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La recherche a besoin d'argent dans deux domaines prioritaires : le cancer et les missiles antimissiles. Pour les missiles antimissiles, il y a les impôts. Pour le cancer, on fait la quête.
[Pierre Desproges]
Imagine

Flagrant Délit : Chapitre 3

Titre : Flagrant Délit

Auteur : Sady

E-mail :

Shipperaddict@neuf.fr

Spoilers : Saison 1 & 2

Résumé:

Note de l’auteur : Bon bah, je suis au regret de vous annoncer que ceci est le dernier chapitre de la fanfic. Et oui toute bonne chose à une fin et celle ci est la fin de la fanfic.

Chapitre 3

Le militaire était sortit finalement de la chambre de la jeune femme avec un sourire sur les lèvres. Mais voilà qu’il ne s’y attendait pas.

Mckay se trouvait juste devant lui, un petit sourire sur les lèvres.

" Colonel Sheppard"

" Mckay !!!!"

" Qu’est-ce que vous êtes en train de faire dans les quartiers d’Elizabeth ?"

John était en train de réfléchir, s’il faisait une remarque déplacée de sa part, Rodney aurait vite fait de comprendre qu’il cachait quelque chose.

" Disons que ma douche ne voulait pas fonctionner et j’ai du demander de l’aide à Elizabeth"

" Ah je vois ça"

" Rodney, ce n’est pas ce que vous pouvez croire."

" Mais je ne crois rien "

Elizabeth venait de sortir de ses quartiers et remarqua les deux amis en train de discuter. Elle vint à leur rencontre.

" Rodney John, je peux savoir ce qui se passe ?"

Rodney se retourna vers la jeune femme.

" Je suis désolé Elizabeth de vous déranger tous les deux"

" Mais vous ne nous déranger en rien"

Elizabeth comprit subtilement ce que Mckay essayait de dire.

" Le Colonel Sheppard était en train de rentrer dans ses quartiers, si vous l’avez vu sortir des miens, c’est tout simplement que sa douche n’avait plus d’eau chaude"

" Bien, ce n’était pas à cause de ça, j’ai oublié ce que je voulais vous dire"

Le Canadien était en train de s’en aller mais il se retourna et retrouva ses deux amis.

" Ah oui, j’ai oublié de vous prévenir qu’il y a quelques quartiers qui sont inondés et dont les votre Colonel Sheppard"

" Mais comment est-ce possible ?"

" Je ne sais rien de plus, nous sommes moi et le docteur Zelenka en train d’essayer de trouver la fuite qui pourrait venir du niveau inférieur"

" D’accord, vous me tenez au courant"

" Bien Elizabeth, Bonne nuit à tous les deux"

Mckay avait dit ça ironiquement aux deux Leaders. John & Elizabeth étaient en train de se regarder cherchant tous les deux une solution au nouveau problème.

" Je crois que nous ne pouvons pas faire autrement"

" Qu’est ce que vous voulez dire ?"

" Que vous ne pouvez pas vous passer de moi encore une fois, je suis la solution à tous vos problèmes"

John marmonna dans sa barbe « Et si c’était vrai » Tous les deux ne réalisaient pas l’impact de leurs mots.

Les quartiers d’Elizabeth étaient juste en face d’eux, ils y rentrèrent tous les deux. Elizabeth regarda le lit et en même temps John.

Ils ne pouvaient pas se trouver dans le même lit même si c’était un des désirs d’Elizabeth. Heureusement qu’elle n’avait pas pensé ça à haute voix.

John quant à lui était en train de regarder aussi le lit et Elizabeth de son côté.

" Je pense que le sol sera suffisant pour cette nuit enfin, si ce n’est que pour cette nuit"

" Bien comme vous voudrez"

Elle lui donna quelques couvertures ainsi que des oreillers et ce dernier s’installa par terre juste après avoir fait son lit.

Elizabeth s’était mit en tenue adéquate et elle se coucha dans son lit tandis que John en fit de même. Ils regardaient tous les deux le plafond.

Et ils se souhaitèrent bonne nuit.

Il n’y avait encore une fois que le calme de la chambre et le bruit des vagues au dehors. Elizabeth était en train de regarder son réveil à gauche de son lit qui lui indiquait qu’il n’était que 2 heures 30 et qu’inévitablement le sommeil n’était pas encore venu.

John quant à lui, même la présence d’Elizabeth dans la même chambre que lui ne le dérangeait pas. La jeune femme s’était penché et était en train de le regarder dormir. Il était si beau.

Mais quelque chose attira son attention, elle vit dans la pénombre de ses quartiers comme un liquide qu’elle connaissait si bien et qui s’appelait eau venait de traverser la porte, ce n’était pas grand chose mais cela était venu jusqu’à John. Il sentit quelque chose de froid et se leva en vitesse pour regarder l’eau venir couler jusqu’à lui.

" Ce n’est pas mon jour de chance aujourd’hui"

Il mit une main devant sa bouche mais réalisa qu’Elizabeth devait certainement dormir.

Mais elle avait les genoux repliés et impossible de dormir.

" Je suis désolé Elizabeth mais j’ai encore besoin de vous"

" Je vois ça"

Elle tapa de la main la petite place qu’elle pouvait lui accorder dans le lit.

" Je crois que je devrais essayer de trouver ailleurs"

" Je ne suis pas si sur, Rodney m’a dit que pratiquement tous les quartiers sont plus où moins inondés et que nous ne pouvons pas faire autrement, heureusement que ce n’est pas grave, rien n’a été endommagé"

John se plaça à gauche ne réalisant pas que c’était peut être la place de la jeune femme.

" Ne vous inquiétez pas John, je prends celle que vous me donnerez"

Il s’installa en même temps qu’Elizabeth. Leurs deux corps se trouvaient à proximité plus qu’ils n’auraient pu le faire auparavant.

John voulut se retourner mais il se retrouva face à face avec Elizabeth.

" Désolé" glissa t’il.

Elle était en train de rougir comme une enfant de 5 ans. Finalement John s’était retourné de l’autre côté, le parfum d’Elizabeth était en train de lui taper dans les narines. Il ne pouvait pas fermer les yeux et la jeune femme aussi.

Il nicha son visage au creux d’Elizabeth s’estimant que c’était la seule façon qu’il avait trouvé.

" John…"

Elle entendit un ‘Hmmm’ elle se retourna pour faire face au visage du militaire. Il venait de l’embrasser. Et Elizabeth ne put se désister de ce baiser, elle en avait tellement envie.

Le soleil venait de pointer le bout de son nez caressant la joue de la jeune femme, elle se sentait si bien qu’elle n’avait pas bougé.

Rodney était en train de regarder autour pour s’apercevoir que les vêtements étaient éparpillés. Un petit sourire sur les lèvres.

Définitivement ces deux là étaient bien compliqués.

 

FIN

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
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