Citations du moment :
Were you this annoying when you were ascended? [Carter]
I don?t know. Depends on who you ask. I thought I had a certain je ne sais quoi. Timing was so-so. [Daniel]
Grace
Imagine

Renaissance : Chapitre 2

 
 
Salle d’embarquement, quelques heures plus tard :
 

Teal’C et le Colonel O’Neill franchirent la porte en premier. Il était suivit par deux membres de SG-8.

 

-         Alors, Colonel ? Demanda Hammond.

-         Ca roule.

-         Tous c’est bien passé, Général Hammond. Le bloc à parfaitement était chargé sur le véhicule de transport. D’ailleurs il ne devrait pas tarder à arriver. Expliqua Teal’C.

-         C’est bien ce que je disais : Ca roule…

 

Il firent face à la flaque bleue. Un véhicule à chenille en sorti. Dessus était posé le bloc de topaze. Il avait été recouvert d’une sorte de bâche, plus par pudeur pour la jeune femme que par protection, il faut bien l’avouer. Les docteurs Jackson et Fraiser se trouvaient chacun d’un coté de l’appareil. Sam, plus en arrière, contrôler le véhicule garce à un boîtier de télécommande. Le reste de SG-8 fermait la marche.

 

-         Doucement, Sam. Tout doux.

-         Daniel, cela va faire cinq fois en une heure que vous me dite ça…

-         Désolé.

 

Le Général Hammond prit la parole.

 

-         Docteur Carter, êtes-vous sur que nous ne prenons pas de risque ?

 

Jack et Teal’C tout comme Janet et Daniel ainsi que les membres de SG-8 s’échangèrent des regards d’étonnements. Ni Sam, ni Hammond, ne semblaient avoir fait attention à l’erreur de ce dernier.

 

-         Nous ne pouvons être sur de rien, mon Général. Mais il met impossible d’approfondir mes recherches sans le matériel de la base.

 

Personne, même pas Jack, n’osa faire remarquer au Général son mépris. Daniel mit cela sur le compte de l’inattention, mais pas Janet.

 

-         Je vous rappelle, Major, que les Goa’uld ont déjà essayé de nous piéger par des moyens similaires. Teal’C, qu’en pensez-vous ?

-         C’est en effet une possibilité, Général Hammond. Mieux vos rester sur nos gardes.

-         Très bien. Major, emmenez cet artéfact dans votre laboratoire, pour analyse. A partir de maintenant la base passe en mode d’autonomie total. Nous nous isolons du reste du monde jusqu’à ce que vous et le docteur Fraiser soyez sur que ceci est sans risque.

-         A vos ordres, monsieur.

-         Très bien, alors au travail.

 

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 Laboratoire du Major Carter :
 

Le Colonel O’Neill rentra dans le labo. Au passage il fut salué par les deux soldats en faction devant la porte.

 

-         Alors mesdames, vous avancez ?

-         Très lentement mon Colonel, il faut bien l’avouer. Pour l’instant tout ce que nous avons réussit à apprendre c’est que la jeune femme est toujours vivante.

-         Vivante ? Vous en êtes sur Carter ?

-         Pratiquement certain, Colonel. Repris le docteur Fraiser. Elle génère de la chaleur et son cerveau est actif.

 

Jack regarda le bloc, perplexe. Sur celui-ci étaient fixé ou dirigé de nombreux appareil dont le Colonel n’avait pas la moindre idée de l’utilité.

 

-         Mais je croyais que ce truc générait un champ magnétique qui empêchait tout votre attirail de fonctionner.

-         Nous avons du adapter leurs fréquences pour qu’ils soient alignés avec celle de la structure, mais maintenant ils fonctionnent.

 

O’Neill prit son expression : « si vous le dite… » et il se passa la main sur la nuque pour essayer de dissiper une douleur. Janet le remarqua.

 

-         Colonel, es-ce tout va bien ?

-         Mmm ? Ho, oui, juste un peut mal à la tête.

-         Vous aussi ?

-         Comment cela moi aussi ?

-         Sam a, elle aussi, des maux de tête.

-         Janet, ce n’est rien.

-         Je ne suis pas d’accord. Il se peut qu’une exposition prolongée à ce bloc ait des répercutions sur l’organisme.

-         Mais vous, vous n’avez rien ?

-         Je n’ai pas autant était exposer que vous. Suivez-moi à l’infirmerie, je vais vous faire passer des testes.

 

            Et avant que les deux militaires n’eurent répliqué :

 

-         Et ne m’obliger pas à vous l’ordonnez.

-         Vous ne pouvez pas faire ça ? Demanda Jack.

-         Si, elle le peut… Répondit Sam.

-         Vous ne le feriez pas ?

-         Ho si ! Elle le ferait.

-         C’est bien ce que je craignais…

 

Jack souffla :

 

-         Bon… Commença t-il.

-         Allons y. Finit le Major

 
 

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Salle de Briefing, une heure et demie après :
 

SG-1, le Général Hammond et le docteur Fraiser étaient réunis.

 

-         Général, pourquoi cette réunion ?

-         Sur la demande du docteur Fraiser, Colonel. Et pour tout vous dire j’en ignore les raisons.

-         Janet ? Interrogea Sam.

-         Si j’ai demandé au Général de vous réunir, c’est que j’aimerais vous demander si vous n’avez pas remarqué s’il se passait quelque chose d’étrange dans la base ?

-         Comment cela, docteur Fraiser ? Demanda Teal’C.

-         Ce n’est peut être que le produit de mon imagination, mais je pense plutôt que toutes ces années ici ont affiné mon sens de l’observation. J’ai l’impression qu’il y à quelque chose qui ne va pas.

-         J’ai du mal à vous suivre.

-         Et bien j’ai commencé par noté de nombreux lapsus, erreurs et autre "fourchage de langue" de nombreuse personne…

-         Comme le Général en salle d’embarquement tout à l’heure ?

 

Hammond eu un regard d’incompréhension envers Daniel.

 

-         Ou comme vous, Teal’C et tant d’autre.

-         Se tromper cela arrive.

-         C’est vrai Colonel. Mais à ce point ?

-         Et c’est tout, docteur ?

-         Non mon Général. Si je n’y avais que cela, je n'aurais rien dit. Comme le dit le Colonel, tout le monde peut se tromper.

-         Mais ?

-         Mais, il faut rajouter à cela deux événements particulièrement troublant. Premièrement, les rêves de Teal’C…

 

Des regards interrogateurs se portèrent sur le Jaffa.

 

-         Attendez, mais les Jaffa ne rêvent pas.

-         C’est exact, Major Carter.

-         Dans ce cas la qu’est ce que vous êtes aller raconter au doc., Teal’C.

-         La vérité O’Neill. C’est dernier temps, je fais des rêves.

-         Quels genres de rêves ? Demanda Daniel, intrigué.

-         Toujours le même, Daniel Jackson : Un combat héroïque, des morts… ma mort.

 

Daniel était troublé.

 

-         Docteur Jackson ?

-         Cela fait quelque temps que… je fais un rêve similaire.

-         Quelque temps ?

-         Un mois environs.

-         Les miens sont plus récents.

-         Coïncidence ?

 

Un silence se fit. Leurs expériences leurs avaient déjà mainte fois prouvées qu’il n’existait pas de coïncidences.

 

-         Vous parliez de deux choses troublantes, docteur.

-         En effet Général. Mais comme je suis tenu par le secret médical, je ne vous donnerais pas l’identité de la personne dont je vais vous parler. Il y a quelque temps, un soldat est venu me voir parce qu’elle se sentait souffrante…

-         Elle ?

-         Oui, Colonel, "Elle". Après quelque analyse il s’est avérer qu’elle était enceinte.

 

Daniel retira ses lunettes et Teal’C leva un sourcil.

 

-         Le problème est qu’elle m’a confié qu’elle n’avait jamais connu d’homme.

-         Bien sur. Et elle est tombée enceinte par la volonté du Saint Esprit ?

-         Colonel !

-         Ne se pourrait-il pas que l’on est abusé d’elle dans un moment de… faiblesse ? Demanda Daniel

-         Quant elle était saoul, par exemple. Rajouta Jack.

-         C’est ce que j’ai pensé aussi Daniel. J’ai donc, avec son consentement, vérifier.

-         Et ?

-         Pour reprendre les paroles du Colonel : « Elle est tombée enceinte par la volonté du saint esprit ».

-         Janet, la science actuel permet parfaitement de concevoir une grossesse toutes en conservent sa virginité.

-         Je sais Sam, mais une telle opération ne lui aurait pas échappé.

-         Et surtout pourquoi faire cela ?

-         Bonne question.

-         Je sais que toutes ces affaires ne semblent pas lier…

-         Mais cela fait beaucoup de coïncidences.

-         En effet, mon Général.

 

Jack pour Sam, tout en exerçant une pression sur ses yeux avec ses doigts pour dissiper la douleur de son mal de tête :

 

-         Samy, rassurez-moi, le docteur Fraiser ne parlait pas de vous ?

 

Sam rougissant

 

-         Voyons, Jack, bien sur que non !

 

Le reste des membres de l’assemblée les regardèrent éberlué.

 

-         Quoi ? Demandèrent-ils en même temps.

-         Samy ? Demanda Daniel à Jack.

 

Le Colonel le regarda sans comprendre de quoi il parlait. Carter non plus d’ailleurs.

 

-         Vous donnez au Major Carter un petit nom maintenant ?

-         De quoi parlez-vous ?

-         Vous ne venez pas de l’appeler "Samy", à l’instant ?

-         Bien sur que non !

-         Ho si !

-         Mais non !

-         Si !

-         Non !

-         Daniel Jackson dit vrai, O’Neill.

-         Teal’C, vous devez vous tromper.

-         Je crains que non, Major Carter.

-         Mais c’est impossible.

-         Ca suffit ! Ordonna Hammond.

-         …

 

Janet reprit :

 

-         Rajoutons à cela des mots de tête pour le Colonel et le Major…

-         En parlant de cela, les résultats de leurs analyses donnent quoi ?

-         Rien du tout, mon Général, ils sont en parfaite santé. Et le fait que se soit les deux seules personnes soufrant de maux de tête parmi toutes ceux qui se sont approchés du bloc, j’en déduit que l’on ne peut pas tenir l’artefact responsable de leur douleur.

-         Très bien, récapitulons : Nous avons des lapsus, des rêves étranges, des maux de tête et une femme qui tombe mystérieusement enceinte. Autre chose à signaler ? Demanda Hammond.

 

Personnes ne répondit. Les regards se croisèrent à la recherche d’une éventuelle personne ayant quelque chose à dire. Jack tapotait nerveusement la table.

 

-         Colonel, auriez vous quelque chose à nous dire.

-         Mmm… c’est possible.

 

Hammond ne dit rien. Il attendait que Jack continue.

 

-         Il à quelques jours, je chantais sous ma douche…

-         Colonel, ne pourriez vous pas être sérieux ?!

-         Ha, mais je le suis mon Général !  Laisser moi finir.

 

Hammond, pas convaincu :

 

-         Je vous en pris.

-         Je disais donc : Je chantais sous la douche…

-         J’imagine la scène… Se moqua Daniel.

 

Sam ne put s’empêcher de sourire

 

-         Daniel !

-         Docteur Jackson !

-         Désolé…

-         Donc, j’étais sous ma douche et je me suis mis à chanter…

 

Il attendit un instant pour voir si on l’interrompe une fois encore.

 

-         Quand je me suis aperçu que….

-         Que ?

-         Que c’était du Goa’uld…

-         Du Goa’uld ?

-         Oui, Daniel, c’est ce que je viens de dire.

-         Colonel, depuis quand connaissais vous une chanson en Goa’uld ?

-         Et surtout comment s’avais vous que c’était du Goa’uld ?

-         Aux deux questions je répondrais : Aucunes idées.

-         O’Neill, si Daniel Jackson et moi-même pouvions entendre cette chanson nous pourrions la traduire et ainsi en apprendre plus.

-         Teal’C, vous voulez que je chante ? Là ? Ici ? Maintenant ?

-         Nous nous contenterons des paroles, Colonel.

-         Mon Général…

-         Colonel, ne m’obliger pas à vous l’ordonnez.

 

Jack soupira. Il commença à décliner sa chanson. En faite cela ressemblait plus à un poème. Daniel et Teal’C traduisaient : Il s’agissait de l’histoire de deux amoureux séparé se trouvant aux extrémités de la galaxie et qui malgré la distance s’aimerait toujours

Pendant que Jack récité son poème, lui et Sam se regardaient droit dans les yeux. Tous leurs sentiments étaient transmis par ce regard.

Et puis il se passa quelque chose d’étrange, Jack s’arrêta et c’est Sam qui pris la suite du récit : L’un des deux amoureux mourrait tragiquement et l’autre décidait de continuer à vivre pour honorait son souvenir et leur amour.

Se fut le silence. Tout le monde regardait Sam, la bouche ouverte pour certain. Elle est Jack ne disaient et continuer de se regarder droit dans les yeux.

 

-         Sam… Comment connaissez-vous cette chanson ?

 

Sam, toujours le regard dans les yeux de Jack.

 

-         Je ne sais pas Janet. C’est venu comme cela.

-         Woa… En tout cas, c’était magnifique.

-         Je suis d’accord avec Daniel Jackson.

-         Et vous Colonel O’Neill, d’où tenez-vous ce récit ?

 

Jack obnubilé par Sam ne répondit pas.

 

-         Colonel, Je vous parle !

 

Jack détournant enfin le regard de Sam :

 

-         Pardon mon Général. Non, je ne sais pas d’où je tiens cette chanson.

 

Se retournant vers Sam.

 

-         Et vous Car… Bon Sang !

-         Quoi ? Demanda Sam..

 

Une fois encore, ce fut l’étonnement général. Tous les regards se portèrent sur le Major Carter. Teal’C leva un sourcil, Daniel regarda par-dessus ses lunettes et le Général avait la bouche grande ouverte.

 

-         Mais qu’est ce qu’il y a ?

-         Sam, vos cheveux… Expliqua Janet.

-         Mes cheveux ?

 

Elle porta sa main sur ses longs cheveux blonds. Long ? Ses cheveux qui étaient juste là coupé court lui arrivé à présent sur les épaules.

 

-         Mais qu’est ce que cela signifie ? Demanda Hammond.

-         J’aimerais bien le savoir.

-         Major Carter, comment vous sentez-vous ?

-         Parfaitement bien, mon Général.

-         Vous ne sentez aucune différence ?

-         Et bien non.

-         Ca vous va très bien les cheveux longs, Sam.

-         Merci, Jack.

-         Ils remettent ça.

-         Pour ma part, je continue à penser que le bloc qui contient la jeune fille et la solution à nos problèmes.

-         Qu’est ce qui vous fait dire cela, Teal’C.

-         Je ne sais pas Général, une intuition.

-         De toute façon, c’est notre seule piste pour l’instant.

-         Docteur Fraiser, Major Carter remettez-vous au travail.

-         A vos ordres. Répondirent-elles.

-         Et je veux que tous les événements étranges me soient rapportés. Même s’ils semblent sans intérêt.

-         Bien, monsieur.

-         Vous pouvez disposer.

 
 

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Infirmerie, peu après :
 

-         Docteur Fraiser vous arrivez juste à temps. J’allais vous appeler.

-         Que se passe t-il, Malcom ?

-         J’étais entrain de rentrer dans l’ordinateur les résultats des derniers examens du Colonel O’Neill quant certaines données m'ont surprises.

-         Vraiment, lesquels ?

-         Ceux-ci.

 

L’homme désigna sur l’écran d’ordinateur devant lequel il était assis, une série de chiffre à son supérieur.

 

-         Mais, c’est impossible ! Vous avez du vous tromper en les relevant.

-         Je peur que non. Comme cela m’a intrigué, j’ai vérifié trois fois. D’ailleurs, voici votre feuille de note.

 

Malcom tendit une feuille à Fraiser. Elle put constater que les résultats étaient les mêmes.

 

-         Mon dieu !

 

Elle partit en trombe de l’infirmerie.

 
 

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Labo du major Carter, au même moment :
 

Un sifflement strident remplissez toute la pièce. Sam utiliser une sorte de perceuse pour entamer la matière jaunâtre du bloc.

Jack arriva dans la pièce.

 

-         Carter !

 

Elle n’entendit pas.

 

-         Hé, Carter !

 

Suite au manque de réaction du Major. Jack s’approcha d’elle et lui posa la main sur son épaule. Sam surprise, sursauta et arrêta ce qu’elle était entrain de faire.

 

-         Mon Colonel ? Vous m’avez fait peur.

-         Désolé.

 

Sam ôta ses lunettes de protection et les posa sur une table ainsi que sa perceuse.

 

-         Je peux vous aider, mon Colonel ?

-         Et bien…Que faite vous au juste ?

-         J’essais d’extraire un échantillon de cette matière pour pouvoir l’analyser.

 

Jack regarda là où Sam avait percé. L’endroit était lisse de toute agression.

 

-         Ca n’a pas l’air de marcher.

-         En effet. J’utilise une mèche de Titane et je n’ai même pas raillé la surface. Il faudrait en concevoir une à base de Naquadah pour espérer que sa densité sera…Désolée, je vous embête avec mes explications.

-         Mais non…

-         Je suppose que vous n’êtes pas venu me voir pour savoir où j’en étais ?

-         Pas uniquement. Pour tous vous dire… en faite je voulais parler de cette chanson…

-         …Dont nous connaissons tous les deux les paroles ?

-         C’est ça.

-         Je sais, c’est étrange.

-         C’est le moins que l’on puisse dire.

 

Ils ne dirent plus rien. Leurs yeux étaient de nouveau plongé dans ceux de l’autre.

Au bout de quelques secondes, Jack réussit à détourner son regard.

 

-         Je vais vous laisser, je vous fais perdre votre temps.

 

Il commença à se diriger vers la sortie.

 

-         Mon Colonel ?

 

Jack s’arrêta mais ne se retourna pas.

 

-         Oui Carter.

-         Vous ne me faite jamais perdre mon temps.

 

Il sourit et jeta un regard furtif vers elle.

 

-         Merci, Sam.

 

Jack ne fit qu’un pas vers la porte, quant celle ci s’ouvrit. Teal’C pointa son zat’ sur O’Neill. Il était suivit de Janet, Daniel, le Général ainsi que deux autres soldats.

 

-         Ne bougez plus, O’Neill. Ordonna le Jaffa.

-         Teal’C, qu’est-ce qu’il vous prend ?

-         Reculez Major Carter. Cet homme est dangereux.

-         Dangereux ? Mais qu’est ce que vous me racontez ? Interrogea O’Neill.

-         Mon Général ? Questionna Sam.

-         Faite ce que vous dit Teal’C, Major.

 

Par réflexe militaire, Sam recula.

 

-         Pourrait-on m’expliquer en quoi je suis si dangereux ?

 

Faisant comme si c’était Sam qui avait posé la question Janet lui répondit.

 

-         Ce n’est pas le Colonel O’Neill, Sam, c’est un Goa’uld.

-         Quoi ?! S’écrièrent en même temps les deux officiers.

-         C’est une plaisanterie ?!

-         Mais c’est impossible je l’aurais senti, et Teal’C aussi.

-         Exacte ! Merci Major. Vous voyez…

-         Dans ce cas "Colonel O’Neill", expliquer moi pourquoi vous avez du Naquadah dans le sang ?

 

Jack et Sam restèrent perplexe. Daniel reprit :

 

-         Ecoutez, à mon avis Jack doit être possède par un jeune Goa’uld. Ca expliquerai ses maux de tête. Souvenez-vous, c’est ce qui était arrivé au Major Kawalski. C’est peut-être encore notre Jack. Du moins pour l’instant.

-         C’est possible Daniel Jackson, mais dans ce cas là, je vous rappelle que le Major Carter est victime des mêmes maux de tête.

-         Quoi ?! S’écrièrent une nouvelle fois les deux officiers.

-         J’aimerais bien que l’on me dise comment mes deux meilleurs officiers ont pu être parasité par des Goa’uld ?

-         Je ne sais pas, Général Hammond.

-         Dites-moi, l’idée ne vous est pas venue que Janet ait put se tromper ? Lança Jack sur un ton sarcastique. Sans vouloir vous offenser, doc.

-         Nous allons vite être fixées. Colonel, Major suivez-nous sans résistante juste à l’infirmerie. Là vous passerez un scanner et nous serons à quoi nous en tenir.

-         Bonne idée, direction l’infirmerie.

-         C’est la première fois que je vous vois si pressé d’y aller.

-         Ho ! Ca va, vous…

 
 

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Quelques tests plus tard :

La porte de la cellule se referma. O’Neill soupira et alla s’asseoir sur le lit de sa cellule.

 

-         Le lit de votre cellule est confortable, Carter ?

-         J’ai vu pire, mon Colonel.

-         Je m’en doute.

-         Dites-moi, mon Colonel, comment puis-je être sure que je vous parle vraiment et pas à un Goa’uld ?

-         Personnellement, je sais que malgré ce que certifient les tests de Fraiser, je n’ai pas un serpent dans la tête. Donc, j’imagine qu’il va de même pour vous, et qu’à votre place je me dirais la même chose. Bref, nous sommes bien nous même.

-         Vu comme cela…

 

 

 
 
Conçu par Océan spécialement pour Imagine.
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