  à peine.

Quel crime est plus grand que de faire de deux enfants , des orphelins abandonnés à leurs sort dans une si dure époque ? Quel crime avaient ils commis pour mériter cela ? Ces enfants étaient condamnés avant de savoir même ce qu'était la vie. Mais eux pauvre iiots continuaient de rires et d'appaudir certains même de jurer sur le corps de deux hommes inconnus. Alors que parmis les homme d'Etat , les crimes les plus horribles et incomparable aux leurs , sont pardonnés et où l'on recouvre d'or leur corps.

Mais dans ces coeurs une flammes grandissante et un vent marins les appelés pour les protéger du danger de l'inconnaissance.