...
Dans la forêt Kowalski soufflait dans ses mains pour les réchauffer.
Un sergent se plaça derrière lui.
Sergent : nous ne devrions pas commencer à replier le camps pour retourner sur Terre mon colonel ?
K : nous ne bougerons pas à moins qu’il se mette à geler en enfer sergent.
Sergent : je crois que c’est ce qu’il ce passe ici monsieur.
F (qui était à côté de K) : on ne repartira pas sans le général, maintenant excusez nous mais le … (regardant le soleil) … les soleils étant levés, je vais entretenir mon bronzage.
K : je te suis.
Sg1 avait revêtu encore une fois une armure serpent pour passer inaperçu jusqu’à la prison. Cela faisait près d’une heure qu’ils observaient les allées et venues, ils avaient décidés d’attendre qu’Apophis se déplace pour profiter de l’occasion de l’éliminer en même temps qu’ils allaient délivrer les prisonniers.
Celui ci ne se fit pas attendre plus longtemps.
Il arriva accompagné d’une femme magnifique dont les yeux se mirent à briller.
T : Amonhet.
C : reste-t-il quelque chose de l’hôte après l’implantation ?
T : non.
Sam baissa la tête, elle aurait voulu pouvoir sauver aussi cette femme et cet homme prisonnier des faux dieux mais cela était apparemment impossible.
O : Sam ? ça va ?
C (le rassurant d’un sourire) : oui, ne t’inquiète pas.
O : ok, alors on y va, Sam avec moi par la droite, Teal’c et Daniel à gauche.
T : bien O’Neill.
Ils se déployèrent rapidement, éliminant les jaffas les uns après les autres avec les armes qu’ils avaient volé aux propriétaires des armures. Un premier coup faisait souffrir l’adversaire, le deuxième le tuait et le troisième le désintégrait.
Autant dire que le ménage fut rapide, Apophis s’étant rendu compte de ce qu’il ce passait se protégea lui et sa compagne grâce à un bouclier d’énergie, mais c’était sans compter avec l’intervention de Teal’c qui le saisit à la gorge et lui brisât les cervicales d’un coup sec (note de l’auteur : je sais pas si c’est possible, mais pourquoi pas, après tout, les objets lancés à une certaine vitesse passent, alors je rajoute un nouveau paramètre qui dit que ce bouclier n’arrête que les tirs d’armes Goaul’d ou autre, comme ça mon copain Teal’c peut lui péter sa gueule, dsl je m’emporte), les yeux du faux dieux s’illuminèrent une dernière fois avant qu’il tombe lourdement sur le sol sous les yeux plein de haine de sa reine.
Mais elle n’eu pas le temps de riposter, après la mort d’Apophis le bouclier était tombé aussitôt, et la nouvelle reine reçu une rafale de P90 dans le ventre de la part de Daniel, elle s’effondra morte à côté d’Apophis.
Les derniers jaffas voyant leur dieux à terre, s’enfuirent en courant, n’ayant plus personne à servir.
Jack ouvrit le haut de son armure.
O : encore une bonne chose de faite, et si on aidait tout ces gens à rentrer chez eux ?
T : avant je voudrais faire une dernière chose.
Teal’c pointa son arme sur les deux faux dieux et tira trois fois sur eux les faisant disparaître à jamais.
O : très bonne idée.
D : heu … si on rentrait ?
O : c’est la première phrase intelligente que vous prononcez Daniel.
D : merci, ça fait toujours plaisir.
O : mais de rien.
D : h …
C : messieurs, vous n’allez pas commencer, on a pas que ça à faire.
Les deux concernés la regardèrent étonnés, Sam comprenant que ça allait recommencer, s’approcha lentement de Jack en plongeant son regard dans le sien et lui murmura.
C : c’est un ordre général.
Elle encadra alors son visage de ses mains et goûta ses lèvres, les effleurant à peine. Elle allait se retirer lorsque Jack la plaqua contre lui et captura sauvagement ses lèvres, leurs langues se mêlèrent durant un temps indéfinissable pour nos deux amants. Ils se séparèrent à contre cœur en entendant Daniel se plaindre de la distance qui le séparait de sa femme.
O : à vos ordres mon professeur.
Ils allèrent s’embrasser encore une fois, mais Daniel en décida autrement.
D : bon, ça suffit maintenant je pense qu’on a compris.
O : un problème Daniel ?
D : ouiiii.
O : très bien on y va.
Ils délivrèrent les prisonniers et se dirigèrent vers la porte des étoiles, une fois sur Terre ils renvoyèrent toutes les personnes sur leur planète d’origine, puis passèrent par l’obligatoire visite médicale post mission.
Ils se retrouvèrent tous en salle de débriefing, et tout ce passa bien jusqu’à ce que Sammuels ouvre la bouche.
Sa : mais puis je savoir pourquoi vous n’avez pas éliminé toute menace en plaçant une bombe sur cette planète ?
Tout le monde le regarda bizarrement, mais ce fut Sam la plus rapide à lui répondre.
C (debout et s’énervant sur lui) : c’était une option chez vous le cerveau ? vous êtes vraiment stupide tous les jours de l’année ou vous vous accordez quelques jours de vacances ? (j’adore cette réplique qui s’applique autant à Sammuels qu’à Meybourne)
Sa (se levant à son tour et haussant le ton) : je vous demande pardon ?
O (prenant la main de Sam et la faisant s’asseoir) : ce qu’elle veut dire c’est que nous avons aider le peuple de Chulak en le libérant et la menace Apophis n’étant plus au menu du jour nous n’avions aucune raison de détruire cette planète.
Sa : comment pouvez vous être sûr qu’il soit bien mort ?
O : vous êtes vraiment stupide ou vous le faites exprès ? je ne vois pas comment il aurait fait pour survivre à sa propre désintégration.
Sa : sauf votre respect mon général, vous n’avez aucune preuves.
T (très calme comme à son habitude) : je peux facilement fournir cette preuve à votre gouvernement, en vous désintégrant immédiatement devant vos caméras de surveillance.
O : qu’en pensez vous Sammuels ? personnellement je pense que c’est une très bonne idée, au moins vous servirez à quelque chose dans cette histoire.
Tout le monde se mit à rire et Sammuels se rassit sur son siège limite effrayé par les propos de Teal’c.
H : bien je crois que nous avons fait le tour, quartiers libres jusqu’à lundi 8ham, rompez. Je suppose que vous ne restez pas Jack ?
O : à vrai dire je suis un peu fatigué, et puis vous êtes là maintenant, je préfère me consacrer au terrain, j’ai jamais aimé être enfermé dans un bureau, vous avez donc les pleins pouvoirs.
H (lui serrant la main) : comme vous voudrez, bonne soirée.
O : à lundi Georges.
Ils quittèrent tous la pièce, sous le regard du général Hammond, et se dirigèrent tous vers la sortie.
Daniel alla retrouvé Sha’re dans leur nouvel appartement fourni par l’armée en centre ville, invitant Teal’c à le suivre.
Quand à Jack il se retourna vers Sam et lui sourit.
O : quelque chose de prévu professeur ?
C : pas encore mais ça se pourrait, une idée général ?
Il ne lui répondit pas, il lui sourit et la prit par la main jusqu’à sa voiture. Une fois arrivé devant sa maison, il la fit descendre de l’auto et toujours dans un silence partagé la fit entrer.
Là il commença à l’embrasser passionnément, elle répondait parfaitement à son invitation, il la prit alors dans ses bras et la conduisit jusqu’à sa chambre. Il la déposa debout à coté de son lit et l’admira, elle était magnifique.
Ils captura encore une fois ses lèvres, et suivie le chemin que traçait sa langue le long de sa gorge, ses mains glissant sur la peau de ses bras, pour ensuite lui emprisonner la taille. Il se recula et ne put lire que de l’amour et du désir dans les yeux de sa partenaire. Il lui retira alors lentement ses vêtements, puis ses sous-vêtements, toujours ses yeux plongés dans les siens. Il s’avança alors contre elle et la fit reculer pour qu’elle s’allonge sur le lit défait.
Lui toujours debout se déshabillât devant les yeux attentifs de Sam qui n’attendait plus que lui.
Il commença à la caresser, et à embrasser chaque parcelles de sa peau. Jack se retira un instant, regardant le visage de Sam pendant qu’il caressait ses seins, elle avait les yeux fermés, ses lèvres séparées pendant qu’elle haletait en réponse à son doux contact. Satisfait, il entreprit de placer de petits baisers sur ses seins, pour finalement tirer un mamelon avec les lèvres. Un doux pleur parvint à ses oreilles quand il se mit à la sucer, tirant sa chair plus profondément dans sa bouche chaude.
Jack passa de longues minutes à lécher et sucer les seins de Sam, pris dans la sensation érotique de sa chair dans sa bouche il ne se rendait à peine compte des doigts lui tirant les cheveux.
Quand il se retira elle pleurnicha, mais il continua son exploration, posant ses mains sur ses hanches, il embrassait le bas de son ventre ferme avant de glisser ses mains sous ses cuisses, les faisant se relever, il plaça ses mains sous ses genoux et lui fit écarter les jambes. Il se plaça alors entre celles ci et commença à explorer soigneusement la chair tendre exposée à lui, plaçant de doux baisers sur l’intérieur de ses cuisses. Jack passa ses longs doigts sur les courbures blondes de Sam, les séparant doucement, et frottant ses plis lisses pendant qu’il cherchait son clitoris.
Il sut qu’il avait atteint sa destination quand il sentit Sam se contracter, poussant un petit cri et poussant ses hanches pourtant maintenues par ses mains fortes.
Il commença alors à lécher et à sucer son clitoris, établissant au fur et à mesure le plaisir de Sam, elle haletait de plus en plus et son bassin se déplaçait rythmiquement contre lui.
Se déplaçant brutalement, Jack plaça un bras sur les hanches de Sam pour la plaquer au lit et de sa main libre il commença à frotter doucement sa chair tendre. Il sentit les ongles de Sam se planter dans son bras, ignorant la légère douleur, il continuât son assaut sensuel, augmentant l’intensité de ses caresses, et suçant fermement son clitoris. Il fit entrer un premier doigt en elle puis une second, son corps entier s’est alors tendu sous cette douce torture, mêlé de plainte signalant le début de son orgasme. Jack continua doucement jusqu’à ce qu’elle se détende finalement sous son contact.
Jack remonta le long du corps de Sam, celle ci le berçant entre ses cuisses.
S’appuyant sur ses coudes il encadra le visage de Sam de ses mains.
O : Sam regarde moi.
Elle a lentement ouvert les yeux lui portât un regard empli d’amour et de plaisir satisfait. Il ne pouvait imaginer que quelqu’un lui porterait un jour tant d’amour, qu’avait il fait pour mériter qu’une femme aussi merveilleuse que Sam veuille de lui.
O : je t’aime tellement.
Les lèvres de Sam formèrent doucement un magnifique sourire et elle serra ses cuisse plus serrées autour de ses hanches, déplaçant lentement son bassin contre son sexe puissant.
C : je sais Jack, je t’aime plus que tout moi aussi.
Il l’embrassa alors violemment la plaquant contre les oreillers, bougeant ses hanches contre elle, et frottant son pénis dur contre ses plis lisses maintenant gonflés. Il souleva la tête et son regard accrocha celui de Sam, il tira sur une de ses jambes pour la positionner plus haut, elle s’ouvrit alors complètement à lui.
O : Sam …
Il avait prononcé son nom dans un souffle, ajustant l’angle de ses hanches dans un contact doux, puis il haletât sentant la main de Sam sur sa longueur rigide.
C : laisse moi t’aider, mon amour, lui chuchota-t-elle en le guidant lentement en elle.
Jack a gémi et a entendu le soupir de plaisir de Sam quand la tête de son pénis cherchait l’entrée de sa féminité.
Il poussait, insistant, contre son ouverture tendre, tout en l’observant, guettant n’importe quel signe qu’il la blessait, mais tout ce qu’il pouvait voir dans ses yeux était l’amour et le désir.
Elle retira la main de son sexe, le libérant, glissant sa main sur sa hanche. Il a alors lentement poussé en elle, sentant sa chair se serrer autour de lui. Il observa le regard de plaisir intense de Sam et se rendant alors compte de son propre besoin, il poussa plus profondément en elle, laissant échapper un cri, alors qu’il s’enfonçait entièrement.
Jack enterra alors son visage dans l’épaule de Sam, savourant la sensation des muscles internes de Sam tremblant autour de son pénis gorgé de sang.
O : ça va ?
C : hmm … oui. Elle ramena sa jambe dans la même position que l’autre et les enroula plus étroitement autour de ses hanches.
Ces mots le rassurant, il passa ses bras sous son dos et commença à pousser fortement en elle. Ses poussées furent lentes et profondes au début et ils haletaient tout les deux, Jack luttait pour garder un rythme lent, mais comme si elle sentait l’urgence croissante de son désir, Sam le poussa en un murmure à accélérer. Il gémit pendant qu’elle se décalait légèrement, ajustant l’angle de ses hanches pour lui permettre une pénétration plus profonde. Profitant de sa bonne volonté, Jack poussa de plus en plus en elle, sentant le début de son orgasme, il se serra encore plus contre elle. Il débutât alors des poussées plus rapides, chaque mouvement vers ses hanches rectifiait la position de son os pubic contre son clitoris encore sensible.
Une part de son cerveau nota avec satisfaction que les cris de Sam s’étaient transformés en long gémissement de plaisir, au moment où un plaisir intense s’empara de tout son corps. Même cette partie de son cerveau fut submergée par l’explosion de son propre orgasme, lorsqu’il plaça ses hanches contre Sam, se vidant en elle dans un long moment de ravissement sans fin.
Sam sourit de contentement, le poids de Jack sur elle, emplissant le vide qu’elle avait dans le cœur. Elle bougea pour installer Jack, toujours en elle , plus confortablement dans ses bras, elle fit ensuite courir ses doigts le long de son dos.
Jack releva alors la tête et l’embrassa doucement sur les lèvres pour ensuite se retirer lentement. Il se coucha à ses cotés et Sam vint se blottir dans ses bras. Ils restèrent dans les bras l’un de l’autre pensant aux événement qui les avaient conduits à cet instant précis, puis s’endormirent un sourire magnifique sur les lèvres, en imaginant leur vie future.
Fin