Citations du moment :
L'ennemi n'est pas celui contre qui l'on se bat, mais celui qui profite des dégâts.
Imagine

Child : Chapitre 1

Titre : Child

Auteur : loR.D.A.sam
Email : lor.d.a.sam@wanadoo.fr ou                                                   Sam_ONeill_Hrvatska@msn.com
Résumé : Sam reçoit un coup de fil qui va changer sa vie.
Statut : 1ère partie
Genre : 80% romance ; 10% émotion et 10% humour ( les proportions ne sont pas très justes parce qu’il y a un petit peu d’aventure et de suspense).
Disclaimer : Les personnages, les décors de la base, sauf quelques-uns, ne m’appartiennent pas ils sont la propriété des producteurs exécutifs de STARGATE SG-1 (Michael Greenburg et Richard Dean Anderson), de la MGM, de SHOWTIME, et de GEKKO FILM CORPS. Je n’ai reçu aucune prime et je ne gagne pas ma vie à écrire des fans fics.
Crossover : mini entre stargate et urgences
Saison : 7 sauf Heros part one et The lost city part two (<= juste les 15 dernières minutes)
Archives : si vous voulez conserver ou mettre mon fanfic sur un site c’est ok de suite mais envoyer moi juste un mail avec écrit « Je conserve ton fanfic » ou « Je mets ton fanfic sur mon site ».
Dédicace : A mimigibos qui m’as appris plein de choses et qui m’a dit des choses qui m’ont touchée. Merci beaucoup (et oui je peux pas me refaire je continue à te dire merci même si je sais que tu vas me répondre que ça te fait plaisir !)

BONNE LECTURE

Child

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Dans la salle de briefing
Hammond : Des questions ?
Le général venait de poser la question qui clôturait la fin de chaque briefing. Tout le monde répondit non au général même Jack mais lui c’était pour pouvoir vaquer à ses occupations tranquillement.
H : Amusez-vous bien pendant ces trois semaines de congé !
Jack : Quoi ?!
H : Colonel ne me dîtes pas que vous n’avez rien écouté au briefing !
J : Heu………………
Daniel : Je crois que vous marqué un point général !
H : Major vous expliquerez au colonel ce que nous avons fait pendant le briefing et ceci dès maintenant mais hors de cette salle.
Sam : A vos ordres mon général !
Sam adorait quand le général lui donnait cet ordre, c’est-à-dire à chaque fin de briefings. Ca lui donnait une bonne excuse pour rester un quart d’heure dans son laboratoire en compagnie de son colonel.
H : Quant à vous colonel, vous me ferai le plaisir d’écouter le briefing la prochaine fois !
J : Bien mon général.
15 minutes plus tard dans le labo du major Carter
S : ……donc vu que cette mission a été particulièrement éprouvante pour l’équipe et que cela fait environ deux mois qu’aucun membre de notre équipe n’a pris de vacances le général nous a donné trois semaines de vacances.
J : Cool !
S : Vous pouvez le dire, moi j’en avais vraiment besoin. Cela fait au moins un an que je n’ai pas pris de vraies vacances. ( oula ! Je sais pas comment elle fait !)
J : Un an !!
S : Oui. Je sais c’est beaucoup.
J : Que diriez-vous si je vous invitais dans mon chalet dans le Minnesota ?
S : Oh oui ! Sa me ferai très plaisir.
J : Très bien alors…………

 

DRING !!DRING !!DRING!!
Sam se précipita sur le téléphone

 

S : Allô ! ……Oui ! ……Hmm ! ……Quoi! ……Hmm ! …C’est vrai ? (passionnant la discussion, bon ok ok j’me casse)

 

Au fur et à mesure que la discussion durait le visage de Sam s’éclaircissait sous les yeux de Jack qui ne comprenait rien. Quand elle raccrocha le combiné elle avait les larmes aux yeux tellement elle était heureuse.

 

S : Vous venez je vous invite à dîner !
J : Quelle en est la raison ?
S : C’est pour fêter quelque chose de personnel. Et comme je n’ai pas envie d’aller au restaurant seule ce soir et que vous m’invitez dans votre chalet, j’en ai profité.
J : Qu’allez vous fêter ?
S : Ha ha !
J: Allez dîtes-moi! S’il vous plaît !
S : Si vous êtes sage et que vous ne dîtes à personne, même pas Daniel ou Teal’c, que nous passons les vacances ensemble je vous le dirai.
J : Oh mais je suis toujours sage major !
S : Très bien alors rendez-vous dans vingt minutes au parking. Nous prendrons chacun notre voiture  et je vous dirai où nous irons.
J : Une vraie mission commando comme je les aime !
S : Oui et les méchants sont les soldats de la base.
J : Et leur chef est le général Hammond, on lui met un petit accent genre le parrain et on s’y croirait !
S : Attention : Mission : Dîner et passer des vacances ensemble strictement professionnellement sans que personne ne le sache.
J : Durée de la mission : 3 semaines ! (Ils se font un trip de merde eux deux d’accord je m’en vais !)
S : Cool c’est mieux que d’étudier un réacteur à naquada. Il y a plus de risque !
J : Quand je vous disais qu’il fallait que vous preniez des vacances plus souvent !
S : J’aurai dû vous écouter !
J : (en sortant) A tout à l’heure major.
S : A tout à l’heure mon colonel.

 

20 minutes plus tard dans le parking de la base

 

O’Neill arriva en courant à côté de la voiture du major Carter. Cette dernière venait elle aussi d’arriver.

 

S : Alors colonel, vous êtes à l’heure à ce que je vois !
J : (essoufflé) Pour un dîner avec vous je ne serai jamais en retard !
S : Très bien alors nous partons tout de suite et rendez-vous dans une demi-heure au Pacific Blue.
J : Le Pacific Blue ?
S : Oui. Vous connaissez ?
J : C’est le restaurant  où ils servent leur cocktail dans des moitiés de noix de cocos ?
S : Oui c’est celui-là. Vous y avez déjà mangé ?
J : Oui un soir où je n’avais rien de mieux à faire que de traîner dans un restaurant tout seul.
S : Bon alors vous savez où il se trouve ?
J : Oui.
S : Bon et bien à dans une demi-heure sur le parking du Pacific Blue.
J : A tout à l’heure major !

 

Et ils quittèrent tous les deux le parking dans leurs voitures respectives.

 

Une demi-heure plus tard Sam et Jack se retrouvèrent à l’endroit prévu. Ils entrèrent et s’assirent à une table que Samantha avait eu le temps de réserver avant de partir. Ils commandèrent deux whiskies et quelques cacahuètes pour se mettre en appétit. Après que le serveur leur eut servi leur plat principal, qui était pour Jack un crabe avec de la salade et pour Sam qui n’avait pas réussi à choisir entre les différents crustacés du menu avait pris un mini plateau de fruit de mer, le colonel se souvint de la raison pour laquelle le major l’avait invité.

 

J : Au fait Carter pourquoi sommes-nous ici ?
S : Pour manger mon colonel. (Elle a deviné ça toute seule ?)
J : Oui ça je le sais mais vous m’aviez dit qu’il y avait une chose à fêter de personnelle. Quelle est-elle ?
S : Ah oui. Vous êtes sûr de vouloir savoir pourquoi je vous ai invité ?
J : Et comment !
S : Et bien voilà il y a maintenant 16 ans  j’étais en séminaire à Los Angeles et là-bas j’y ai rencontré un homme charmant mais il ne m’a jamais dis son nom je savais juste qu’il s’appelait Jonathan. Nous nous sommes vus plusieurs fois et nous sommes rester ensemble pendant deux semaines.

 

Jack se souvint alors que lui-même il y avait 16 ou 17 ans il était parti en mission à Los Angeles et qu’il avait rencontré une femme militaire et qu’il ne lui avait dis que son vrai prénom pour ne pas se faire repérer par ceux qu’il espionnait. Pour être sûr qu’elle ne le retrouvait pas il ne lui avait pas dit qu’il faisait parti lui aussi de l’armée ; il se rappela que cette femme faisait à peu près la taille du major, qu’elle était blonde, et il croyait se souvenir qu’elle était scientifique. Tout d’un coup il se dit qu’il n’y avait plus aucun doute, il en était sûr à présent la femme qu’il avait rencontré c’était le major Samantha Carter et que l’homme dont cette dernière parlait c’était lui, le colonel Jonathan dit  « Jack » O’Neill.

 

J : Et pourquoi ne pas lui avoir demandé son nom complet ?
S : Il me disait qu’il n’aimait pas se dévoiler. Puis il a dû repartir chez lui. Dix mois plus tard j’ai rencontré une des personnes qui l’avait accompagné à Los Angeles et là j’ai appris qu’il faisait parti des Forces Spéciales.

 

A ce moment là Jack était sûr et certain que Carter parlait de lui.

 

S : J’appris aussi de la part de cet homme que Jonathan allait se marier dans trois mois si tout se passait bien et qu’il serait père dans six mois. Je lui ai demandé si Jonathan se souvenait de moi, il me répondit que oui qu’il ne pensait qu’à moi et qu’il gardait toujours sur lui, même en mission le mouchoir que je lui avais brodé un soir où je m’ennuyais avec nos deux initiales S et J. (bon je sais elle ne sait pas broder, et tout le monde s’en fout de ce mouchoir mais c’est important pour l’histoire)

 

A ce moment là Jack mis sa main dans sa poche et caressa le mouchoir qu’il n’avait jamais quitter depuis qu’il avait rencontré Sam il y a 16 ans.

 

S : Il me dit aussi qu’il n’avait cessé de me chercher pendant six mois mais qu’il avait perdu espoir et qu’il avait rencontré une autre femme. J’ai alors demandé à cet homme de communiquer mon adresse à Jonathan mais il m’a dit que lui avait pris sa retraite et qu’il partait s’installer à Hawaï alors que Jonathan continuait de travailler. Je fus profondément déçue d’autant plus que quelques semaines après son départ dix mois plus tôt je découvrais que j’attendais un enfant de lui.

 

Jack qui était en train de boire un verre d’eau recracha tout en entendant la dernière phrase de Sam.

 

S : ( donnant une serviette à son colonel) Ca va mon colonel ?
J : Oui j’ai juste avalé de travers. Alors comme ça vous êtes mère !
S : Oui je sais ça fait bizarre hein ?
J : Ah oui sa vous pouvez le dire. Et où est cet enfant ?
S : Justement c’est pour ça que nous sommes ici.
J : Comment ça ?
S : Et bien quand elle est née…
J : ELLE ?
S : ah oui j’ai oublié de vous dire c’est une fille elle a quinze ans et elle s’appelle Wylie Samantha Johnie  Carter et dans son état civil il reste une place pour que son nom de famille soit compléter par celui de son père si je le retrouve.
J : Wylie Samantha Johnie Carter ? C’est joli mais pourquoi ces prénoms ?
S : Et bien Wylie parce que le premier prénom de la fille de mon acteur préféré est Wylie ( quand je dis ça c’est propre à moi, l’auteur, et pas à Sam) ; Samantha parce que c’est mon prénom ; et Johnie parce que ça me rappelle Jonathan et parce que le nom de mon cousin c’est John ( p’tit clin d’œil  à Urgences).
J : Super comme prénoms j’adore !
S : Merci donc je continue. Quand elle est née j’étais seule et j’étais toujours partie en mission alors je l’ai confiée à une famille d’accueil. Il y a trois mois j’ai fait une demande pour pouvoir avoir de nouveau la garde de ma fille. Et je l’ai eu !
J : C’est super !
S : Oui je suis super contente mais elle emménage chez moi demain à 9 heures et je voulais savoir si ça vous dérangeait si elle venait passer ces trois semaines avec nous dans votre chalet.
J : Oh non ça ne me dérange pas, ça me ferait très plaisir !
S : Alors c’est parfait !
J : Oui je viendrais vous chercher vous et Wylie demain à 10 heures si ça ne vous dérange pas. J’ai hâte de voir si elle vous ressemble.
S : Oui moi aussi j’ai hâte de la voir cela fait un an que je ne l’ai pas vue !

 

Le lendemain à 9h50

 

Samantha était en train de fermer sa valise dans le salon avec Wylie. Cela faisait à peine une heure que Wylie était arrivée chez sa mère et elle avait était très contente quand Sam lui avait dit qu’elles partiraient en vacances toutes les deux avec le colonel dans le Minnesota. Wylie était impatiente de rencontrer le seul homme dont sa mère lui parlait à chaque fois qu’elle lui rendait visite. Bien sûr Sam lui parlait aussi de Daniel mais elle avait fait comprendre à sa fille qu’il était un peu comme son confident, son grand frère ; ce qui n’était pas le cas du colonel. Wylie avait compris que sa mère était folle amoureuse du grand colonel O’Neill. Soudain quelqu’un sonna à la porte.

 

S : Wylie tu peux aller ouvrir s’il te plaît ?
Wylie : Oui bien sûr.

 

Elle alla ouvrir la porte et devant elle se tenait un homme d’environ 1m85 avec les cheveux poivre sel ; c’était le colonel O’Neill.

 

J : Bonjour est-ce que ta mère est là ?
W : Oui (en criant en direction du salon) Maman il y a quelqu’un pour toi !
S : (depuis le salon et à l’intention du colonel) Mon colonel ?!
J : (criant) Non c’est Râ ! (Trop drôle !!)
S : Entrez !

 

Wylie et Jack arrivèrent dans le salon.

 

S : Bonjour mon colonel !
J : Bonjour major !
S : Wylie je te présente le colonel Jack O’Neill !
W : Bonjour colonel O’Neill !
J: Tu peux m’appeler Jack! Et Sam aussi vous pouvez m’appeler Jack !
S : Très bien alors Jack je vous présente Wylie Samantha Johnie !
W : Mais tu peux m’appeler Wylie !
J : Bonjour Wylie !

 

Après cette réflexion de Wylie il trouva qu’elle avait presque le même humour que lui.

 

S : Très bien maintenant que vous avez fait connaissance on peut y aller.
J : Alors en route !

 

Au bout d’une heure de route. Samantha étai à côté de Jack qui conduisait et Wylie était assise à l’arrière du 4x4 du colonel. (je sais c’est une jeep mais bon…)

 

S : Alors quel est le programme ?
J : Et bien je n’ai rien prévu les deux premiers jours c’est-à-dire dimanche et lundi mais mardi je vais désobéir à ce que vous m’avez dit.
S : Comment ça ?
J : Et bien Janet, Daniel et Cassandra viennent.
S : Quoi !
J : Oui et ils resteront jusqu'à jeudi avec nous.
S : Et pourquoi les avez-vous invités ?
J : Parce que mercredi c’est l’anniversaire de Cassandra et qu’elle voulait voir son oncle adoptif préféré et pour Daniel il s’est invité chez moi. Il voulait faire une étape car il doit aller à Winnipeg pour un séminaire sur l’archéologie.
S : Mince j’avais complètement oublié l’anniversaire de Cassandra parce que c’est le même jour que celui de Wylie.
W : Maman qui est Cassandra ?
S : C’est la fille adoptive de ma meilleure amie : Janet Frasier.
W : Elle est née le même jour que moi ?
J : Oui le 26 août mais elle a deux ans de plus que toi.
W : Comme ceux de ma classe !
J : Quoi ?
S : J’ai oublié de vous dire que Wylie a sauté deux classes et qu’elle étudie l’astrophysique, la physique et les mathématiques.
J : Oh non ! Trois semaines de vacances avec deux scientifiques, c’est l’enfer !
S : D’autant plus que trois autres arrivent jeudi !
W : Pourquoi ?
S : Parce que Janet est médecin et Daniel est archéologue…
J : Et tu vas bien t’entendre avec Cassy parce qu’elle étudie la médecine et l’astrophysique.
W : Vous n’aimez pas les scientifiques Jack ?
J : C’est-à-dire que…………
S : Non, Jack déteste les scientifiques il ne comprend rien et c’est pour ça qu’il est désagréable avec eux. Mais il fait des exceptions !
J : Comment ça ?
S : Et bien vous faîtes des exceptions pour moi, Janet, Daniel et Cassandra. Et j’espère que vous en ferez une pour Wylie aussi.
J : Oui vous avez raison il y en a même que je ne me lasserai pas d’écouter !
W : Une dernière question Jack.
J : Oui.
W : Vous êtes l’oncle de Cassandra ?
J : Non mais depuis qu’elle est toute petite elle m’appelle oncle Jack.
W : Ah ! D’accord et moi je peux aussi ?
J : Oui si tu veux. Et si ta mère veut bien il n’y a pas de problème.
S : Moi sa ne me dérange pas.
W : Youpi !

 

Après plus de six heures de route Jack avait appris à connaître Wylie et vice-versa. Il avait appris que Wylie était avant dans une famille de Chicago ainsi elle pouvait aller voir son « oncle » John quand elle le voulait et qu’elle n’avait pas beaucoup d’amies à cause de la différence d’âge. Il apprit aussi qu’elle adorait regarder John travailler aux urgences et qu’elle savait beaucoup de choses sur la médecine. Wylie lui avait expliqué que toutes les années qu’elle avait passé dans sa famille elle avait considéré ça comme des vacances chez des amies puisque sa mère venait la voir une fois par an et qu’elle rendait visite au cousin de sa mère régulièrement et que par conséquent elle le considérait comme son grand frère. Wylie, elle, avait appris que Jack avait été marié et qu’il avait eu un fils mais qu’il était mort en jouant avec son arme de service(sniff ! L). Wylie avait essayé d’en savoir un peu plus sur le travail de sa mère et de son nouvel « oncle », mais ces derniers lui avait dis que leur travail était classé top secret.
Maintenant qu’ils étaient arrivés et qu’il faisait beau, il vint une idée à Jack.

 

J : Hé ! Les filles, si vous alliez vous baigner pendant que je range vos bagages je vous rejoindrai plus tard.
W : Oh ouais cool j’ai trop envie d’aller me baigner dans le lac !
S : Moi aussi j’en serai ravie !
J : Très bien alors aller vous changer dans la salle de bain au bout du couloir à gauche vos valises sont dans l’entrée.
S : Merci !
W : Allez viens maman !
S : J’arrive !
W : La dernière dans l’eau est une poule mouillée !
S : Alors bonne chance poule mouillée !
W : Comme si tu allais gagner maman !
S : On va voir.

 

A peine eu-t-elle fini sa phrase qu’elle était partie en courant dans la maison. Jack les regardait s’amuser comme si elles étaient des meilleures amies alors qu’elles étaient mère et fille. Quelques minutes après le colonel vit passer les femmes qui allèrent plonger.
Wylie et Sam s’amusaient à nager et à s’éclabousser de temps à autre, cela faisait peu de temps qu’elles étaient ensemble et rattrapaient ces seize ans perdus. Sam était heureuse car pour elle, ces trois semaines allait sûrement être un des meilleurs moments de sa vie. Elle allait passer trois semaines avec les deux personnes qu’elle aimait le plus à cet instant : Le colonel O’Neill, l’homme qu’elle aimait mais qui lui était interdit d’aimer, et Wylie, sa fille qui lui avait manqué terriblement.
Quelques instants plus tard O’Neill les rejoignit. Tous les trois, ils s’amusèrent pendant des heures. Au début Jack plongea et remonta à la surface en passant au-dessous de Wylie de manière à ce qu’elle soit sur ses épaules puis il essaya de la couler ainsi que Sam mais n’y arrivant pas les deux filles se mirent ensemble contre lui et le coulèrent plusieurs fois. Puis épuisés ils sortirent et allèrent s’habiller ; Jack leur montra alors leur chambre respective.

 

J : Voilà la chambre pour Wylie.
W : Elle est magnifique !
J : (tout en marchant avec Sam et Wylie jusqu’à la chambre suivante) Cette chambre sera la votre Sam.
S : Merci beaucoup !
J : Et puis pour vous présenter un peu plus la maison, au fond du couloir vous voyez les deux portes ?
S : Oui.
J : Et bien celle de droite se sera la chambre de Cassandra et celle de gauche, la chambre de notre chère docteur.
S : Et Daniel ?
J : Il dormira dans ma chambre en bas.
W : Et vous, Jack ?
J : Moi je dormirai, jusqu’à ce que Daniel arrive, dans ma chambre et ensuite je dormirais sur le canapé.
S : Oh je suis désolée c’est de ma faute si vous n’avez pas une chambre de plus de libre. Si je n’avais pas emmené Wylie vous auriez pu dormir dans votre chambre.
J : Mais non ce n’est pas de votre faute. Et puis Wylie se serait ennuyée toute seule chez vous !
W : C’est vrai ça !

 

Ils continuèrent de visiter le chalet de Jack qui mine de rien était grand. Il se composait de cinq chambres, de trois salles de bains, d’une grande cuisine avec un assez grand salon/salle à manger. (Je sais c’est pas vrai qu’il est grand son chalet mais il fallait que tout le mode rentre dedans !) Après le dîner Sam alla se coucher car elle était morte de fatigue, et pendant que Jack rangeait la table et faisait la vaisselle Wylie, elle, sortit dehors et s’assit au bord du lac.
Après avoir fait la vaisselle Jack regarda par la fenêtre et vit Wylie qui était assise au bord de l’eau et qui regardait les étoiles. Il se demandait si c’était sa fille ou pas ? Mais pour lui il y avait trop de coïncidences : le mouchoir, les dates, la ville et le prénom.
Après ces quelques instants de réflexion il sortit dehors et alla s’asseoir au près de Wylie.

 

J : Salut !
W : Oh ! Salut oncle Jack !
J : Tu faisais quoi ?
W : Je réfléchissais.
J : Ah et à quoi pour ne pas être trop indiscret ?
W : Et bien je me demandais depuis combien de temps vous connaissez ma mère. Parce que depuis le temps qu’elle me parle de son travail et de vous je ne sais plus quand elle a commencé.
J : Ah bon ! Ta mère t’avait déjà parlé de moi ?
W : Oui et aussi de Janet et Daniel mais surtout de vous.
J : D’accord et bien je connais ta mère depuis environ sept ans.
W : Ca fait longtemps !
J : Oui je sais mais c’est normal ça fait sept ans que je suis son supérieur hiérarchique.
W : Je me demandais aussi si vous voudriez sortir avec elle ?
J : Pourquoi ?
W : Et bien je trouve que vous allez bien ensemble et vous avez quelques regards de tendresse entre vous J.
J : (étonné) N’importe quoi !
W : Je vous jure. Alors ?
J : Alors quoi ?
W : Vous voudriez bien sortir avec ma mère ?
J : Même si je voulais, je ne pourrai pas car la loi de non-fraternisation nous l’empêche.
W : Dommage !
J : Pourquoi dommage ?
W : Parce que moi j’aurai bien aimé vous voir sortir ensemble et même plus.
J : Ah oui ! Et pourquoi ?
W : Et bien je trouve que vous aller bien avec ma mère et qu’elle serait heureuse avec vous, même si je ne la connais pas très bien. Et puis maintenant que je suis avec ma mère j’aimerais bien avoir un père et j’aimerais bien que ce soit vous, vous êtes tellement sympathique.
J : merci.
W : (en regardant les étoiles) Je me demande à quoi il ressemble..
J : Qui ?
W : Mon père.
J : Tu n’as pas une photo de lui ?
W : Non ma mère n’en a même pas de lui. J’aimerais bien le rencontrer.
J : Pour faire connaissance avec lui ?
W : Oui mais aussi pour lui demander pourquoi il n’a pas essayer de nous retrouver et pourquoi il s’est marié avec quelqu’un d’autre que ma mère.
J : Peut-être que ce n’est pas de sa faute qu’il a essayé de vous rechercher mais qu’il a été envoyé en mission pendant plusieurs mois.
W : Peut-être mais ce n’est pas une raison !
J : Oui mais d’après ce que m’a dit ta mère il était dans l’armée lui aussi et peut-être qu’il n’a pas voulu gâcher la carrière de ta mère en la faisant passer devant la cour martiale.
W : C’est peut-être vrai mais comment pouvez-vous dire cela avec tant d’assurance. Vous le connaissez mon père ?
J : Non je dis ça comme ça je ne sais pas qui c’est !
W : Excusez-moi mais je suis un peu à cran je n’ai pas beaucoup dormi la nuit dernière dans l’avion qui reliait Chicago à Colorado Springs.
J : Ce n’est pas grave mais tu devrais aller te coucher !
W : (en baillant) Oui, oui tout à l’heure.

 

Quelques instants après, Wylie s’endormit sur l’épaule de Jack.  Ce dernier la porta jusque dans sa chambre et la déposa dans son lit. Il resta quelques instants pour la regarder, elle était belle et ressemblait tellement à sa mère : Elle avait les même yeux bleus, le même regard (bon je sais elle a les yeux fermés parce qu’elle dort donc on voit pas son regard ni ses yeux mais il pense à ça parce qu’il a eu le temps de regarder son regard et ses yeux toute la journée. Je précise pour les gens qui se disent que je suis bête d’avoir écrit sa ! N’est-ce pas Fi-Fi !), le même nez, le même visage et elle avait la même coupe de cheveux sauf que les siens était  plus foncés. Il resta donc dans l’embrasure de la porte pour admirer la beauté de cette fille qui était peut-être la sienne et repartit pour rejoindre sa chambre.

 

Vers les dix heures du matin Sam ouvris les yeux et s’étira. Elle se leva et alla s’habiller. Elle se vêtit d’une robe légère avec de fines bretelles et qui lui arrivait un peu au-dessus des genoux. Sa robe était en harmonie avec ses yeux parce qu’elle était bleue. Elle descendit les escaliers. Elle alla dans la cuisine et ne vit personne. Sam se dirigea alors vers la porte d’entrer pour voir si Jack et sa fille se trouvaient dehors. Elle ouvrit la porte et resta dans l’embrasure de celle-ci pour regarder Jack et sa fille ensemble au bord du lac. Le colonel apprenait à Wylie à pêcher.

 

J : … il faut être très patient pour pêcher et…

 

A ce moment là Wylie se retourna et vit sa mère sur le pas de la porte.

 

W : Maman !
J : Pardon ?

 

Wylie courut jusque dans les bras de sa mère, Jack lui arriva doucement vers les deux femmes.

 

W : (se séparant de sa mère) Bonjour maman
S : Bonjour Wil !
J: Bonjour Sam!
S : Oh bonjour Jack ! Qu’est-ce qu vous faisiez?
W : Jack m’apprenait à pêcher !
S : Vraiment ?
J : Oui et je trouve que c’est une élève très attentive.
W : J’ai faim !
J : Bonne idée si nous allions prendre le petit déjeuner !
S : Vous ne l’avez pas pris ?
W :Non Jack attendait que tu te réveilles.
S : Oh merci ! Il ne fallait pas !
J : Oh mais s’il le fallait ! Vous êtes mon hôte et nous nous devons de petit déjeuner ensemble !
Sur cette discussion Jack, Sam et Wil allèrent manger. Jack regardait depuis le début Sam très intensément et cette dernière gênée s’en rendu compte.

 

S : Mon colonel pourquoi me regardez vous comme ça ?
J : Carter ! Je vous ai dit de m’appeler Jack.
S : Très bien JACK alors arrêter avec les « Carter » et appeler moi Sam !
J : Très bien !
S : Alors Jack pourquoi me regardez-vous comme ça ?
J : je me disais juste que vous étiez très belle et que cette robe vous allait à ravir !

 

Sam rougit, elle était touchée et gênée que son supérieur lui fasse ce compliment.

 

S : Merci jack !
W: (avec un grand sourire) Waouh!
S : Quoi ?
W : Maman tu rougis qu’est ce qui te fais rougir comme ça ?
S : Mais rien je ne rougis même pas !
W : Mon œil ! Tu rougis comme une tomate !
S : Mais c’est normal Jack m’a fait un compliment !
W : je ne crois pas que ce soit le compliment qui t’ai fait rougir mais plutôt la personne qui t’as dit ce compliment !
S : N’importe quoi !
J : Votre fille a des idées très bizarre Sam !
S : Moi aussi je trouve !
J : (ironique) Cette réflexion va vous valoir un châtiment Mademoiselle Wylie Samantha Johnie Carter !
W : Dire mon prénom comme ça me donne l’impression d’être une grande duchesse ! Quelle va être mon châtiment colonel Jack O’Neill ?
J : (mystérieux) Ah Ah !

 

Sur ce il se leva de sa chaise et avant que Wylie est pu se lever, Jack pris cette dernière et l’emmena dehors suivit de Samantha.
Arriver sur le ponton au bord du lac le colonel jeta Wylie à l’eau, puis après avoir refait surface Wylie tendit sa main en direction de Jack.

 

W : Mon cher colonel maintenant que vous avez exécuté votre châtiment pourriez m’aider à me sortir de l’eau ?
J : ( amusé par le ton qu’employait Wil) Mais certainement mademoiselle la duchesse.

 

Sur ce Jack donna sa main à Wylie, cette dernière pris la main de Jack et entraîna le colonel dans l’eau. Jack fut surpris car il ne s’attendait pas à ce que Wylie fasses ça. Puis s’en suivit une folle bataille d’eau entre Jack et Wylie sous l’œil attendri de Samantha qui se demandait combien de temps elle allait pouvoir résister au charme de son supérieur. Après une ½ heure, le colonel et Wylie se décidèrent à sortir, enfin, du lac. Ils allèrent se sécher et se changer chacun dans une salle de bain différente, pendant que Sam lisait un livre sur un transat. Au bout de quelques minutes Jack sortit rejoindre Samantha.

 

J :  (en sortant de la maisonnette) Dîtes moi Sam que voulez-vous faire cette après-midi.
S :  (en relevant la tête de son livre) Je ne sais peut-être qu’aller faire les boutiques serait une bonne idée.
J : Oh non ! Pourquoi m’imposer ça !
S : Et bien étant donné que je n’ai pas acheté de cadeau à Wylie et à Cassy…
J : Ah d’accord c’est une bonne idée, il faudrait peut-être que j’achète un cadeau à Cassandra et à Wylie.
S : Oh non ne dépensez pas votre argent pour ma fille.
J : Ah si ! Vu que je suis son « oncle » je me dois de lui offrir un cadeau. !
S : Bon si vous insistez…
J : Et comment !

 

A ce moment là Wylie sortit à son tour du chalet de Jack, et alla rejoindre nos deux militaires préférés.

 

W : Alors où on va ?
J : Faire les boutiques !
W : Waouh génial !
S : Et oui c’est génial j’ai du mettre une heure à persuader le colonel que c’était un bel endroit pour passer la journée  à se promener et à dépenser son argent.
J : Sam !
S :  (l’air faussement fautive) Oui ?
J : Je m’appelle Jack alors cessez avec vos « colonel » !
S : A vos ordres mon colonel !

 

Et ils se mirent tous les trois à rire comme des baleines. Au bout de cinq minutes le téléphone portable de Jack se mit à sonner.

 

J : O’Neill j’écoute…… Quoi ? C’est pas vrai……

 

 

A suivre …

 

Envoyez-moi vos commentaires par Email, et dîtes moi si le début de ma fic est bien car si elle est nulle je ne ferais pas de suite et sa s’arrêtera en queue de poisson.

 

Lor.d.a.sam

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J
 
 
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