Jack (blasé) : Ok , bon on est sur cette planète pour faire quoi ?

Daniel (boudeur) : Sais pas, me concerne pas moi, y’a pas de temple. (Danny, 4ans et demi)

Teal’c (sérieux) : Ma compréhension de votre langue n’est pas assez précise, malgré mes 7 années passés sur Terre pour définir ce qu’a voulu dire le général Hammond. Pour ne pas subir une inévitable migraine en cherchant à comprendre, migraine qui diminuerait mes capacités de guerrier j’ai préféré faire abstraction des dires du général Hammond. (et ainsi le jaffa fit la plus longue phrase de sa vie)

Jack, sceptique, allait répondre mais Teal’c le regarda d’un air si-tu-me-contredis-je-t’en-fous-une et il préféra donc se taire et ce tourna vers son major. (j’avoue que j’aurais fais la même chose)

Sam (désintéressée): Je sais pas j’ai pas écouté. (La garce !)

Jack (exaspéré): Attendez, aucun de vous n’a écouté Hammond ?

Les trois autres secouèrent la tête.

Jack (désespéré) : Mais pourquoi ?

Daniel (Hurlant) : Parceuh queeeeeeeeeeuuuuuuhhhhhhhhhhhhh !!!!!!

Jack (ironique) : Merci pour cette information capitale Daniel. (Capricieux) Je veux savoir pourquoi !!!

Teal’c (froid): Je vous l’ai déjà expliqué O’Neill.

Jack (poltron): Merci Teal’c. Daniel ???

Daniel (gêné) : En fait, je pensais à autre chose.

Sam (curieuse) : Quoi ? (Ca te regarde ?????)

Daniel (mal à l’aise) : Ben, j’ai oublié de mettre mon magnéto hier soir pour une émission et je réfléchissais à qui je pouvais appeler pour me l’enregistrer.

Jack (gentil) : Quelle émission ? J’ai lancé pas mal d’enregistrements, avec mes 15 magnétos super enregistreurs vitesse 16X avec 98 têtes de lecture. Peut-être l’aurais-je enregistré par hasard ? (Bien équipé le Jack) (Faut pas avoir l’esprit mal tourné avec toi…) ( Si, c’est plus drôle lol)

Sam (incrédule): Vous êtes bien serviable tout à coup mon colonel ?

Jack (fripouille) : Qui vous dis que c’est un service. Il payera la K7, et le prix fort. (tu m’étonnes)

Sam (rassurée) : Je me disais aussi.

Jack (courroucé): Hein ?

Sam (innocente) : Non rien. Alors Daniel, cette émission ?

Daniel (très gêne) : Euh... C’est un truc scientifique…sur la reproduction animale….l’être humain était en question….. C’était cette nuit, sur la 4, vers 2 heures…..(la reproduction animale hein ?)

Sam (comprenant): Oh.

Jack (étonné) : OH ?

Teal’c  (ne comprenant rien) : Je sais pas pourquoi je dis Oh mais on ma dit que pour s’intégrer il faut imiter les autres donc : OH. (bien Teal’c, tu commences à t’intégrer)

Sam (rouge et doucement à Daniel) : Ne vous inquiétez pas, j’ai lancé l’enregistrement. (Kwa ????)

Jack (l’ayant entendue) : Est-ce que mi z’oreilles fonctionnent bin ? (Voir Aladin, de Disney) Carter, vous enregistrez des films pornos ?

Sam (rouge) : Oui mon colonel.

Jack (surpris) : Pourquoi ?

Sam (désespérée) : Parce que je suis en maaaaaaaannnnnnnnnnque !!!!! Snif. Je suis qu’une simple femme. Je vis dans l’abstinence depuis 7 ans maintenant et ma libido me taquine de plus en plus souvent mon colonel. Je me souviens à peine de ce que c’est qu’un orgasme !!!! (Alors un orgasme c’est….Euh en fait, je dis rien je veux pas choquer le jeune public)
Jack (coquin) : On peut remédier à ça.
Sam (soufflée) : Comment ???? (Si elle pose la question, c’est que ça fait vraiment longtemps)

Daniel (moqueur) : La question est plutôt avec qui ?

Sam (avec évidence) : Le colonel bien sur, sinon, canon comme je suis, vous croyez que je n’ai pas eu l’occasion de coucher avec un homme depuis plus de 7 ans ???????? (Ca va les chevilles ? pas trop cher le fleuriste ??)

Daniel (la reluquant) : Ouais, j’admets que vous devez avoir des propositions toutes les semaines.

Sam (fière) : Tous les jours vous voulez dire. Mais je ne peux coucher avec un autre homme. J’aurais l’impression de tromper Jack !

Jack (lubrique) : Vous savez, ma proposition tient toujours !!!

Sam (paniquée) : Oui mais le règlement !!

Jack (détendu) : Bah, je m’en bas les niktas….

Daniel (pragmatique) : Pas trop fort quand même, sinon vous ne pourriez plus rien faire avec Sam…(Bien dit !!)

Jack (énervé) : Daniel, allez mater la vidéo porno du doc que vous avez sur votre caméscope et laissez nous tranquilles.

Daniel (rouge) : Comment vous savez ça vous ?

Jack (triomphant) : Je ne le savais pas, ce n’était qu’une blague idiote (Enfin, il le reconnait !!)!!! Alors comme ça vous avez des vidéos pornos du doc ?

Daniel (rêveur) : Oh pas que de Janet mais aussi de toutes les infirmières et de toutes les femmes de la base en fait. (Cochon !!) (Goret !)

Jack (suspicieux) : Toutes ?

Daniel (content) : Ouais.

Jack (méchant) : Vous êtes sûr Daniel ?

Daniel (peu sûr) : Euh, oui.

Teal’c (avertissant) : Je serais vous Daniel, je répondrais non…( Moi aussi)

Daniel (mal comprenant) : Pourquoi ?

Teal’c (lucide) : O’Neill semble nerveux que vous puissiez être en possession de telles images du major Carter. Elle aussi d’ailleurs à en juger par la rougeur de son visage et le regard haineux qu’elle vous réserve. (Parle pas beaucoup Teal’c, mais il parle bien)
Daniel (réalisant) : Ah. Mais je n’ai pas Sam, elle a toujours refusé, et en plus, c’est la seule que je n’ai pas pu (encore) avoir par surprise sous la douche. Chais pas comment elle fait, elle y va toujours en même temps que moi, et dans une douche différente en plus. (En effet, c’est très étonnant)

Jack (sarcastique) : C’est peut-être, je dis bien peut-être, que quand Sam utilise les douches des vestiaires c’est parce qu’elle revient de mission et que vous-même revenez de mission ? Non, ça ne vous semble pas plausible ?

Daniel (réfléchissant) : Maintenant que vous le dites ! Mais comment je vais pouvoir faire alors. C’est la seule qui manque à ma collection !!!

Jack (intransigeant) : Vous ne faîtes pas. Votre collec’ est terminée, jamais vous n’aurez pas Sam à poil sur vidéo O.K ?

Sam (gêné) : Ah hum Euh, mon colonel ?

Jack (mielleux) : Oui Sammy ?

Sam (cramoisie) : Ben en fait, il pourrait m’avoir sur vidéo, elle existe déjà, tournée il y a bien 15 ans.

Jack (malheureux) : Quoi ??? Racontez moi comment ça à pu arriver.

Sam (enjouée) : Une fois, au stage d’été (de l’air force), on avait fumé un joint, et puis on avait trop bu, et on a fait une partouze et y’a Dick qui a filmé, c’était trop fun ! (Pas influencé par American Pie)

Jack (fuyant) : On s’est écarté du sujet. Pourquoi vous n’écoutiez pas Carter ?

Sam (sincère) : Je vous matais mon colonel (J’en ferais autant à sa place, on peut décemment pas lui en vouloir) (Moi je lui aurais plutôt sauté dessus) (Après on dit que c’est moi la perverse..)
Jack (Flatté) : Oh, je comprends Major. Vous n’aurez pas de rapport. (Ah moins qui soit sexuel non ?? Je sors)

Teal’c (impérieux) : Et vous O’Neill ?

Jack (ennuyé) : Vous savez, les briefings, on commence à ne pas écouter le premier, comme ça, pour voir ce que ça fait, pour faire comme les autres, puis on prend goût et ensuite ça devient une habitude. Et c’est très difficile après d’arrêter de ne pas écouter les briefings. J’ai tenté d’arrêter, plusieurs fois, mais c’est trop dur, je n’ai pas la volonté. Je replonge à chaque fois. (Dédicaces à tous les fumeurs, pour les repenties, j’accepte volontiers vos conseils et méthodes pour arrêter).

Daniel (pratiqué) : Bien. Maintenant que l’on sait pourquoi personne n’a écouté en quoi cela résout notre problème ? On ne sait toujours pas ce que l’on doit faire ici.

Sam (passionnée) : On peut faire des analyses du sol.

Jack (impatient) : On a qu’à faire ça. Est-ce que quelqu’un a retenu combien de temps on avait ?

Daniel (puéril) : Ouais, on a quatre jours pour rentrer.

Jack (sérieux) : Faisons ces analyses. Cette planète regorge d’assez de trucs pour occuper Carter pendant quelques heures.  Dont un Colonel….Non ??)

Tous jetèrent un coup d’œil autour et admirèrent le paysage, qu’ils n’avaient encore pris le temps de contempler trop pris par leur discution de la première importance. C’était une planète de sable blanc avec à proximité une mer calme et turquoise. La porte était donc sur la plage. A quelques mètres du bord de l’eau, des palmiers et une forêt ressemblant à la forêt amazonienne était présente. On se serait cru sur une île paradisiaque (Et oui, c’est moi l’auteur, j’aime les îles). Ils passèrent leur journée à prendre des échantillons du sable, de l’eau, de l’écorce de chaque arbre, des feuilles de chaque arbre, arbuste, fleur, des fleur, des morceaux de terre. Après avoir ramassé des échantillons de tout et n’importe quoi, ils montèrent le camp. Sam monta sa tente, qu’elle partageait avec le colonel (En combien de morceaux ??? Je sors) et Daniel monta celle qu’il partageait avec Teal’c. Jack, lui tentait d’allumer le feu avec son Zippo, pris d’une soudaine impatience il prit la lance que Teal’c avait laissée pour aller chercher plus de bois, et tira sur le tas de foyer. Le feu pris d’un coup. Fier de lui, il fit un « spécial Sam » à Sam qui lui rendit un « spécial attardé mental » plein de condescendance. Cependant, elle ne put s’empêcher de ressentir un profond désir pour SON colonel quand il s’étira, son T-shirt trop court dévoilant son ventre plat. Teal’c revint vers le groupe et déposa lourdement le tas de bois sur les pieds de Daniel, qui eu pour effet de faire pousser un cri de fillette à l’archéologue. Teal’c, malheureux d’avoir fait souffrir son meilleur ami, essaya de se démembrer vivant lui-même (Sérieux j’aimerais bien voir ça), puis voyant qu’il n’y parviendrait pas, et surtout que cela ne servait finalement pas à grand-chose, il choisit de prendre Daniel dans ses bras pour implorer son pardon.

Teal’c (pleurant) : Mon ami, sniff, pardonne moi, sniff, je ne voulais pas te faire de mal. Sniff. (Sniff, c’est beau un Jaffa qui pleure)

Daniel (chochotte) : Oui mais tu l’as fait ! Ouinnnnnnn !

Teal’c (suppliant) : Ami de moi, sois indulgent, ton pardon, accorde moi. (Et un Jaffa poète, finalement ça fais beaucoup de chose un Jaffa)

Daniel (magnanime) : D’accord, mais promets moi de ne plus me faire de mal.

Teal’c (heureux) : Promis. Copain ?

Daniel (souriant) : Copain. (Triso ouais !)

Ils séchèrent leurs larmes et sautillant, main dans la main, comme deux enfants, ils rejoignirent le major et le colonel qui préparaient le hachis parmentier, qui avait goût de gratin de chou-fleur, autour du feu.

Jack (affamé) : A table.

Sam (institutrice) : Non, Au feu. (Appelez les pompiers !!!)

Jack (perplexe) : Quoi ? Que voulez vous dire major.

Sam (patiente) : Ben oui, monsieur, nous sommes autour d’un feu, pas d’une table. On dit à table quand on est autour d’une table. Puisqu’ici nous sommes autour d’un feu, il faut dire au feu. (Logique…)
Jack (sceptique) : Mouais, si je cris au feu, les deux zozos vont arrivez avec des seaux d’eau et nous arroser. Vaut mieux une autre stratégie. A LA BOUFFE ! (Bien joué !!)

Le Jaffa et Daniel rappliquèrent en moins de temps qu’il n’en faut à Felger pour bloquer tout un réseau de porte des étoiles et se jetèrent sur la nourriture. Mais, civilisés malgré les dires des Noxs, Tollan et autres goa’ulds, ils se tinrent bien à table, pardon, au feu (Je ne tiens pas à contrarier Sam !) et il n’y eut pas beaucoup de nourriture sur les vêtements de nos quatre explorateurs. Jack était le deuxième plus sale mais seulement parce qu’il avait protégé Carter des boulettes de purée que lui envoyait Daniel. Très dangereux les boulettes de purée, il ne devait pas risquer de perdre la seule experte de la porte terrienne. Même si elle savait se défendre, en en juger l’état de Daniel qui lui était totalement recouvert de hachis, aucun risque ne devait être pris. (Sur !) Du moins c’est l’explication qu’il donna à ces trois compagnons quand ils remarquèrent l’empressement du militaire à s’allonger sur son second pour la protéger. Le repas terminé, ils décidèrent de dormir après être allés un peu se laver dans la mer.

Jack (ordonnant) : Teal’c vous prenez le premier quart, moi le deuxième, Carter le Troisième quart et Daniel le quatre.

Daniel (ayant rien écouté) : Quatre quoi ?

Jack (énervé) : Quatre quarts.

Daniel se baissa donc et fouilla dans son sac sur le regard d’incompréhension du reste de SG-1. Au bout de quelques minutes de recherches approfondis, il tendit, très fier de lui, un long gâteau à base d’œuf, de farine, de sucre et de lait au colonel. (Suis pas sûre de la recette, Marine se contente de manger  )

Daniel (fier) : Tenez !

Jack (coléreux) : Mais je ne veux pas un quatre quart mais je vous dis que vous prendrez le quatrième quart, ou tour de garde si vous préférez.

Daniel (honteux) : Oh. Euh je vais me coucher, bonne nuit.

Sur ses bonnes paroles, tous partirent ce coucher ou prendre leur tour de garde. La nuit se passa sans aucun problème particulier, en dehors des ronflements de Jack, qui auraient couvert le bruit du lancement simultanée de 15 fusées Ariane (Ou Massenet si vous voulez…Je sors) , du grincement de dents et des histoire de Daniel qui, tout en dormant, parlait histoire, SGC ou ragot, du somnambulisme de Sam qui se cognait dans tout ce qui se présentait sans se réveiller, manquant de se tuer si la personne de garde ne veillait pas aussi sur elle et des gémissements de Teal’c qui faisait des rêves érotiques, dont le personnage principal était Jasmine Bleeth, criant parfois « cours Jasmine ». Oui, il avait découvert alerte à Malibu (Je ne suis absolument pas influencée par F.R.I.E.N.D.S). Une nuit tout à fait normale pour Sg-1. Nous pouvons comprendre maintenant pourquoi les Goa’ulds et autres ennemis les repéraient facilement lors de missions d’infiltration (Sur que s’ils font autant de bruit…). C’était à se demander, en écoutant Daniel, comment la Terre n’était pas encore envahie car l’archéologue donnait tout ce qu’on voulait dans son sommeil, suffisait de lui poser une question, il y répondait. C’est ainsi, que, toutes les nuits quand ils étaient en mission, les trois autres se renseignaient sur les ragots de la base pendant leurs tours de garde, sans avoir l’air de commères. Eux aussi étaient friands de ces rumeurs mais ils avaient une réputation à tenir. Surtout Teal’c. ( Teal’c est une commèreuh, !!) Au matin, tous étaient levés, sauf Sam. Ils buvaient leurs cafés auprès du feu.

Daniel (interrogatif) : Ne serait-ce pas temps de réveiller Sam ?

Teal’c (stoïque) : En effet.

Jack (heureux) : J’y vais.

Il se leva et se dirigea vers la tente où Sam tapait une grasse matinée. ( Ne vous inquiétez pas, la grasse matinée va bien)

Jack (s’agenouillant) : Sam, il est l’heure de se lever.

Sam (à moitié endormie) : Encore 5 minutes.

Jack (amusé) : Non, il est temps.

Après un grognement de Sam, il se pencha vers elle et l’embrassa sur le front.

Sam (souriant) : Hum, encore 3 minutes s’il te plait.

Jack (étonné) : Te ?

Sam (intelligemment) : On se connaît depuis bientôt 8 ans, il serait temps de passer au tutoiement non ?

Jack (réfléchissant) : Oui tu as raison Sam. Tu viens prendre un café ?

Sam (espiègle) : C’est une invitation ?

Jack (malicieux) : Tu aimerais que ça en soit une ? (Moi oui) (Idem ici )

Sam (franche) : Oui !

Jack (sérieux) : Alors c’en est une.

Sam et Jack sortirent de la tente, et rejoignirent le feu pour boire le jus de chaussette qu’avait préparé Teal’c. Sam en profita pour compter ses nouveaux bleus, aidée en cela par un Jack soudain très zélé dans sa tache de vérifier les parties du corps de Sam que cette dernière ne pouvait pas voir. ( Pourquoi ne suis-je pas étonnée, en dehors de fait que ce soit moi l’auteur)

Daniel (préoccupé) : Cela m’étonne que le général nous ait donné 4 jours pour de simples relevés.

Teal’c (docte) : Il y avait sûrement une autre tâche qui demandait plusieurs jours. (Oui, les tâches de graisses, c’est dur à faire partir !! Tiens comme il fait beau dehors, et si je sortais ???)

Sam (intelligemment) : Un peuple est peut-être présent sur cette planète et le général souhaite nous voir signer une alliance avec ce peuple si c’est possible.

Jack (admiratif) : Très bonne idée Sam. Très intelligent. C’est sûrement ça.

Daniel (excité) : Alors en route.

Jack (calmant) : Attendez Danny boy, on ne sait pas dans quelle direction partir. Rangeons d’abord le campement et on avisera ensuite.

Le campement fut rapidement rangé, à cause de Daniel qui buta contre une grenade, ils eurent juste le temps de courir se protéger derrière un rocher avec que tout n’explose (Vive le rangement rapide). Il ne leur restait plus que leurs armes, un GDO, les vêtements qu’ils portaient, les échantillons que Sam avait mis de côté et les quelques barres de chocolats que Daniel gardait dans les poches en cas de rencontres avec des unas. (On ne sait jamais, soyons prudent)

Jack (furieux) : Bravo Daniel, on fait quoi maintenant ?

Teal’c (impassible) : On trouve le peuple et on leur demande le gîte et le couvert.

Jack (courroucé) : OK. Daniel je vous laisserai seul expliquer à Hammond comment on a perdu près de $50000 de matériel.

Daniel (penaud) : D’accord. On y va ? Sam quelle direction ?

Sam (Sure d’elle) : Par là ?

Jack (perplexe) : Comment peut-on en être sûr ?

Sam (désintéressé) : Parce qu’il y a des maisons et un immeuble de 10 étages. (C’est sur que comme ça, on peut pas se tromper)

Après cette preuve démontrée par Sam, ils marchèrent en direction de la ville. Le voyage dura environ une heure, et personne ne parla, tous plongés dans leurs mémoires pour tenter de savoir ce qu’avait bien pu dire Hammond. Même Jack cherchait, espérant être le premier à trouver pour impressionner Sam. Ils arrivèrent à la ville et ils découvrirent des gens de genre humain, habillés par des shorts roses et des chemises oranges et comme chapeau, une grande chaussette verte. Comme chaussures ils avaient des tongs jaunes fluo avec une grosse fleur rouge sur le dessus. (Dédicace à un vacancier que j’ai aperçu, j’ai juste rajouté le chapeau) Un homme avec une barbe prune s’avança vers eux avec un sourire.

Homme (souriant) : sarturt !

Daniel (avenant) : Bonjour. 2 secondes.

Il sortit un dictaphone et appuya sur play. On entendit la voix de Daniel : « Nous sommes des explorateurs pacifiques, terriens, tauris, arrivés par la porte des étoiles, le Shapaï, l’anneau de pierre. Nous cherchons alliance avec des peuples des différentes planètes. Je suis Daniel Jackson, voici Teal’c, le major Samantha Carter et le Colonel Jack O’Neill. »

Les équipiers du jeune archéologue le regardèrent avec un certain étonnement.

Daniel (haussant les épaules) : Ben quoi, j’en ai marre de me répéter à chaque mission. (Ça se comprend)

Les trois autres compréhensifs acquiescèrent et se tournèrent vers l’homme.

Homme (difficilement) : Je suis Jorora. Je parle un peu votre langue. Soyez les bienvenus.

Daniel (intéressé) : Quelle est votre langue ?

Jorora (rieur) : cerller lar. Nours l’arpperlonrs ler cricrocra dur norm der nortre plarnerter cricrocrim.

Daniel (triomphant) : J’ai compris, c’est bête comme Jack. (Hé, je te permets pas !!)! Il suffit d’enlever les r à chaque syllabe pour comprendre, ou en rajouter pour parler. Je vais essayer. Jer parler vortre lanrguer ?

Jorora (ravi) : Ouir, vours arpprenerz virter ! Ferlircirtartionr !

Daniel (humble) : Mercir.

Jack (impatient) : Daniel, je n’ai pas la même facilité que vous pour les langues, vous pouvez traduire ?

Daniel (excédé) : Voyons Jack, c’est simple, retirer les r et vous comprendrez !

Jack fit un effort de réflexion, voyant qu’il était le seul à ne  rien comprendre. Tous ceci non pas pour faire plaisir à Daniel mais pour impressionner Sam et arrêter de passer pour un con. Il tenta alors une phrase en cricrocra

Jack (Hésitant) : Bonrjourr, pourrrionrs nours arvoir urner dirscurtionr aurtour d’urner boirssonr ? Nours arvonrs soifr, nours n’arvonrs plurs d’eaur nir der nourriturrrer.

Daniel était fier de son ami. Il n’avait pas fait de faute.

Jorora (gentil) : C’estr bienr, vours n’arverz fairt quer quelrquer faurter. Ilr estr irnurtirler der rarjourter ders r quanrd ilr yr enr ar derjar unr. Mairs c’estr urner faurter couranter quanrd onr arpprenrd nortrer lanrguer.

Jack (fier) : Mercir. Jer ner ferairs plurs certter faurter.

Il se retourna vers ses coéquipiers, souriant comme un enfant qui venait de comprendre un problème de maths. Daniel lui sourit en l’encourageant. Teal’c baissa la tête, et Sam le regarda les yeux brillants, fière de lui, avec un grand sourire. Ceci fut la plus belle récompense pour Jack devant de si grand effort. (Pour un sourire de Sam, il est prêt à tout…)
Jorora (jovial) : Mais nous allons plutôt utiliser votre langue, c’est nous qui vous recevons, c’est nous qui faisons l’effort. (Ok, d’habitude c’est contraire, mais j’en ai marre de voir des vagues rouges partout…)

Jack (étonné) : euh…merci !

Jorora leur fit signe de les suivrent dans son champignon géant qui lui servait de maison. (Les schtroumfs ? C’est quoi ? Connais pas, jamais entendu parler. C’est un gâteau peut-être ?) Comme il était midi et qu’ils avaient faim, ils mangèrent en silence la nourriture violacée que leur servi Jorora. Cela avait un goût de pain d’épice recouvert de jus de cornichon mais c’était bon, disait Teal’c. L’après-midi passa très vite. Ils discutèrent des coutumes et des armements. Ils purent signer l’alliance sur un bout de mouchoir en papier que Daniel avait toujours sur lui en cas d’allergie. Le soir, lorsque la nuit noire fût tombée, ils allèrent se coucher. Daniel avec la fille de Jorora, car, comme à son habitude, il avait fait une conquête. (C’est bien Daniel ça…)Les membres restant de SG-1, eurent droit à la maison des invités, mais un problème se posa. Il n’y avait que deux lits 1 personne.

Teal’c (sérieux) : Il n’y a que deux lits 1 personne, nous sommes trois, un problème se pose. (Copieur !!)
Sam (excitée) : Un problème, je vais trouver la solution. Laissez moi faire le calcul. 3 moins 1 plus un, je retient 17, je retranche 4, je divise par 3x²-4r² /4x+7 est égale à 2 et 1. Donc dans un lit il y aura une personne et dans l’autre deux personnes. (Très dur comme calcul, en effet)

Jack (impressionné) : Je suis impressionné par ta capacité de solutionner un problème. Maintenant, qui dort à deux ?

Teal’c (intransigeant) : Ma religion m’interdit de dormir dans le même lit qu’un homme.

Jack (impatient) : Donc la question est, qui dormira avec Carter.

Sam (enfantine) : Je peux choisir ?

Jack (joueur) : Oui, mais attention, Teal’c fait des rêves érotiques !

Teal’c (se défendant) : Mais O’Neill ronfle.

Sam (réfléchissant) : Le problème n’est pas là….Jack est plus mince, donc il sera plus simple de partager un lit avec lui. Puis j’avoue que j’aurais du mal à supporter de sentir Junior bouger. (Moi, perso, ce serait autre chose que j’aurais du mal à supporter vu les rêves de Teal’c)

Jack exécuta une danse de la victoire imitant Chandler dans F.R.I.E.N.D.S. (Vous ai déjà dis que j’étais pas influencée…) C’est ainsi qu’ils se couchèrent, Jack et Sam, collés l’un à l’autre dans le même lit, et Teal’c tout seul.

 

Le lendemain matin, Daniel vint les réveiller et fût surpris de retrouver Sam, en nuisette, dormant contre le torse nu de Jack, la tête sur sa poitrine. Cependant, comme lui avait passé une très bonne nuit avec Jorori, nuit qu’ils avaient passés à jouer aux cartes, Daniel apprenant à sa compagne les règles ardues de la bataille, il ne les embêta pas. Ils prirent leur petit déjeuner tout les quatre.

Daniel (taquin) : Alors Teal’c, j’ai entendu beaucoup de gémissements cette nuit vous avez dû beaucoup rêver !

Teal’c (surpris) : Je n’ai cependant pas dormi cette nuit. A peine la lumière éteinte, je suis sorti pour visiter le village. Je me suis couché qu’il y a une heure. O’Neill et Carter dormaient alors à point fermé. (Shipper, merci qui ???)

Daniel jeta un regard suspicieux aux deux militaires, rougissant. Visiblement, eux non plus n’avaient pas beaucoup dormi. Jack tenta de les justifier.

Jack (bafouillant) : Ben, voilà, je ne m’étais pas rendu compte que Teal’c était sorti, et je ne voulais pas que Sam se perde lors d’une de ses crises de somnambulisme. Donc il fallait trouver un moyen de l’occuper. Et comme vous aviez pris les cartes, je n’ai trouvé que le sexe comme occupation. Je ferais tout pour la sécurité de mon équipe et pour ne pas perdre un de mes hommes. J’en ai parlé a Sam et elle été d’accord, donc, ce fut par devoir envers le major Carter et la devise de la base qui, je vous le rappelle est de ne jamais abandonner quelqu’un, que nous avons fait l’amour. (Y’a pire comme devoir…)
Daniel accepta cette explication, somme toute logique, et laissa tranquille les deux militaires, au grand soulagement de ces derniers, car, en vérité, ils n’avaient pas une seule seconde pensé à tout ça, seules leur attirance sexuelle et leur promiscuité été la cause de leur acte. Jack venait d’inventer cette excuse sur la minute, tout en lançant des clins d’œil fougueux et passionné à Sam. (Si, si les clins d’œil peuvent être fougueux et passionnés…je le jure)

Ils arrivèrent à la fin de leur petit déjeuner quand un grand cri les interpella.

Jiraru (effrayé) : Aidez nous, dans la mine de naquadah, le faux dieu Ment viens d’arriver et veut nous asservir dans son esclavage.

Jack (indifférent) : Du calme, on arrive. Bon, les enfants, on va les aider. Donc, vu qu’on est prévenus, on va s’organiser. Qui le tue cette fois ?

Daniel (extatique) : Je peux dites, je peux, je n’ai pas encore tué de faux Dieu moi ! (A vérifier)

Sam (coquine) : Jack si tu me laisses tuer le faux Dieu, je…

Elle lui murmura quelque chose à l’oreille, qui fit rougir Jack et qui lui fit mettre rapidement sa casquette au niveau de son entrejambe. (Il réagit vite pour un gars de son âge)
Jack (espiègle) : Alors, ce sera Sam, Daniel, ce sera pour la prochaine fois. Allez, prenez vos armes, on y va. (Aux Armes citoyens, Formez.…Elle est où la sortie ???)

Daniel se leva de table et marcha trois pas en arrière, boudeur. Teal’c glissa vers lui et lui mit un bras autour de ses épaules.

Teal’c (réconfortant) : Si tu veux, je te laisserai la moitié de mes Jaffas.

Daniel retrouva le sourire et fit un gros bisous bien baveux sur la joue de Teal’c. Il repartit avec entrain rejoindre les deux amoureux qui ne cessaient de s’embrasser tout en marchant, une main dans le pantalon de l’autre. (Va finir NC-17 ma fic si je continue ainsi)
Arrivés au niveau de la mine de naquadah ils s’allongèrent pour observer discrètement les lieux. Mais, comme il n’y avait aucun arbre, aucun rocher, ni aucun talus pour se cacher, leur position allongée attira l’attention de quelques Jaffa qui passaient par là, pour aller au marché, afin d’acheter des tomates. Les Jaffas les encerclèrent. (Euh….Je sors, pour le coup des tomates) (Ben quoi, c’est bon les tomates)

Jaffa (froid) : Je suis le prima de Ment. Vous êtes en état d’arrestation, tous ce que vous direz pourra et sera retenu contre vous.

Sam (défiante) : Vous avez un mandat.

Le jaffa fouilla ses poches et sortit un bout de papier officiel, frappé du sceau de Ment et où il y avait écrit dessus « mandat d’arrêt en l’encontre du Colonel Jack O’Neill, du Major Samantha Carter, Du Docteur Daniel Jackson et du Sholva Teal’c ».

En voyant cela les quatre membres de SG-1 se laissèrent passer les menottes. Cependant Jack se rebella quelque peu.

Jack (avertissant) : Je ne parlerai qu’en présence de mon avocat. (Désolé, je viens de le manger…Je trouve que cette porte est jolie, et si je sortais pour voir comme elle est de l’extérieur ???)

Faisant fi de ces mots, le Jaffa les conduisit dans le panier à salade. Durant le trajet qui les menait au palais de Ment, Daniel interrogea les gardiens.

Daniel (curieux) : Pour quel motif nous arrêtez vous ?

Jaffa (incertain) : Je crois que c’est parce que vous avez marché sur la pelouse de Ment.

Jack (scandalisé) : Quoi ? Et c’est un crime ?

Jaffa (raide) : Oui.

Le reste du voyage se passa dans le silence le plus complet, entrecoupé par les éternuements de Daniel, qui était allergique à la laitue, végétal précédemment transporté par le véhicule. (Qui est un panier à salade je vous le rappelle…La sortie ?)

Ils furent escortés jusqu'à la salle du trône au Ment siégeait, le visage contracté à cause d’une soudaine constipation.

Jaffa (Respectueux) : Maître Ment, voilà les prévenus.

Ment (méchamment) : Comment ça les prévenus ? Je t’avais dis de les ramener sans rien leur dire, pourquoi tu les a prévenus ?

Mécontent, Ment, envoya un coup de rayon de vélo (Désolée, tour de France) dans le cœur du Jaffa qui mourut sur le coup !

Puis, il se retourna vers SG-1

Ment (théâtral) : Je suis Ment.

Jack (sarcastique) : C’est quoi votre prénom, carré ? Juge ? Poli ?

Sam (joueuse) : Pure ? Joli ? Enormé.

Daniel (réfléchissant) : Parle ? Rillettes du ?  Calme ?

Teal’c (riant) : Ironique ? Catégorique ? Bourdonne ?

De fureur, Ment se leva et, comme réponse leur tira la langue.

Sg-1 se figea de terreur et arrêtèrent leurs jeux de mot faciles (l’auteur est en manque d’imagination, mais vous pouvez toujours m’envoyer vos propres jeux de mots, me ferais un  plaisir de les répertorier), sur le nom du Goa’uld.

Ment (sentencieux) : Puisque c’est ainsi je vais vous torturer !

Il fit appeler le  bourreau, appelé Débord.

Ment (présentant) : Je vous présente Débord, mon bourreau à moi qui m’appartient.

Jack (humoristiquement) : Vous êtes Débord de Ment ! (EXPLOSEE DE RIRE !!!!!!)

Ment (ordonnant) : Bourreau, fais ton office.

Débord (révérencieux) : Bien mon maître. Mes bien chers frères, en ce dimanche je souhaite faire mon sermon sur la famille. Moi-même, j’ai 7 enfants, Matt, Marie, Lucie, Simon, Ruthie, Sam et David…

Jack (Murmurant à Sam) : Je croyais que vous étiez la fille de Jacob ?

Sam haussa les épaules. Ment coupa Débord.

Ment (affolé) : Débord que fais tu ? Je te demande de les torturer, pas de faire la messe.

Débord (penaud) : Excusez moi. Je me suis trompé de script en entendant le double sens du mot office, voyez vous, je joue le rôle du révérant Camden dans la série 7 à la maison pour arrondir mes fins de mois.

Ment sauta sur place complètement désespéré. Puis, cruel, il tua le bourreau.

Jack (victorieux) : C’est une bonne chose de faîte Ma.

Ment (interrogatif) : Ma ?

Jack (haussant les épaules) : Ben oui, je cherche toujours vot’ prénom. C’est pas Ma ?

Ment, en eut marre et fondit en pleur.

Ment (sanglotant) : Ca me rappelle la maternelle tout le monde me donnait des surnoms idiots comme vous, mais ma maman voulait quand même que j’aille à l’école. Ce fut dur pour moi. (Je compatie…Ah ben non en fait)

Une esclave apparut et courut vers Ment.

Esclave (affolé) : Mon maître Ment ?

Sam (la détrompant) : Non là il a l’air sincère !

Jack (hâtif) : Sammy, chérie, c’est le moment !

Sam prit alors le couteau et profitant de la faiblesse de Ment, lui trancha la gorge. Puis, comme Jack lui avait laissé tuer Ment, elle lui fît ce qu’elle lui avait promis, c'est-à-dire lui donner la recette de son superbe soufflé au fromage. (Vous aviez pensé à quoi bande de pervers ???). Arrivés à la porte du palais de Ment, ils empruntèrent une voiture de Jaffa. Jack se mit au volant, Daniel à la place du mort, par habitude, c’est lui qui mourait tout le temps, Sam derrière Jack et Teal’c derrière Daniel. Jack alluma le gyrophare et roula à tombeau ouvert vers les mines de naquadah, ce qui déplut à Daniel car il ne fallait pas ouvrir les tombeaux sans précaution selon lui. Quand Teal’c lui expliqua que ce n’était qu’une expression qui signifia qu’on roulait très vite, Daniel fut heureux, et leva son sourcil gauche.(Et la je me fais rire toute seule…) Sam, embrassait la nuque de Jack. Lui, appuyait sur le champignon. (Faudrait quand même pas te prendre pour Alain Prost hein !) Quand ils passèrent un passage à niveau et que la voiture vola un peu, avant d’atterrir doucement grâce aux amortisseurs en naquadah caoutchouté, ils se mirent tous les quatre à chanter le générique de Starsky et Hutch. Arrivés devant les mines de naquadah, Jack fit un frein à main qui arrêta la voiture (C’est vous voyez pas se que c’est, demander moi, je vous l’expliquerais par mail), mais lança les cris de jouissance de Sam, qui adorait cela.

Ils descendirent de la voiture de Jaffa.

Jack (guide) : Mademoiselle, Messieurs, nous voici arrivés devant les mines de naquadah. Ce site est reconnu par toute la galaxie comme étant le plus prolifique. Aujourd’hui, il n’appartient plus à personne puisque notre Sam a tué l’ancien propriétaire, le seigneur Ment. La visite des lieux aura lieu demain matin, pour le moment, il se fait tard, nous allons nous coucher, en demandant à ses charmant ex-esclaves de nous héberger. Pour notre excursion de demain, je vous demande de prévoir des vêtements chauds ainsi que de nombreuses pellicules.

Daniel se gratta les cheveux. (Désolée, j’ai pas pu résister)

Daniel (inquiet) : ça ira ?

Jack (désabusé) : Je parler de pellicules photographiques Daniel….

Un esclave arriva intrigué par les quatre habitant de la Terre.

Esclave (agressif) : Qui êtes vous ? D’où venez vous ? Apparemment des montagnes, vu la neige présente sur l’épaule de votre ami. Que vous voulez-nous ?

Daniel (diplomate) : Voila.

Il sorti  nouveau son dictaphone et l’enclenchant, le message se fit entendre de nouveau. (Voir plus haut)

Esclave (méfiant) : Mouais, moi je suis Dinantain.

Jack (rassurant) : Bonjour Dinantain, nous venons vous libérez, et vous prévenir que Sam, viens de tuer votre maître Ment.

Dinantain (heureux) : Merci, Merci. Pour vous remercier, j’offre à la Terre la mine de naquadah.(Généreux le type)

Sam (éberluée) : Vous pouvez faire ça ?

Dinantain (fier) : Oui, je suis le chef des esclaves. Et puis, je vous offre à boire, à manger, le logement.

SG-1 accepta l’invitation. Ils mangèrent et burent avec les esclaves, riant, chantant des chansons paillardes, de la Terre et des autres planètes de l’univers. (Comment ils peuvent les connaitres ?) ( Le disque est dans les bacs chez les Noxs depuis Mardi dernier) Puis, ils allèrent se coucher.

Le lendemain, ils devaient reprendre le chemin vers la porte. Ils prirent le titre de propriété de la mine et partirent en marchant vers la porte, la voiture de Jaffa ayant plus de roue, elles avaient été volées pendant la nuit. (Plus aucun respect ses jeunes…On n’est plus en sécurité nulle part)

Arrivés devant la porte, ils firent le mini débriefing.

Jack (solennel) : Bien, récapitulons, nous avons tout un sac de relevés scientifiques, une alliance avec un peuple, Sam a tué un goa’uld, nous avons donc récupéré tous ses armements et enfin on a le titre d’exploitation de la mine de naquadah, bon boulot.

Sam (confirmant) : C’est tout à fais ça mon lapin.

Daniel (excité) : En plus, sur le chemin, j’ai trouvé une tablette à traduire.

Jack (mécontent) : Ouais, mais bon, on à plus qu’un seul GDO, on est sales, pas rasés, avec les mêmes vêtements depuis 3 jours, sans parler de l’état d’épuisement dans lequel nous sommes tout les quatre et tout ceci par votre faute Daniel.

Daniel (résigné) : Ouais, je l’expliquerai à Georges.

Sam (optimiste) : Bon, ce n’est pas si mal pour une mission dont on ne connaissait pas le but !

Jack lui fit un magnifique sourire et envoya Daniel faire le code.

Ils traversèrent la porte et se fut un général Hammond très souriant qui les accueillit.

Hammond (joyeusement) : Bonjour SG-1. Alors, comment avez-vous trouvé la planète que je vous ai choisie pour vos quatre jours de vacances ? (Je vous laisse imaginer la tête de SG-1)

 

FINITE (c’est de l’italien)

 

Pour les feedbacks, c’est ici gmainou@caramail.com

N’hésitez pas à me dire tout le mal, et pourquoi pas le bien, que vous pensez de cette fic. Personnellement, je suis très, très fière de la chute.  J’aimerais bien que vous précisiez la blague que vous avez préférée, qui vous a fait le plus rire !