Heure H –22h03, un couloir du SG-C, pas très loin des quartiers du Lieutenant Romanov.
 

Natalia venait de se changer et s’apprêter à rejoindre, Teal’C, le Colonel et Brat’ac pour mettre au point une défense efficace contre Nexus.

Au détour d’un couloir, elle percuta quelqu’un et failli tomber sur le sol. Heureusement la dite personne la retint.

 

-         Cela fait deux fois que je vous sauve dans la même journée.

-         K’lyn ? Que faite vous là ? Vous ne deviez pas repartir avec le Général Carter ?

-         Moi aussi cela me fait plaisir de vous revoir.

-         Ce n’est pas ce que je voulais dire.

-         Je sais, mais le Colonel O’Neill m’a conseillé de faire de l’humour dans certain cas, comme pour changer de sujet.

-         Il vous à dit cela ?

-         Oui, bien que je n’aie pas tout compris quand il m'a parlé de "noyer le poison", je ne vois pas comment un amphibien peut se noyer…

-         Laissez tomber…

-         Vous risquer de vous faire mal si je vous lâche.

 

Natalia s’aperçu qu’elle était encore dans les bras du Tok’ra. Elle s’empressa de se remettre droit et de prendre ses distances.

 

-         Désolé.

-         Il n’y a pas de mal.

-         Vous ne m’avez pas répondu, pourquoi êtes vous encore ici ?

-         J’ai… pensé que ma présence vous serez utile pour… élaborer un plan d’attaque efficace.

-         Vous avez laissé le Général Carter tout seul ?

-         Il peut se débrouiller sans moi.

-         Et que faite vous par ici ?

-         Je cherchais à rejoindre le Colonel, mais je crois que je me suis égaré.

-         Ce n’est vraiment pas la bonne direction, vous êtes complètement à l’opposé.

-         Vraiment ?

-         Curieux que vous soyez arrivé par ici.

-         N’est-ce pas ?

 

A ce moment un soldat arriva dans le couloir, il s’adressa à K’lyn.

 

-         Je vois que vous avez trouvé le Lieutenant Romanov. Mes explications pour vous orienter ne devaient pas être si mauvaises que cela finalement.

 

Le soldat continua son chemin.

K’lyn regardait en l’air, en prenant un air dégagé.

Natalia sur un ton ionique, avec un petit sourire :

 

-         Alors comme cela, vous vous êtes perdu ?

-         Et bien… Je commence à comprendre pourquoi le Colonel parler de "noyer le poisson".

-         Sans doute. Et tout cas il y a un chose qui est sur…

-         Que je suis un mauvais menteur ?

 

Natalia ne put s’empêcher de rire :

 

-         En effet. Mais une chose est vrai dans tout ce que vous m’avez dit : Vous m’avez sauvé la vie.

-         C’est tout naturel.

-         Peut être, mais je ne vous ai pas remercié. Comme je ne connais pas les traditions de votre peuple je vais donc vous remercier à la "mode terrienne".

 

Natalia s’approcha de K’lyn, se hissa sur la pointe des pieds pour être à bonne hauteur et déposa un léger baiser sur les lèvres du Tok’ra. Elle lui murmura un « merci ».

 

-         Est-ce que toutes les traditions de la Tauri sont aussi agréables ?

 
 

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Heure H –18h46. Une salle de réunion dans un des nombreux niveaux de la base.

           

O’Neill, Teal’C, Brat’ac, K’lyn et Romanov venait de passer plus de deux heures à mettre au point une stratégie efficace contre leurs adversaires. Malgré les quelques bonnes idées qui avaient été décidé d’être appliquer pour l’affrontement, l’évidence de leur impuissance face à un tel adversaire miner leur moral.

Jack bailla. Il jeta son stylo sur la table :

 

-         Nous faisons une pause, les enfants. Tonton Jack à besoin de se dégourdir les jambes.

-         O’Neill, nous venons à peine de commencer. Nous avons encore de nombreuse chose à voir avant le combat.

-         Désolé, Brat’ac, mais je réfléchis mieux le ventre plein.

-         Inutile d’insisté mon vieil ami, il ne changera pas d’avis.

-         Merci, Teal’C. Vous venez Lieutenant ? K’lyn ?

-         Et bien…

-         Allez-y, jeune gens, Teal’C et moi allons continuer seul.

-         Vous êtes sur ? Demanda K’lyn.

-         Puis qu’il vous le dit. Rajouta, O’Neill.

 

Teal’C leur fit un oui de la tête.

 

-         Très bien. Nous vous suivons, Colonel.

-         Soyez sage vous deux. Lança Jack envers les deux hommes.

 

Ils sortirent, laissant seul les deux Jaffa.

 

-         Quels êtres étranges, tes amis Tauri.

-         Ne te fis pas à leur apparence, comme tu as pu déjà le constater, ils sont pleins de ressource. Et malgré son apparente insouciance, le Colonel O’Neill est sans doute entrain de mettre au point un plan. Je suis sur qu’à son retour il nous en fera par.

-         Tu as raison… Voilà que l’élève donne des leçons au maître.

-         Comme quoi, tout arrive.

 
 

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Heure H –18h45. Base Tok’ra.
 

-         Selmak, c’est de la folie ! Vous allez tout droit au suicide ! N’y allez pas !

-         Garshaw, vous me demandez de laisser mourir ma fille, son futur époux et tous leurs amis ?! Il n’en est pas question !

-         Je ne vous demande pas de les laisser, mais d’abandonner cette idée stupide d’affrontement !

-         Nous n’avons pas vraiment le choix, je doute que notre adversaire soit d’humeur à faire du sentiment !

-         Gardez se ton ironique pour d’autre ! Il vous suffirait de trouvé un endroit sur le temps que les choses se calment. Nous sommes habituer à ce genre de situation avec les Grand-Maîtres !

-         Sauf que les Grand-Maîtres n’ont pas l’infime partie des capacités de ce Nexus ! Ou nous irons, il nous retrouvera ! Alors, allez vous laisser mourir quatre Tok’ra ou bien allez vous me donner ce que je suis venu chercher ?!

 

Dans un silence de mort, les deux Tok’ra se contentèrent de se regarder pendant de longues secondes. Et puis…

 

-         Vous s’avez bien que non… Venez.

-         Merci.

 
 

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Heure H –18h40. Laboratoire du docteur Carter, base de Cheyenne Mountain.
 

Sam était absorbé par son travail, elle fit un bon quant Jack arriva derrière elle.

 

-         Tu m’as fait peur.

-         Désolé. Tu en es où ?

 

Il la prit par la taille et elle passa ses bras autour de son cou.

 

-         Nous avons presque fini.

-         Nous ?

 

Deux têtes sortirent de derrière une des nombreuses table qui se trouvait dans la pièce.

Jack et Sam se séparèrent.

 

-         Bonjours Colonel O’Neill.

-         Sergent Siler, qu’elle bonne surprise. Et, vous êtes ?

-         Jonas Quinn.

-         Ha oui, vous êtes celui que SG-9 a ramené de…

-         Kelowna. Compléta, Sam.

-         Merci. Et qui a demandé l’asile politique.

-         C’est cela. C’est un honneur de faire votre connaissance. Samantha m’a beaucoup parlé de vous.

 

Il lui tendis sa main, mais Jack ne lui rendit pas le geste.

 

-         Alors comme ça "Samantha" vous a parlé de moi ?

 

Il insista bien sur le faite qu’il avait utilisé le prénom de sa fiancée. Le Sergent Siler, voyant que Jack n’appréciait pas vraiment Jonas, préféra détourner la conversation.

 

-         Hum… Pour répondre à votre question, l’arme est presque prête.

 

Ils s’approchèrent tous les quatre d’une table. Sur celle ci était posé une arme qui ressemblait à un fusil High-tech, tout droit sorti d’un film de Star Wars.

 

-         Et c’est sensé faire quoi ? Demanda Jack.

-         C’est un déstabilisateur multidimensionnel. Répondit Jonas.

 

Jack prit son expression voulant dire « Qu’est-ce qu’il me raconte là ? »

 

-         Sam ?

 

Elle lui fit un de ses grand sourire.

 

-         Et bien comme Nexus est un voyageur dimensionnel, nous sommes partis de la théorie qu’il doit être possible de le blesser grâce à une technologie utilisant le voyage entre les dimensions.

 

Elle désigna quelque chose à Jack. Celui regarda sur sa droite et put voir un appareil qui lui était familier : le miroir quantique.

 

-         Ha, d’accord. Et vous êtes sur que cela va marcher ?

-         Bien sur ! Lança Jonas.

 

Sam et le Sergent se regardèrent bien moins enthousiasme

 

-         D’accord, j’ai compris…

 

L’attention d’O’Neill fut attiré par autre chose. Une étrange ceinture bardée d’appareils. Le tout était sans aucun doute de conception Goa’uld.

 

-         J’ai déjà vu ça à quelque part.

-         C’est une autre surprise pour votre adversaire, mon Colonel. Nous pensons le confier au Lieutenant Romanov.

-         Et effet, tu l’as déjà vu. Cela appartenait à Nirti.

 

Jack reposa l’appareil.

 

-         Dites-moi Sergent, si vous alliez faire un tour, histoire de vous changez les idées.

-         Très bien, mon Colonel. Nous revenons d’ici une demi-heure ?

-         Plutôt une heure, disons même une heure et demie.

-         Mais Colonel O’Neill, nous avons encore du travail…

-         Sergent…

 

Siler attrapa Jonas part le bras et le tira vers la sortie.

 

-         Très bien monsieur. A tout à l’heure, docteur Carter.

-         A plus tard, Samantha.

 

Jonas lui fit un grand sourire. Jack le fusilla du regard, mais il ne s’en rendit pas compte, trop absorbé par le docteur Carter. Siler voulant éviter un massacre, il s’empressa de l’entraîner dehors, en fermant la porte derrière lui.

 

-         Enfin seul !

 

Ils s’enlacèrent.

 

-         Alors, comme cela, c’est "Samantha" ?

-         Seriez-vous jaloux, Colonel O’Neill ?

-         Juste méfiant des "gueules d’ange" comme lui.

-         Tu sais bien que je n’aie qu’un homme dans ma vie.

-         Oui, mais j’aime t’entendre le dire.

 

Ils s’embrassèrent. Jack commença à passer ses mains sous le T-shirt de Sam.

 

-         Jack, ce n’est pas sérieux. J’ai encore du travail.

-         Tu as dit avoir presque fini.

-         Oui, mais il faut encore que…

-         Haaa !! Pas de mais. Il te faut du repos pour être en forme.

-         Je ne pense pas que l’activité que tu as en tête soit très reposante.

 
 

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Heure H –18h20., Bureau du Général Hammond.
 

-         Entrez ! Lança le Général, à la personne qui venait de frapper à la porte.

-         Vous vouliez me voir mon Général ?

-         En effet, Major Worthington. J’ai une mission pour vous et le reste de SG-12.

 
 

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            Heure H -17h05. Couloir donnant accès au labo du docteur Carter.
 

Le Sergent Siler et Jonas Quinn revenaient de leur petit tour. Arrivé devant le labo de Sam, Jonas voulu ouvrir la porte mais celle ci était fermée.

 

-         C’est étrange. Le docteur Carter se serait absenté ? Pourtant il y a de la lumière.

 

En effet, de la lumière filtrée sous la porte.

Siler leva les yeux au ciel.

 

-         Jonas, vous avez encore beaucoup à apprendre de notre monde et en particulier tout ce qui concerne le docteur et le Colonel.

-         Comment cela ?

-         Venez avec moi, je vais vous expliquer.

-         Mais, et nos travaux ?

-         Venez, je vous dis. Le docteur n’est pas disponible pour l’instant.

 

Jonas suivit le Sergent sans comprendre où il voulait en venir.

 

 

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Heure H – 16h58. labo de Sam.
 

Sam et Jack étaient allongés sur le sol avec comme seul tapis de sol, leurs vêtements. Le dos de Sam était appuyé contre le torse de son amant. Celui-ci enlaçait sa compagne.

 

-         Tu crois que nous allons y arriver un jour ? Demanda Sam.

-         De quoi ?

-         A nous marier.

-         Tout est prêt. Il ne nous reste plus qu’à trouver du temps.

-         Justement, le temps nous manque. D’ici quelques heures nous serons…

-         Sam, ne dit pas cela, nous allons nous en sortir.

-         Jack, il faut être réaliste, contre un tel adversaire nous n’avons pas la moindre chance.

-         Chérie, je te jure que nous allons nous en sortir et nous nous marierons. Même Lantash est d’accord avec moi, c’est pour dire.

 

Sam ne put s’empêcher de rire. Mais très vite elle repris son sérieux.

 

-         J’aimerais te croire.

-         Très bien…

 

Jack se releva. Sam le regarda avec étonnement.

 

-         Habille-toi.

-         Jack ?

-         Tu veux avoir du temps pour nous marier ? Et bien nous en avons.

-         Quoi ?

-         C’est l’occasion ou jamais. Tous nos amis sont là et ton père ne devrait pas tarder à revenir.

 

Jack était en train de se rhabillé sous les yeux médusés de Sam.

 

-         Allez debout. Il faut que tu ailles te pomponner. Je vais envoyer quelqu’un chercher ta robe chez toi et je préviens tout le monde.

-         Mais nous n’avons personne pour nous marier.

-         Fait moi, confiance.

-         Tu es complètement dingue.

-         De toi…

-         …seulement. Oui, je sais.

 

Elle lui fit un large sourire.

 
 

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Heure H –16h50. Bureau du Général Hammond.
 

Jack rentra précipitamment dans le bureau sans frapper.

 

-         Colonel, qu’est-ce qui vous prend ?

-         Désolé, mon Général, mais c’est urgent. Vous avez toujours un cousin qui est juge et qui vit dans cet Etat ?

-         En effet. Mais pourquoi cette question ?

 
 

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Heure H –16h39. Mess.
 

            Quinn et Siler étaient assis à une table. Jonas semblait contrarié.

 

-         Donc vous comprenez pourquoi votre comportement envers le docteur Carter est déplacé. En particulier devant le Colonel.

-         Mais pourquoi personne ne m'a rien dit ? Cela m’aurait évité bien des désagréments.

-         Parce que tous le monde, moi y compris, pensaient que vous étiez au courant.

 

A ce moment là, Jack rentra à grande enjambée dans la salle. A l’arrivée du Colonel un des soldats lança un « A vos rangs, fixe ! ». Ce qui eu pour résultat de faire mettre au garde à vous l’ensemble de la salle, sauf Jonas, qui ne comprenait pas ce qui se passait.

 

-         Repos. Lança Jack. Faite comme si je n’étais pas.

-         Un problème mon Colonel ? Demanda un soldat proche de lui.

-         Non, non, tout va bien.

 

Jack parcouru du regard les membres de l’assemblée. Il aperçut la personne qu’il cherchait.

 

-         Hailey ! Appela Jack.

 

La jeune fille blonde se releva de son siége et se remit au garde à vous. Le Colonel lui fit signe de s’approchez

 

-         A vos ordres, mon Colonel.

-         Attrapez.

 

Jack lui lança quelque chose qu’elle rattrapa. Elle constata qu’elle tenait un trousseau de clef.

 

-         Mon Colonel ?

-         Ce sont les clefs de la maison du docteur Carter. Vous vous y rendez et récupérez sa robe de mariée qui se trouve dans sa chambre. Deuxième porte à droite en haut de l’escalier.  Hammond a prévenu la sécurité de la base de vous faciliter votre sortie et votre retour.

 

Jennifer Hailey ne semblait pas réalisé.

A ce moment Jonas Quinn s’approcha de O’Neill. Le Sergent Siler, qui présentait le pire, l’avait suivit.

 

-         Colonel O’Neill, j’en profite puisque vous êtes ici pour vous présentez mes excuses. J’ignorais que vous entreteniez une relation avec Samantha. J’ai vraiment étais stupide.

-         Jonas, comme vous pouvez le constater, je suis quelque peu occuper, là.

-         Ho, pardon. Bien sur, excusez-moi.

 

O’Neill se retourna vers Hailey.

 

-         Vous êtes encore là, vous ?

-         Pardon mon Colonel, mais j’ignore ou habite le Major… Pardon, le docteur Carter.

 

Jack leva les yeux au ciel.

 

-         Siler, vous lui servirez de chauffeur. Si j’ai bonne mémoire, vous s’avez où habite Sam.

 

Le Sergent réfléchit un court instant.

 

-         En effet, mon Colonel.

-         Alors c’est parti.

-         Pardon Colonel O’Neill, mais le Sergent, Samantha et moi-même devant continuer à travailler ensemble.

-         Vous devrez vous débrouiller seul. Sam non plus n’est plus disponible, pour l’instant.

-         Mais…

-         Haaaa !! Je ne veux plus vous entendre ! Allez-y Sergent, vous avez une heure.

-         Bien, monsieur.

 

Hailey et Siler partirent.

Jack allait sortir quant il se retourna vers Jonas.

 

-         Vous aviez raison sur une chose.

-         Vraiment ? Laquelle ?

-         Parfois vous êtes un imbécile.

 

Jack partie laissant Quinn déconcerté.

 
 

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Heure H –16h24. Infirmerie.
 

-         Doc., vous êtes là ? Appela Jack.

-         Ici, Colonel.

 

Janet sortie de derrière un paravent.

 

-         Que puis-je pour vous ?

-         Cassandra est par ici ?

-         Je suis là.

 

Elle sortit aussi de derrière le paravent.

 

-         Un problème, Colonel ?

-         Il faut que vous alliez vous préparer toutes les deux.

-         Nous préparer ? Pour quoi faire ?

-         Pour le mariage. Vous êtes bien demoiselles d’honneur toutes les deux, que je sache ?

-         Quoi ? Vous voulez dire que Sam et vous… ?

-         Oui.

-         Maintenant ?

-         Vous avez une heure.

-         Génial ! Lança Cassandra.

-         Mais je ne suis pas prêtes vous avez vu la tête que j’ai. En plus nous n’avons pas nos robes.

-         Je vais arranger ça. Où se trouve t-elles ?

-         Dans nos penderies, chez nous.

-         Vous cachez toujours la clef au même endroit ?

-         Et bien, oui…

-         Parfait. Allez vous faire belle, je m’occupe du reste.

 

Jack reparti aussi vite que venu.

 

-         Bon, un téléphone. Hailey et Siler vont devoir faire un détour…

 
 

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Heure H –16h12. Une Salle de réunion.
 

-         Mais que fait donc le Colonel ? Demanda Natalia.

-         Je suis là.

 

O’Neill rentra, une fois de plus, à grande vitesse dans la pièce.

 

-         O’Neill, où étiez vous passé cela fait plusieurs heure que vous êtes partie.

-         Nous avons continuez sans vous mon Colonel. Je pense que vous serez satisfait de nos idées.

-         Je n’en doute pas mais pour l’instant, j’ai plus important à vous dire.

-         Comment cela, O’Neill ?

-         Teal’C, vous avez les alliances que je vous ai confiées ?

-         Bien sur.

-         Parfait. Lieutenant, votre robe de demoiselle d’honneur est ici.

-         Heu, oui, dans mes quartiers…

 

Elle se leva précipitamment en affichant un large sourire.

 

-         Est-ce que vous voulez dire que… ?

-         Vous avez compris, allez vous faire belle. C’est valable pour vous trois aussi.

 

Teal’C qui affichait un petit sourire, inclina la tête en signe d’approbation.

 

-         O’Neill, que racontez-vous là ? Lança Brat’ac.

-         Je dois avouer que je ne comprends pas non plus. Rajouta K’lyn.

-         Teal’C vous expliquera. Il faut que j’aille me préparer. Rendez-vous à la Salle de réunion du niveau –21 dans trois quarts d’heure.

-         Trois quarts d’heure ! Bozeh moï ! Il faut que je me dépêche !

 

Et la Jeune fille partie en courant.