Titre: Il était une fois.

Auteur: Pikachu

E-mail: audreyp194@hotmail.fr

Catégorie: romance.

Saison: il n'y en a pas en particulier.

Résumé: Quand un père lit une histoire à sa fille.

Disclaimer: Rien n'est à moi et je n'ai pas touché d'argent.

Note de lauteur: Cette fanfic a été écrite dans le cadre du concours lancé par le forum "Imagine".

« Il était une fois, dans une galaxie lointaine, une équipe d’héros qui
s’appelait SG1. Elle était composée du colonel Oz, du très brillant major
Dorothée Spike, du docteur David Jordan et d’un alien du nom d’Homer.
- Comme le papa de Bart ?
- Oui ma puce ! Comme le papa de Bart. Mais le Homer des Simpson et le
Homer de mon histoire sont complètement différents : le mien est grand avec
pleins de muscles.
- Comme tonton Teal’c ?
- T’as raison il ressemble un peu à tonton Teal’c. Donc, cette équipe,
avait pour mission de punir tous les méchants de leur galaxie. Pour cela ils
voyageaient grâce à une Porte des Etoiles et grâce à des vaisseaux spatiaux
qui allaient très vite, ce qui leur permettait de visiter toutes les
planètes. Mais un jour, alors que SG1 se promenait tranquillement, l’équipe
rencontra un horrible personnage. Il s’appelait Anubabibel : il était
toujours habillait d’un long manteau noir avec une capuche qui cachait son
visage et il avait une voix très grave, (le père pris une voix très grave)
comme ça. Il faisait vraiment très peur à tout le monde.
- Même à SG1 ?
- Non SG1 elle n’avait peur de rien et surtout pas de ce méchant.
C’était les habitants des planètes qui avaient peur de lui. Ainsi,
Anubabibel était très méchant parce qu’il voulait que tous les habitants de
toutes les planètes deviennent ses esclaves. Et si les gens ne voulaient pas
alors il envoyait son armée très puissante pour les obliger.
- Pourquoi il fait ça Anubabibel ?
- Parce qu’il voulait que tout le monde le considère comme une personne
très importante, très puissante. Comme ça il pouvait faire ce qu’il voulait.
- Il était vraiment très méchant alors ?
- Oui, vraiment très méchant, tu as raison. Mais SG1 était là et elle
aidait ces personnes à combattre le gros méchant. Elle leur disait qu’il
n’était pas aussi fort que ça et que ça serait facile de le battre si tout
le monde le voulait. Toutes les personnes décidèrent de faire confiance à
SG1 et de suivre cette équipe dans sa lutte contre les méchants. Il y a eu
beaucoup de batailles et peu à peu les gentils réussirent à devenir plus
fort qu’Anubabibel. Une grande bataille eu lieu dans l’espace entre SG1 et
Anubabibel. SG1 s’introduisit dans son vaisseau spatial. L’armée du méchant
ne pouvait rien faire contre les armes et l’intelligence de SG1. Nos héros
placèrent des bombes dans le vaisseau puis ils en sortirent avant de les
déclencher. Il y eu une gigantesque explosion dans l’espace et qui fit
partir le vaisseau d’Anubabibel en confettis.
- ça fait quel bruit une grande explosion papa ?
- Tu te souviens quand maman a mis du papier d’aluminium dans le
micro-onde est que ça a fait un grand « boum » ?
- Oui c’était rigolo !
- Et bé l’explosion du vaisseau d’Anubabibel était beaucoup, beaucoup,
beaucoup plus importante ! C’est comme si c’était un énorme micro-onde avec
pleins de papiers d’aluminium dedans.
- Et Anubabibel il était dans le vaisseau ?
- Oui mais heureusement pour lui il est arrivé à y sortir avant qu’il
n’explose. Mais SG1 l’avait vu et l’équipe réussit à l’arrêter avant qu’il
ne s’échappe.
- Et maintenant il fait quoi ?
- Maintenant, comme il n’a plus de vaisseau ni d’esclaves, il a décidé de
vivre sur une planète et d’essayer de devenir un gentil. Bon où j’en étais
dans mon histoire…
- … Le vaisseau du méchant à exploser.
- Ah oui c’est vrai. Donc, par la suite, tous les autres méchants de la
galaxie qui voulait faire comme Anubabibel ont subi le même sort : ils ont
tous été battus par SG1. Et maintenant ils vivent tous sur une planète qui
se situe très loin d’ici et ils sont tous devenus des gentils.
- Y a pas d’histoire d’amour ?
- Attends j’ai pas fini ! Après cette grande victoire des gentils, le
colonel Oz et le major Dorothée Spike, qui étaient très amoureux l’un de
l’autre, étaient tellement heureux que dès leur arrivée sur leur planète ils
se sont embrassés.
- Beurk ! C’est dégoûtant les bisous (le père sourit à la remarque de son
enfant).
- Puis ils se marièrent et ils eurent de très beaux enfants. Leur mariage
se célébra sur une très belle planète au bord d’une plage avec tous leurs
amis. Et depuis cette époque, on raconte qu’il n’y a plus de méchants dans
la galaxie mais SG1 veille toujours. Voilà mon chaton je t’ai raconté une
belle histoire. Maintenant tu dois dormir !
- Mais je n’ai pas sommeil ! Tu peux me raconter une autre histoire avec
SG1 ?
- Non il est très tard et demain tu as école. Allez hop au lit le monstre
! »
Le père coucha son enfant dans son lit, lui déposa un baiser sur le front
et la borda. Même si la petite fille de cinq ans avait affirmé à son père
qu’elle n’avait pas sommeil celle-ci ne m’y pas longtemps à s’endormir
devant les yeux attendrit de son paternel. Il sortit de sa chambre et
s’appuya à l’embrasure de la porte pour regarder son enfant. Il resta dans
cette position quelques secondes puis il ferma légèrement la porte mais la
laissa entre ouverte pour permettre à la lumière de pénétrer dans la pièce.
Il se dirigea vers le salon dans lequel sa femme se trouvait. Elle était
assise sur le canapé en train de lire un roman. Le mari s’approcha de sa
compagne et il lui déposa un baiser rempli d’amour et de tendresse sur ses
cheveux. Puis il fit le tour du sofa pour s’asseoir à côté d’elle.
« Ça y est elle dort !
- Qu’elle histoire tu lui as raconté ?
- Le récit d’une des innombrables péripéties de SG1.
- Jack tu sais qu’on n’a pas le droit de lui raconter notre histoire ! Et
je doute que se soit de son âge en plus.
- Ne t’en fais pas Sam ! Je l’ai remaniée à ma manière et je l’ai même
embellis : dans mon récit les méchants ne meurent pas, ils deviennent même
gentils. Puis les deux amoureux se sont mariés sur une plage d’une planète
déserte et non dans une base militaire. Et…ah oui il y a une autre
différence : j’ai dit qu’ils avaient « de très beaux enfants », ce qui
revient à dire qu’ils en on minimum deux.
- Je pense que sur ce dernier point on peut s’arranger. De bons parents
ne doivent pas tout le temps mentir à leurs enfants.»
Sam ferma son livre, le posa sur la table basse qui se trouva à côté du
canapé puis elle s’approcha de Jack et l’embrassa passionnément.



THE END.