Sandy O'Neill
Cheyenne Mountain.
Salle d’embarquement.
Quatre soldats étaient assis autour d’une table au pied d’un immense objet recouvert d’une bâche. Un cinquième les rejoignit
? : je commence à en avoir mare, j’ai pas de jeu ce soir. Allez tout le monde mise un dollar, allez toi aussi ma chérie. Un 7 sur un 2, pas grand chose, un as sur un 8, toujours rien d’intéressant, une reine sur un roi possibilité de quinte flush, hh une paire de 8, et un valet sur un as pour moi. A toi de lancer.
Bref, ils jouent au poker pendant leurs heures de service.
? : vous n’avez pas peur qu’un officier se pointe au milieu de la partie ?
? : alors là crois moi, y a jamais personne qui vient ici à part nous.
? : c’est normal que ça face ça ?
? : que ça face quoi ?
? : ce machin qui ce trouve sous cette bâche, je suis sûre de l’avoir vu bouger.
? : t’as rêvé, ce truc là coûte plein de pognon pour rien.
? : ouais, ça fait des mois que le projet à été complètement laissé à l’abandon.
La bâche se soulève par vague, comme si un courant d’air traversait la pièce pourtant isolée à 28 étages de profondeur.
? : je vous dis que ce truc à bougé.
? : écoutes, si t’as pas de jeux, tu te couches.
Mais la jeune femme intriguée, se lève de sa chaise et se dirige vers la passerelle.
? : bon ben alors, tu joues ou tu te couches ?
Elle ne répond pas, trop absorbée par ce qui se déroule devant ses yeux.
? : tant pis, on continue sans elle.
Elle avance de plus en plus, monte sur la passerelle et se rapproche de la bâche quand soudain toute l’installation se met à trembler, elle recule alors, effrayée, ses coéquipiers se lèvent et portent automatiquement leurs mains à leurs armes.
? : qu’est ce que c’est que ça ?
Le bruit est de plus en plus assourdissant, la bâche se met à voler laissant apparaître un immense anneaux de fer, à l’intérieur duquel un second tourne à toute vitesse, les chevrons s’allument, les cinq soldats sont effrayés.
? : c’est la première fois que ça fait ça ?
Un des soldats se dirige vers un téléphone lorsque une gigantesque vague aqueuse apparaît au centre de l’anneau, lui faisant lâcher le combiné, puis se stabilise, pour laisser place à un grand miroir d’eau, d’un bleu limpide et lumineux.
Les soldats, s’emparent alors d’armes automatiques et se placent en position de défense devant ce qu’ils ne connaissent que sous le nom du projet porte des étoiles.
La jeune femme, plus téméraire que ses amis, monte sur la passerelle et se dirige vers le miroir d’apparence aqueuse.
? : qu’est ce que tu fais ?
Mais elle ne l’écoute pas, et continue de s’avancer. Son collègue la suit alors sur la passerelle, l’arme pointé vers l’avant. elle s’arête devant la porte et au moment où sa main allait toucher la surface du vortex, un petit objet circulaire en sort et tombe à ses pied, à ce moment là, une lumière rouge en sort et la scrute comme si il voulait savoir à qui il avait à faire. Elle se baisse alors pour le ramasser.
? : qu’est ce que tu fais ? n’y touches pas ! !
Mais elle le ramasse et l’observe de plus près en se relevant.
A ce moment là, un homme vêtu d’un armure avec la tête en forme de serpent sort du vortex, la saisie à la gorge, la désarme et se sert d’elle comme d’un bouclier humain. Les quatre autres militaires braquent leurs armes en direction de l’intrus.
? : non ne tirez pas ! !
Là 7 autres personnes sortent du vortex vêtues de la même armure que le premier, un seul diffère pas le matériau de la sienne, qui parait plus luxueuse, de couleur dorée.
? : non de dieu, n’approchez pas ! !
Six des soldats sont positionnés sur la passerelle de façon à protéger celui à l’armure dorée et celui maintenant l’officier prisonnière.
Le haut de l’armure du personnage important s’ouvre laissant apparaître le visage d’un homme, rien n’aurait pu le distinguer d’un être humain, mais à sa façon de s’exprimer, les soldats comprirent que rien n’était joué.
? : Jaffa ! ! Kri ! !
Le haut de l’armure du soldat retenant la jeune femme s’ouvrit aussi, il portait une sorte de tatouage doré au milieu du front, un cercle comportant une sorte de serpent. L’officier essayait de se libérer en se débattant, mais elle n’en avait pas la force.
? : Teal’c, kri !
L’homme au tatouage doré regarda l’arme qu’il avait prise au soldat, puis celui qui venait de lui parler, on pouvait sentir de la colère dans ses yeux, il jeta l’arme par terre et présenta la femme à ce qui semblait être son chef.
? : non, ne me touchez pas !
Ce dernier la pris pas la nuque et apposa avec sa main gauche une lumière orangée sur son front, elle semblait envoûtée, et n’opposa plus aucune résistance.
? : relâchez là !
A ce moment là des coups de feux fusèrent de partout, les hommes en armure tirèrent avec leurs lances, celles-ci lançant des sortes de boules de feu.
Le guerrier au tatouage doré encercla la jeune femme de ses bras et se retourna pour la protéger. Les coups de feu continuaient, le chef des hommes en armure voyant un des sien tomber, fut des plus étonné, comme si il ne s’y attendait pas le moins du monde, il cria alors une chose à ses soldats (dsl j’ai pas compris cette phrase, à part qu’elle finissait par ‘’Jaffa ! !’’).
Un des militaire se précipita sur le téléphone : ‘’vite on est attaqué…’’ mais il n’eu pas le temps de finir sa phrase qu’il reçut un projectile dans le dos.
Tous les militaires tombèrent, seul l’alarme de la base rompait le silence revenu en salle d’embarquement.
? : kri, alak shmi ! (sais pas si ça s’écrit comme ça, c’est du phonétique, faudrait que je demande un dico à la MGM)
Dans les couloirs de la base, des dizaines de soldats courraient en direction de l’appel au secours, pendant ce temps là les extra terrestres repartaient déjà par la porte des étoiles. Les portes blindées de la salle d’embarquement s’ouvrirent laissant apparaître des soldats en position de tir, avec à leur tête un militaire portant sur son uniforme les galons de général dans l’armée de l’air. Lorsqu’il vit le soldat prisonnier il cria : ‘’ne tirez pas ! !’’, les yeux de l’homme en armure dorée se mirent à briller, et il partit par la porte des étoiles sachant qu’aucun mal ne lui serait fait avec un otage à ses côtés.
La porte se referma, ne laissant que le silence dans la pièce. Le général s’avança sur le devant de la passerelle, les yeux fixés sur la porte, il savait maintenant que ce n’était que le commencement d’une longue aventure semée d’embûche.
GENERIQUE (je vous ai détaillé la partie précédant le générique, car c’est à partir de là que tout est différent.)
Une voiture se gara devant une maison simple du centre ville de Colorado Springs, deux officiers de l’armée de l’air des Etats Unis en descendirent et se dirigèrent vers la porte d’entrée.
L’un d’entre eux sonna, et après quelques seconde une jeune femme blonde, leur ouvrit la porte.
? : oui ?
? : colonel Carter ?
? : à la retraite.
? : je suis le major Sammuels.
Carter : toutes mes félicitations major.
Sammuels : j’ai l’ordre de vous emmener voir le général O’Neill.
C : connais pas.
S : il remplace le général West. Il dit que c’est important, cela concerne la porte des étoiles.
Les yeux bleus de la jeune femme fixèrent le soldat qui lui faisait face. Elle était partagée, et ne savait pas quoi faire, elle avait travaillé deux ans pour le général West, avant de se faire poliment écarter du projet et de l’armée, et maintenant cette même armée venait la chercher chez elle toujours pour ce projet.
Sans grande conviction elle suivit le major Sammuels après avoir attrapé son sac et son long manteau de cuir noir.
Ils arrivèrent à la base vingt minutes plus tard, rien n’avait changé, tout était exactement comme dans ses souvenirs. Ils prirent un ascenseur, et elle se dirigea automatiquement vers le poste de garde pour signer la feuille d’entrée.
? : nous devons prendre un deuxième ascenseur mon colonel, nous ne sommes pas encore arrivés.
Carter : oui je sais, (voyant l’air interrogatif du militaire) je suis déjà venue ici.
? : oui, bien sûr.
Les portes du second ascenseur se refermèrent et il débuta sa descente vers le plus profond de la base.
Carter : mais où est passé Sammuels ? aucune importance, j’aimerai bien que cet officier arrête de me regarder comme ça, si il continu je vais l’envoyer valser, militaire ou pas. Et ce serait sympa si ils arrêtaient de m’appeler colonel, c’est pas dur pourtant, pro-fe-sseur, bande d’analphabètes. Ah ! ! c’est pas trop tôt, le 26eme niveau, tiens, revoilà Sammuels, un vrai panneau indicateur, voyons à quoi ressemble ce général.
Le soldat accompagnant le professeur Carter, se met en faction à la place du major et ce dernier frappe à la porte du bureau du général. On peut lire sur la porte : MAJOR GENERAL JONATHAN O’NEILL. Une voix leur répond d’entrer.
Dsl de vous interrompre mais à partir de là, pour plus de facilités dans les dialogues je vais utiliser des lettres pour désigner ceux qui parlent :
O : Jack A : Apophis et les autres…
C : Sam T : Teal’c
D : Daniel S : Sha’re
J : Janet Sa : Sammuels
Sa : le colonel Carter mon général.
O : merci major, rompez.
Le général O’Neill lève les yeux de son dossier à la sortie du major et découvre devant ses yeux une jeune femme qu’il n’aurait jamais cru aussi belle, bien sûr il avait vu sa photo dans son dossier, mais la réalité lui fit perdre tous ses moyens.
Sam de son côté était dans le même état, jamais elle n’aurait pu imaginer que le général de cette base avait autant de charme et de sex-appeal.
Mais tous deux se reprirent vite devant la gène de la situation.
O : asseyez vous colonel.
C : merci, mais je tiens à éclaircir un point, je ne suis plus colonel, général, j’apprécierais donc que vous et vos hommes cessent de faire comme si c’était le cas. Alors appelez moi professeur, pas colonel.
O : comme vous voudrez, dans ce cas là appelez moi Jack, pas général. Mais qu’est qui me prend de lui dire ça, je deviens taré moi.
C (embarrassée mais entrant dans son jeu en lui lançant un de ses plus beau sourire) : très bien, alors moi c’est Sam. Arrêtes de rougir Sam, t’es plus au collège. Pourquoi m’avez vous fait venir ?
O (reprenant son sérieux) : il y a de cela deux heures huit alien ont passé la porte, tuant quatre de mes homme et kidnappant un cinquième.
S : vous m’en voyez désolée, mais l’armée m’ayant remis à la vie civile il y a de cela trois ans, je ne savais même pas que vous aviez réussis à faire fonctionner la porte.
O : je le sais parfaitement, mais cependant vous restez notre meilleure experte en ce qui concerne la porte des étoiles, et l’armée vous laisse le choix de retravailler pour elle…
S (le coupant) : veuillez m’excuser, mais je n’ai nullement l’intention de reprendre du service.
O (souriant devant la ténacité de son interlocutrice) : si vous m’aviez laissé finir, je vous aurait dit que vous aviez le choix de rempiler ou de rejoindre le programme en tant que scientifique civile.
S : ça demande réflexion.
O : nous n’avons pas beaucoup de temps, mais venez, j’ai quelque chose à vous montrer qui devrait vous intéresser.
S (se levant à la suite du général) : je vous suit.
Ils se dirigèrent vers le niveau 21, où se situait l’infirmerie, avec sur leurs talons le major Sammuels.
Ils entrèrent dans l’infirmerie, où se trouvait une jeune femme, rousse, pas très grande, qui observait perplexe, les deux cadavres qu’elle avait devant elle.
O : Sam, je vous présente le docteur Frasier, médecin chef de cette base. Docteur voici le professeur Samantha Carter (il insista sur le mot professeur en regardant Sam dans les yeux ce qui la fit sourire).
J (lui serrant la main en souriant) : enchantée professeur.
C : moi de même docteur.
O : alors docteur, du nouveau ?
J (perplexe) : non mon général, ces personnes n’ont rien de différent de nous, si ce n’est cette poche ventrale similaire aux marsupiaux.
Sa (pour faire genre je suis intelligent) : comme les kangourous.
Tous les regards convergèrent vers lui.
O (ironique) : oh merci Sammuels, comme ça on est vraiment plus avancé.
Sam refoula tant bien que mal un rire, ce que Jack aperçu tout de suite, le faisant sourire à son tour, ainsi que Janet.
J : c’est tout ce que je sais pour le moment monsieur.
O : merci docteur, si vous trouvez autre chose, … ou plutôt quelque chose faites moi prévenir immédiatement.
J : à vos ordres.
Ils sortirent de l’infirmerie, laissant Janet en compagnie de ses cadavres, bien décidée à trouver quelque chose de concret.
O : alors qu’en pensez vous ?
S (soucieuse) : pas grand chose pour l’instant, mais …
Sa (la coupant) : mon général, avec tout le respect que je vous dois, il suffirait d’envoyer une bombe sur Abydos et le problème serait réglé.
Jack stoppa en plein milieu du couloir et le fixa, choqué.
O (limite colère) : écoutez moi bien, monsieur vaut mieux faire sauter tout ce qui bouge, (tiens elle a rit à ça aussi c’est bon signe) je crois que l’on en a déjà discuter, et le président a été très clair sur ce sujet, il est hors de question de tuer tous ces gens. De plus je ne suis pas sûr que le professeur Jackson qui est resté vivre sur cette planète soit d’accord avec le fait qu’on lui fasse exploser la tête.
Sa (pas fier) : mais …
O (le coupant) : … il n’y a pas de mais. Le sujet est clos, notre ami Daniel nous a renvoyé un très joli mot sur une boite de mouchoir, et une équipe d’exploration partira dans deux heures pour Abydos. Maintenant rompez !
Sa (encore moins fier qu’avant) : à vos ordre.
Il s’éloigna rapidement.
O (réfléchissant) : où est ce que j’en étais déjà ? ah oui ! alors vous acceptez ?
C (plongeant son regard dans celui de Jack, et lui souriant) : je crois bien que oui.
O (ravi) : parfait, venez, on nous attend en salle de briefing.
Quand ils arrivèrent en salle de briefing au niveau 27, plusieurs personnes les attendaient et se levèrent au garde à vous.
O : repos, asseyez vous, je vous présente le professeur Carter, qui à partir d’aujourd’hui rejoint le SGC en tant que scientifique civile. Sam, je vous présente le général Hammond, les colonels Ferretti et Kowalski et vous connaissez déjà le major Sammuels.
C (s’asseyant) : messieurs.
K (réfléchissant) : Carter,… Carter, … colonel Sam Carter ?
C : c’est exact colonel.
K : en lisant les rapports j’étais persuadé que vous étiez un homme. (voyant les regards étonné tourné vers lui). Oups encore une boulette, je parie que les autres ont lu son dossier. Heu … le Sam, ça peut prêter à confusion … non ?
C (souriant) : ne vous inquiétez pas colonel, je n’ai plus joué à la poupée depuis mes dix ans.
K (entrant dans son jeu) : G I Jo ?
C : non, le major Mat Misson (sais pas comment l’écrire)
K : qui ça ?
F : le major Mat Misson, la poupée astronaute munie de son petit parachute pour le faire voler.
O (amusé) : merci Ferretti.
F : de rien mon général.
H : excusez moi d’interrompre une discussion aussi passionnante, mais je viens d’arriver du Pentagone, et j’aimerai qu’on me tienne au courant de la décision du président.
O (se levant) : j’allais y venir général, nous avons longuement discuté, et il a été décidé qu’une équipe d’exploration composée de Ferretti, Kowalski, du professeur Carter et … (regardant les autres pendues à ses lèvres) de moi même, partirait pour Abydos.
Sa (étonné comme tous les autres) : vous mais qui va diriger la base en votre absence ? Ca ne peut être que moi, j’en étais sûr.
O (voyant où il voulait en venir) : ne vous inquiétez pas major, c’est la raison de la présence du général Hammond dans cette base. Vous ne croyez tout de même pas que j’allais vous laisser mon bébé pendant mon absence, vous seriez capable de tout faire sauter…
Les autres se mirent à rire, sans même essayer de le cacher.
C : il est génial, si il continue comme ça je vais faire pipi dans ma culotte.
O : elle a encore rit à une de mes blague, comme quoi je suis encore capable de faire rire.
Sammuels qui venait encore de s’en prendre pour son grade (c’est le cas de le dire), s’enfonça dans son siège et ne dit plus rien jusqu’à la fin du briefing.
O (attendant qu’ils se calment) : … donc comme je le disais, c’est la raison de votre présence général Hammond, nous avons pensé qu’il serait mieux que je me rende sur Abydos pour ramener le docteur Jackson sur Terre. Si personne n’a d’autre questions, rendez vous dans une heure en salle d’embarquement. Sam ! veuillez rester avec le général Hammond, je vous rejoins dans une minute.
Il s’éloigna quelques secondes dans son bureau et revint avec un dossier dans chaque main.
O : voilà, alors ça général c’est pour vous (il lui tendit le dossier le plus fin), ce dossier contient tout ce que vous aurez besoin de savoir en mon absence, comme vous pourrez le voir il n’y a pas eu de grands changements depuis votre départ. Et celui ci c’est pour vous (il tendit à Sam un dossier épais comme un Quid nouvelle édition), il récapitule tout depuis votre départ jusqu’à aujourd’hui. (voyant la tête de Sam) Je vous rassure ce n’est qu’un condensé.
C (souriant jaune) : merci.
O (se tournant vers Hammond) : général je vous laisse les rênes, on se revoit dans une heure, (puis s’adressant à Sam) vous venez ? je vais vous montrer vos quartiers, et les vestiaires pour que vous puissiez vous préparer. A tout à l’heure général.
H : à dans une heure Jack.
Le général regarda Sam et Jack sortir de la salle de briefing et se dirigea vers le bureau de ce dernier pour étudier le dossier qu’il venait de lui confier.
Jack préféra conduire Sam à son labo situé au niveau 19 pour commencer.
O : voilà votre laboratoire, si il vous manque quoi que ce soit dites le moi, et je ferais le nécessaire.
C : merci, je dois vous avouer que ça fait du bien de revenir.
O (lui faisant un sourire timide) : je vous crois sur parole. Venez, je vous conduit à vos quartiers.
Ils se dirigèrent encore une fois vers les ascenseurs qui les conduirent aux niveau 16.
O : et enfin vos quartier, c’est pas le grand luxe, mais y’a pire, j’ai demandé à ce que l’on vous prépare des tenues de camouflage et tout ce dont vous aurez besoin.
C (plongeant son regard bleu émeraude dans les yeux chocolat de l’homme qu’elle avait en face d’elle) : je vous remercie, c’est rare qu’un général s’occupe de ce genre de chose.
O (hypnotisé par les yeux de Sam) : disons que je voudrais être sûr que vous restiez avec m… nous. Essayes de ne pas tomber amoureux tout de suite Jack, … trop tard.
Ils se sourirent et se séparèrent à regret pour se préparer pour le départ.
Une demi heure plus tard, ils étaient tous réunis en salle d’embarquement, le sergent sous les ordres du général O’Neill déclencha la procédure de départ de la porte des étoiles.
O (au micro) : VOTRE ATTENTION, A PARTIR DE MAINTENANT ET CE JUSQU'A MON RETOUR LE COMMANDEMENT DE CETTE BASE REVIENT AU GENERAL HAMMOND. (se tournant vers l’intéressé) général, bon courage.
H (riant en lui serrant la main) : c’est plutôt à moi