Présentation : Olivier Minne, Sarah Lelouch
Pour la cohérence de l’histoire, le fort se situe dans l’océan Pacifique et les animateurs sont des américains (même si ça me fait mal au cœur) : Olivier Minne est donc toujours aussi charmant et Sarah Lelouch (et oui, encore une Sarah !) toujours aussi nunuche…
De plus, pour les besoins de ma fic, j’ai adapté les règles du jeu en piochant dans les différentes années de son existence.
En introduction, je vais reprendre un extrait de Télérama :
Olivier Minne(OM) : Bienvenus à Fort Boyard. Je suis accompagné de notre belle Sarah. Salut Sarah.
Sarah Lelouch(SL) : Bonjour Olivier. La forme ?
OM : J’allais dire que moi, c’était devenu pratiquement une habitude, mais est-ce que nos candidats sont en forme ?
SL : Les candidats sont extrêmement en forme et je vais tout de suite te présenter notre charmante équipe toute de kaki vêtue.
OM (en désignant deux personnes de très petite taille à côté de lui) : Voici Passe-temps et Passe-partout qui sont d’une grande utilité dans le fort.
Décidément, il n’en loupait pas une. Autour de lui, on pouvait assister à diverses réactions : sourires plus ou moins discrets, yeux au ciel, sourcil levé…
OM : Bien…je vous propose de commencer par les épreuves. Suivez Passe-partout pour la première épreuve.
Après avoir couru pour atteindre le lieu de la première épreuve, Olivier se positionna de façon à avoir toute l’équipe autour de lui.
OM : Après cette petite mise en jambe qui vous a déjà bien chauffé les muscles, vous êtes prêts pour la première épreuve.
J : Alors, Carter vous entrez, Teal’c vous la couvrez, et…
Comme Daniel s’apprêtait à entrer dans la pièce, Sarah crut bon d’expliquer un peu l’épreuve. Et oui, ça la fout mal de perdre la première épreuve, d’autant plus que ce n’est pas bon pour l’audience…
SL :Vous allez voir des barreaux, comme en prison, du sol au plafond. Vous allez devoir creuser dans le sable pour passer sous les grilles et faire passer des caisses. Emboîtées les unes dans les autres, celles-ci vous serviront à atteindre la clé qui est accrochée au plafond
Daniel entra dans la cellule.
SL(aux autres) : N’oubliez pas de surveiller le temps qui lui reste. Et je crois qu’on peut l’encourager ! !
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Le temps était à la moitié et Daniel était en difficulté : il ne creusait pas assez vite ! !
Malheureusement, le temps fut écoulé et Daniel resta prisonnier. Passe-partout ferma donc la porte à clé ! !
SL : On doit malheureusement continuer sans lui…
Et ils le laissèrent…
Toutefois, au loin, en tendant l’oreille, on pouvait entendre Jack avertir Olivier et Sarah qu’heureusement que Carter n’avait pas fait cette épreuve et qu’elle n’était pas restée prisonnière dans les oubliettes car sinon, elle aurait disséqué leurs souris…
Notre équipe était désormais devant la porte pour la deuxième épreuve.
Ceux-ci étaient mobiles et pouvaient tourner sur eux-mêmes ; ils roulaient en effet dans le vide quand on s’appuyait dessus. La candidate (en général la mieux foutue et qui a un décolleté plutôt plongeant) devait s’allonger dessus à califourchon, se laisser glisser doucement et atteindre la clé située à l’autre bout.
C’est une épreuve assez…comment dire…assez sensuelle…Comme par hasard, Sam fut désignée par Olivier…Elle commença donc son épreuve sous les conseils de Sarah : « faire comme si elle était sur un cheval et bien coller son bassin aux cylindres ». Ses coéquipiers la suivirent à travers l’écran suspendu qui retransmettait l’intérieur de la cellule.
Jack, remarquant que le présentateur était resté pour regarder le déroulement de l’épreuve : « Pourquoi vous restez là ? D’habitude, vous nous laissez et on vous rejoint. »
OM : Je voulais seulement m’assurer qu’elle s’en sortait bien !
Sam, quant à elle, était vraiment concentrée et n’avait pas le temps d’imaginer que ses coéquipiers masculins avaient les yeux fixés sur elle ou plutôt sur l’écran, et plus précisément sur son décolleté. Il faut dire qu’elle était à moitié allongée et que la caméra se trouvait à sa hauteur, juste en face d’elle. (Ce n’était pas fait exprès, mais bien sûr, et la marmotte…)
Non, vraiment, elle n’imaginait rien de tout cela. Elle restait les yeux concentrés sur la clé. D’ailleurs, le petit morceau de langue qui dépassait de sa bouche le confirmait.
Et c’est avec souplesse et dextérité que Sam rapporta la première clé de l’équipe Sg1 à Fort Boyard.
SL : Je crois que l’on peut l’applaudir bien fort ! C’est une épreuve que peu de candidates réussissent.
Et en effet, tout le monde la félicita !
Jack, toujours hypnotisé par la prestation de la jeune femme, et surtout encore sous les effets des images que celle-ci avait évoquées dans son esprit, ne redescendit sur terre qu’après un coup de coude de Jonas qui en profita pour lui rappeler de fermer la bouche !
J : Bravo Major, on dirait que vous avez fait cela toute votre vie !
Devant la gêne évidente de son Major qui avait subitement viré au rouge, et devant les regards amusés de ses amis, Jack compris l’ambiguïté de ses propos et crut bon d’ajouter aussitôt :
J : …Enfin, ce que je voulais dire, c’est que…vous avez été très… agile, enfin vous voyez…(vas-y, enfonce-toi mon grand !)
Sarah, voulant rétablir la situation car il ne fallait pas oublier que l’émission était tout public et qu’il valait mieux éviter ce genre d’allusion, dit : « Ce qu’il voulait dire Sam, c’est que vous avez été formidable. Grâce à vous, on peut aller vers la deuxième clé. En route… »
Jack arriva à vitesse réduite au sommet de la vigie où se trouvait le vieillard.
J : Bonjour père Fouettard !
Comparée à l’échec de Jack face au père Fouras, la deuxième clé fut obtenue en un temps record.
L’épreuve consistait à ôter une épée de son socle comme dans Merlin l’Enchanteur, puis à couper une grosse corde avec celle-ci.
On pouvait presque dire que Teal’c était entré et ressorti aussitôt.
OM : Janet, cette fois-ci, c’est à vous !
Janet entra donc dans la pièce : située à distance raisonnable de portraits de pirates accrochés au mur, elle devait y lancer des couteaux.
Jon : C’est facile Janet, c’est comme aux fléchettes !
Voyant que les essais de Janet restaient infructueux, Jack crut bon d’ajouter qu’il fallait qu’elle imagine qu’elle lançait des seringues, ce qui bien entendu fit sourire Sam. Malheureusement, Janet dut sortir lorsque le temps imparti fut écoulé.
SL : C’est pas grave Janet, on va rapidement tenter une autre épreuve. Allez, il nous faut encore cinq clés avant la fin du temps réglementaire.
Paroles qui lui valurent un coup de coude de la part de celle-ci.
Jan : Vous le constaterez par vous-même à la prochaine visite, colonel !
Jack resta sous le choc de la nouvelle ; tout le monde le dépassa et c’est dans le vide qu’il répondit : « Un visite médicale, quelle visite ? Doooooooc ! ! »
Cette fois-ci, ce fut Jack qui s’y colla : debout sur une poutre suspendue, il devait aller chercher la clé située à l’autre bout ! La difficulté consistait à faire tomber l’espèce de malabar en slip qui lui bouchait le passage. Les deux individus n’avaient pour seule arme qu’une barre de bois, avec aux extrémités, des sortes de boules ressemblant à des gants de boxe.
J : Vous voulez vraiment que je me batte avec ce coton-tige ?
Connaissant Jack et sa carrière militaire, aucun membre de son équipe ne s’inquiétait vraiment. Et ils avaient bien raison.
Au bout de deux minutes et un coup de « coton-tige » dans les parties sensibles de son adversaire, Jack attrapa la clé et sortit sous les acclamations des autres pendant que le malchanceux était toujours plié en deux. Et il ne riait pas, croyez-moi !
Sarah était toute ébahie devant sa prestation : « Wouah ! Quelle force ! »
Janet voulut y mettre son grain de sel et ajouta avec ironie devant la naïveté évidente de Sarah : « Mais non, Colonel, vous avez été foooormidaaable ! ! »
Epreuve n°7 : deuxième énigme du père Fouras, toujours dans sa vigie ! !
PF : Bonjour Janet. Quel beau sourire…
L’épreuve de Jonas consista à retrouver la gamme de Do à Si en soufflant dans des tuyaux qui émettaient des sons : il devait reconnaître la note émise et placer une pancarte de la note correspondante. Après plusieurs essais, il ressortit tout sourire, mais…ils étaient déjà en direction de la prochaine épreuve, lorsque…
Sam : Qu’est-ce que vous avez à sourire comme ça, Jonas ?
Jonas était un peu honteux : « Oui, euh, à vos ordres colonel ! »
Lorsqu’ils eurent rejoint Olivier Minne, celui-ci demanda : « Où est Jonas ? »
Devant la tête d’Olivier, Sam crut bon d’ajouter, pour plus d’explications : « Il est allé rechercher la clé qu’il avait oubliée. »
OM : Pour cette épreuve, il nous faut un homme et une femme qui devront travailler avec coordination et harmonie : Sam et Jack, c’est à vous ! Il est inutile que je vous rappelle qu’il vous faut absolument cette sixième clé car le temps presse.
Et c’est avec un magnifique sourire que Sam le précéda dans la cellule.
Lorsqu’ils furent entrés, c’est Sarah qui leur expliqua ce qu’il fallait qu’ils fassent. Des cases de bois étaient disposées au plafond. A l’aide d’un bâton, la candidate devait donner des coups secs pour ouvrir la trappe : la clé se trouvait dans une de ses cases ! Lorsqu’ils se rendirent compte de la hauteur des cases, ils comprirent aussitôt à quoi servait la deuxième personne : de perchoir ! !
Ils se regardèrent et c’est une Sam gênée qui brisa le silence.S : Mon colonel, je crois qu’il va falloir que je monte sur vous.
Se rendant compte du sous-entendu de ses paroles, Sam baissa la tête à la fois pour cacher sa gêne ainsi que son sourire qui apparaissait malgré elle sur un visage déjà teinté de rose.
S : Mon colonel…
Après quelques minutes d’escalade plus ou moins embarrassante, Jack se dit que cette expérience au milieu de la mer dans ce Fort Boyaux… Braillard…enfin Fort Machin chose, n’était peut-être pas une si mauvaise idée après tout…Sa satisfaction s’effondra aussitôt lorsqu’il sentit les cuisses de la jeune femme assise sur ses épaules se refermer de plus en plus autour de son cou.
J : Arrgh ! ! Carter ! Ce n’est pas que cela me déplaise…au contraire…mais vos cuisses autour de mon cou…
Elle fut coupée par un colonel plus que suffoquant.
J : Carter…respirer…
Sam comprit et desserra aussitôt ses jambes du cou de son supérieur : « Oh ! Pardon ! »
Enfin en place, ils tentèrent d’ouvrir le premier « placard » suspendu. Mais Sam visait toujours à côté et Jack s’énervait. Est-ce qu’il croyait que c’était facile, se disait Sam plus déstabilisée par les mains de son supérieur qui lui maintenait fermement les cuisses, que par l’équilibre précaire de son corps…
Derrière la porte, le reste de l’équipe s’impatientait :
Erreur, cela énerva davantage Jack.
J : Mais de quoi il se mêle celui-là ! Bon sang, Carter, vous y êtes !
Deuxième erreur.
C’est ce moment que choisit Sam, énervée par les propos de Jonas et surtout ceux du Colonel, pour frapper d’un grand coup, provoquant ainsi l’ouverture de la trappe ainsi que le déversement de son contenu (de la boue), si bien qu’il se prit tout dans la figure.
C’est avec un immense sourire amusé que Sam demanda à son colonel si tout allait bien.
J : C’est ça major, riez !
Elle se rendit alors compte qu’il la maintenait très fortement comme s’il avait eu peur qu’elle ne tombe, et elle se rappela qu’elle avait sursauté sous l’effet de la surprise : il ne l’avait pas lâchée. Il avait tout reçu, avait dû lui aussi être surpris, mais il ne l’avait pas lâchée. Comme toujours d’ailleurs, se dit-elle. C’est donc avec une tendresse reconnaissante qu’elle lui débarbouilla le visage.
J ( pouvant rouvrir les yeux) : Wouahh, c’est mieux comme ça, merci ! !
Les trappes se succédaient : œufs, sable, faux sang, liquide jaunâtre et autres composants non-identifiés, et c’était mieux ainsi…
S : Mon colonel, je commence à glisser !
Sam sourit à cette vision et acquiesça : « Tout à fait d’accord mon colonel ! »
J : Euh…Carter ?
Elle appuya ses deux mains sur le sommet de son crâne et recala son « bassin » contre le derrière de son cou, tout en tentant de calmer les battements de son cœur qui se succédaient de plus en plus vite.
Jack (dans sa tête) : C’est pas vrai ! Mais qu’est-ce qu’ils nous font faire ici !
S (le tirant de se pensées) : Mon colonel ?
De la farine…ils en avaient partout…
J : Evidemment, il faut que ce soit la dernière trappe…
Sam s’attendait à ce qu’il se déplace pour atteindre la dernière case …mais rien ! !
S : Mon colonel ?
Toujours rien ! ! Elle réfléchit…Oh non ! ! La farine ! ! !
S : Mon colonel, vous ne devez pas éternuer.
Sam se prépara à donner un dernier coup avec toute l’énergie du désespoir. Elle tanguait de plus en plus.
Et c’est en même temps que le bruit sec de la trappe qui s’ouvrait et qui crachait la clé qu’elle entendit un son beaucoup moins rassurant : « aAaAtchAAAAAAA ! ! »
Hé mer… !
Sam bascula vers l’arrière puis vers l’avant, entraînant ainsi son partenaire mécontent qui tentait tant bien que mal de la retenir en posant ses mains sur le postérieur perché sur ses épaules.
J : Carter, rien de cassé ?
Deux visages très proches.
S : … Un peu secouée, mais ça va. Et vous ?
Deux corps collés l’un à l’autre.
J : Je crois que la réception n’a pas fait plaisir à mon dos, mais à part ça, tout baigne !
Ne pas bouger.
S : Merci pour l’amorti !
Ne surtout pas bouger.
J (avec ironie et grimaces) : Ce fut un plaisir…
Silence
J : Et puis, c’est en grande partie de ma faute.
Silence.
Jan : Désolée de vous déranger ! Mais si vous n’avez rien de cassé, vous devriez sortir…très vite !
J : Hé merde !
Ils se levèrent donc, avec autant de soulagement que de regrets, prirent la clé et sortirent.
Beaucoup d’acclamations ! !
J : J’irais bien chanter sous la pluie !
Janet jeta un regard malicieux à Sam qui, visiblement embarrassée, tourna immédiatement la tête : « Le genou de Sam n’est pas passé bien loin, si vous voyez ce que je veux dire… »
J : … ? ? (Puis réalisant enfin) : Oooh ! ! Ca aurait été … fâcheux, surtout pour moi !
Il n’entendit pas Janet ajoutant ces quelques mots, « Je ne suis pas sûre que cela aurait été fâcheux seulement pour lui », et il s’adressa à Sam : « Bon, Carter, on va la prendre cette douche ? »
Mais pourquoi baisse-t-elle encore la tête ?
Devant les regards interrogateurs fixés sur lui, et ne comprenant pas pourquoi, il ajouta : « Puisque vous aussi vous devez en prendre une, autant y aller ensemble…(déclic)…enfin, faire le trajet en même temps ! ! »
C’est une Sam amusée qui lui répondit : « Je vous suis, mon colonel. »
Jack et Sam revinrent enfin !
OM : Alors, cette douche ?
Jon : Teal’c a été envoyé dans la cellule : il doit prendre des seaux d’eau suspendus au-dessus d’un tapis roulant, marcher sur celui-ci et remplir un tuyau avec l’eau : en versant l’eau, la clé située dans le tuyau remonte à la surface.
J : Teal’c sur un tapis roulant…je veux voir ça !
Et il leva les yeux sur l’écran qui retransmettait l’épreuve, écran vers lequel tous les regards, amusés, convergeaient.
Et en effet, on pouvait y voir Teal’c, trempé jusqu’aux os, qui venait de s’être pris les pieds dans une ficelle tendue au travers du tapis roulant, qui était tombé, et qui était maintenant éjecté par celui-ci.
Il y retourna avec toujours autant de chance. Cette fois-ci, croyant pouvoir se retenir aux seaux suspendus, Teal’c renversait toute l’eau sur lui : il glissa et, emmêlé dans la ficelle, ne parvint plus à s’y extraire, tandis que le tapis roulait de plus en plus vite.
Derrière la porte régnait l’hilarité générale, tous étaient morts de rire, et c’est Sam qui parvint la première à retenir son fou rire et à lui crier de revenir. Les rires redoublèrent lorsqu’elle ajouta que de toute façon, il n’y avait plus d’eau dans les rares seaux encore accrochés au plafond.
Teal’c sortit, il dégoulinait de partout, ce qui renforça les rires. En les trouvant hilares, il déclara : « O’Neill, je ne parviens pas à trouver l’intérêt de ce jeu ! »
J : Teal’c, Teal’c, Teal’c… vous vous êtes bien débrouillé ! Bravo mon vieux !
Teal’c resta alors impassible, les mains croisées derrière le dos.
OM : Cette épreuve était prévue pour Janet, mais puisqu’elle est à l’infirmerie, Sam devra la remplacer.
Sam était fatiguée, mais il fallait bien qu’elle y aille. Elles n’étaient que deux filles et Janet était tombée durant le dernier trajet ! En effet, elle avait glissé ! Il faut dire que Teal’c était juste devant elle et répandait encore pas mal d’eau qui coulait de la moindre parcelle de son corps. Ajoutez à cela que Janet n’arrivait pas à se calmer et qu’il est en général très difficile de regarder où l’on pose les pieds quand on rigole !
A moins qu’elle l’ait fait exprès ! De toute façon, c’était ça ou Teal’c l’aurait assommée ! !
Sam se résigna donc et entra.
Ziiiiiiip ! ! !
Génial ! !
Ne s’attendant pas à mettre le pied sur un sol glissant de boue, Sam s’étala dans une couche épaisse composée du même élément.
J (à travers la porte) : Carter, Pas trop de bobo ?
Cette fois-ci, ce fut au tour de son colonel de sourire à ses paroles, se remémorant sa dernière chute, pas si désagréable que ça ! Même pas désagréable du tout ! !
Première tentative : deux corps complètement plongés dans la boue.
Deuxième tentative : les réflexes militaires refirent surface. Dommage pour l’adversaire qui n’eut même pas le temps d’esquisser le moindre geste que Sam l’avait déjà plaquée violemment au sol, avait pris la clé, avait de nouveau glissé, et était enfin sortie.
A peine eut-elle posé un pied dehors que Sam, entièrement recouverte de boue, glissa. C’était sans compter sur Super Jack qui la retint par l’arrière. Sur les vêtements de Jack, on pouvait clairement distinguer la trace du corps de la jeune femme.
S : Merci ! Et désolée pour vos vêtements propres !
Après un sourire de Sam, ils rejoignirent tous Olivier Minne qui était avec Janet. Elle n’avait
Jan : Waouh ! Sam, laissez-moi vous dire que vous avez bien barboté dans la boue, c’était…
OM : En tout cas, on peut tous applaudir Sam, grâce à qui vous avez les sept clés. Sam, vous avez fait un sans faute !
Sam le remercia d’un sourire qui pouvait tout autant signifier « merci-je-prends-ça-comme-un-compliment » que « c’est-pas-la-peine-d’en-rajouter-non-plus ».
OM : Voilà, vous avez les sept clés obligatoires pour accéder à la salle du trésor, mais vous n’êtes pas au bout de vos peines. Dans la deuxième partie de l’émission, vous allez devoir trouver le mot code grâce aux indices qu’il vous faudra chercher et mériter !
Après avoir obtenu la libération de Daniel grâce à des petites épreuves effectuées face aux maîtres des jeux, ils allèrent le chercher.
Jack ne se priva pas pour lui rappeler qu’il avait été fait prisonnier dès la première épreuve.Voulant se venger, Daniel s’étonna de la boue qu’il avait sur lui : « vous avez voulu nous refaire l’acrobatie de tout à l’heure ou vous vous êtes encore trop approché de Sam ? »
S/J : Daniel ! !
Jack lui répliqua qu’il ferait mieux de la fermer s’il ne voulait pas servir de pâture aux tigres. Seul Daniel perdit son sourire, ce qui eut pour effet de faire agrandir celui des autres (ou de rehausser le sourcil le Teal’c, au choix…).
Jon (curieux) : Vous avez tout suivi ?
J (malicieux) : Vous êtes sûre ? Ca vous va plutôt bien.
Daniel voulut y rajouter son grain de sel et ne put s’empêcher de surenchérir : « Il a raison, Sam, la boue met bien vos formes en valeur et … »