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Quelque minute plus tard, à l’intérieur du temple :
 

Le Colonel et Teal’C avancé prudemment à travers les colonnes du temple. Leur coordination de mouvement et leur compréhension gestuelle était hors du commun. Si quelqu’un qui ne les connaissait pas les avait vu évoluer ainsi, jamais il n’aurait cru que cela ne faisait pas plus de cinq ans qu’ils étaient équipier. C’est ce jumelage quasi-parfait qui leur avaient, jusque là, permis d’éviter les nombreux gardes Jaffa.

Teal’C s’arrêta. O’Neill fit de même et se positionna en situation de tire. Le jaffa déposa un paque de C4 dans l’ombre d’une colonne. Une fois sa tache finie, il vint s’accroupir prés de Jack :

 

-         Dite moi Teal’C, comment cela se fait-il que leurs défenses soient aussi mal foutu. Le couloir précédent était envahi de garde et là il n’y personne.

-         C’est parce que, à l’exception de la grande salle de réunion, tout le temple est diviser en plusieurs partie. Chaque Grand-Maître à donc ses "appartements privés", pour reprendre une expression de votre planète. Nous devons nous trouver entre deux zones. Aucun des gardes ne s’y aventure de craindre de rentrer dans le domaine d’un autre Grand-Maître.

-         Vous voulez dire que si l’un des Grand-Maîtres à un problème dans sa zone, du genre "humain", les autres n’irons pas voir ce qui se passe ?

-         Si cela ne met pas leur existence en danger, en théorie, oui.

-         Bon à savoir.

 

Jack fut interrompu par un appelle à son communicateur :

 

-         Jack vous m’entendez ? Répondez ?

-         Daniel ! Est-ce que le terme "silence radio" vous dit quelque chose !

-         Jack… ils ont capturez Sam et Rachel…

-         Quoi ! Mais qui ?! Lequel de ces serpents !?

-         Arès… Nous les avons vus passer non loin de nous. Elles vont bien pour l’instant et…

-         Jack ! C’est Jacob ! Il faut faire quelque chose !

-         Je sais, Jacob ! Je sais ! Vous, vous ne bougez pas ! On s’en occupe avec Teal’C !

 

Il y eut un léger blanc :

 

-         Très bien. Mais ramenez-moi ma fille et ma petite fille, entière…

-         Vous s’avez bien que je mourai pour elles.

-         Essayez de ne pas en arrivez-la…

 

Jack ne bougeait plus il semblait être plonger dans ses pensées. Teal’C le regardait sans rien dire. Il constata que des gouttes de sueur coulaient sur le visage du Colonel.

Puis au bout de quelque seconde il entrepris de reprendre contacte avec Daniel :

 

-         Daniel vous m’entendez ?

-         Oui, Jack, je vous écoute.

-         Votre dieu, Arès. Il est connu pour avoir un sens de l’honneur ?

-         Heu… Ca dépend…

-         Ca dépend de quoi ?!

-         Des versions. Dans certaine légende c’était un noble guerrier ayant un grand sens de l’honneur pour d’autre c’était le pire des barbares.

-         Et d’après vous, qu’elle est la version la plus fidèle au personnage ?

-         …

-         Laissez tomber…

 

Jack se tourna ver Teal’C. Ce dernier ne laissa pas le temps au Colonel de parler :

 

-         Je crois avoir compris ou vous voulez en venir O’Neill. Courageux, mais stupide.

-         Merci Teal’C. Allez rejoindre les autres. Si je ne reviens pas avec les filles faites tout sauter et quitter la planète.

-         Non, O’Neill. Je viens avec vous.

-         Teal’C, vous venez de le dire c’est stupide et sans doute suicidaire.

-         Peut être, mais je pourrai vous être utile. Je viens.

 

Jack regarda le visage d’ébène du Jaffa. Encore une fois il était fier d’être son ami :

 

-         Merci, mon ami. Allons-y.

 

Ils se mirent en route.

 
 

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"Appartement" d’Ares :
 

-         A genoux femme, devant votre dieu !

 

Comme à l’habitude Sam et Rachel reçurent un coût au niveau des jambes, ce qui les obligea à s’exécuter.

 

-         Seigneur Arès, nous avons capturé deux espionnes.

 

L’homme se leva de son trône. Il était d’une carrure d’athlète, la peau mate et les cheveux sombre qui lui tombé jusqu’au cou. Il portai une barbe très bien entretenue. Ses yeux étaient verts sauf quand, comme tous Goa’uld qu’il était, ils s’illuminaient.

Ils s’approcha des prisonnières. Il attrapa Sam au menton lui obligeant ainsi à tourner la tête à droite puis à gauche pour l’examiner :

 

-         Qui vous envoie ? Répond !

-         Personne. Répondit Rachel. Elle c’est Cendrions, moi Blanche-Neige et nous cherchons nos Princes-Charmant.

 

Arès la gifla.

 

-         Aïe ! En tous cas ce n’est pas toi, ça c’est sur…

-         Silence ! Peut importe qui vous envoie. Cette nuit j’aurais besoin de compagnie, vous ferait parfaitement l’affaire.

-         Jamais ! Hurla Sam. Plutôt mourir !

-         Cela dépendra de vos performances. Il se mit à rire.

-         Non, plus jamais ça… Murmura Rachel en sera les dents.

 

Soudain du bruit de fit entendre à l’extérieur et l’immense porte à double battant s’ouvrit laissant rentrer Jack et Teal’C entouré de Jaffa les menaçants de leurs armes :

 

-         Hé ! Doucement ! Protesta Jack alors qu’un Jaffa le poussait pour qu’il avance plus vite.

-         Papa !?

-         Jack !? Teal’C !? Mais vous êtes fou !?

-         Uniquement de toi, uniquement…

 

Malgré la situation, ils ne purent s’empêcher de se sourire.

Jack s’adressa à Arès :

 

-         Salut ma grande ! Tu dois être Arès ! Super ton costume, tu ferais fureur dans un groupe disco.

-         Rin'noc,  Humain ! S’écria un Jaffa

 
Un autre garde s’apprêta à le frapper, Are lui fit signe de s’arrêter. Jack continua :
 
-         Non mais sérieusement mon grand, comme dieu de la guerre tu repasseras ! A douze contre deux femmes désarmées… Houa ! Quel courage ! Quelle puissance divine !
 
Arès écoutait le discours de Jack. Il semblait amusé.
 
-         Je te propose de régler ça mano-a-mano. Toi contre moi là ! Maintenant ! Ici ! Un vrai combat d’homme à homme, à l’ancienne…
 
Arès éclata de rire. Toute l’assemblée resta médusée :
 
-         Tu me plais humain ! Cela fait longtemps que personne n’a eu le courage de me parler ainsi et encore moi de me proposer en duel ! J’accepte ton défi ! L’enjeu sera ces deux femmes et le Shol’va qui t’accompagne.
 
Teal’C fut encerclé par plusieurs Jaffa qui le menaçaient de leurs armes.
Arès s’adressa à son Prima en Goa’uld. Celui ci parti par une porte. Il fit signe au Jaffa de s’écarter pour faire de la place. Jack commençait à retirer son matériel pour se retrouver en une tenue plus pratique.
Le Prima revint, il tenait deux épées. Si Daniel était là, il aurait put leur expliquer qu’il s’agissait de glaive grec… Il tendit une des armes à son maître qui la pris, puis il s’approcha de O’Neill et lui tendit l’autre. Jack la pris.
 
-         Hé ! Nous avions parlé de corps à corps.
 
Arès ne fit pas attention à lui.
Teal’C, Sam et Rachel s’étaient reproché de Jack :
 
-         Pfff… Teal’C un conseille ?
-         Survivez O’Neill.
-         Merci Teal’C…
-         De rien.
-         Il ne fallait pas revenir pour nous c’est suicidaire.
-         Voyons Sam, un peu d’optimiste.
 
Elle enlaça Jack est l’embrassa plus "sauvagement" que les fois précédente :
 
-         C’est un acompte de ce que je te donnerais si… quant nous reviendrons.
-         Houa ! Si avec ça je ne gagne pas !
 
Il prit sa fille dans ses bras :
 
-         Bonne chance papa. Tu vas l’avoir !
-         Ha ! Enfin un peu d’optimiste, ça fait plaisir. Vous voyez Teal’C
-         Quoi qu’il se passe, O’Neill, sachez que ce fut un honneur de combattre à vos côtés.
-         Désespérant…
 
Jack s’avança vers Arès qui l’attendait déjà au centre de la pièce :
 
-         Alors nous sommes d’accord : Si je gagne tes gugusses nous laisserons partir ?
-         Tu as ma parole.
-         C’est drôle, mais je n’y crois pas….
 
Le Colonel s’avança vers Arès. Celui ci faisait bien deux tête de plus. Moins d’un mètre les séparé. Chacun toisait l’autre :
 
-         A faite ma grande, au sujet de ton costume… Il y a certaine partie qui protége pas. Tu en es consciente au moins ?
 
Jack avait à peine finis sa phrase que dans un mouvement, qui laissa Arès sur place, il se baissa de telle manière à se retrouver en position de frapper, avec son poing gauche, le bas ventre du faux-dieu, ce qu’il fit…
Ce fut le silence dans la pièce. Seul un gémissement du dieu de la guerre se fit entendre. Légèrement courbé, Arès avait mis ses mains sur la partie douloureuse de son corps. Il fit un pas en arrière. Jack profita de son effet : Il tendit son bras droit vers l’arrière pour prendre de l’élan et fit un mouvement horizontal. L’épée trancha, le sang gicla. A présent c’était la gorge que Arès se tenait.
Jack fit un pas en arrière et se mis en position prés à recevoir une éventuelle attaque… qui ne vins pas. Le Goa’uld tomba à genoux avant de s’écrouler dans une mare de sang. Ses yeux s’illuminèrent une dernière fois.
 
-         Suivant…
 
Aucun Jaffa ne bougea. Rachel et Sam se précipitèrent vers Jack. Teal’C les suivants.
Tous les Jaffa se regardèrent, complètement désemparé. Ils ne s’avaient plus quoi faire. Certain s’approchèrent du corps de leur dieu pour constater qu’il était bel et bien mort.
Sans prévenir deux personne firent irruption dans la pièce :
 
-         Que personne ne bouge ! S’écria Daniel.
 
Evidement tous les Jaffa levèrent leur lance de façon menaçante.
 
-         Haaaa ! On ne les touche pas, ils sont avec nous ! Ordonna Jack.
 
Les Jaffa portèrent leur regard sur celui qui était, jusque la, le prima d’Arès. Celui-ci leur fit signe de baisser leurs armes. Ils s’exécutèrent.
 
-         Daniel ! Jacob ! Je peux s’avoir ce que vous faite là ?
-         Ben, nous commencions à nous inquiéter… Et c’est Arès, là ?
-         Ce qu’il en reste.
-         Le Colonel O’Neill à employer une méthode de combat peut orthodoxe, mais efficace.
-         Merci Teal’C. Ne vous en faite pas Daniel, je vous rencontrais tout ça plus tard.
 
Il se tourna vers le Prima :
 
-         Bon ! Ben, ce n’est pas tous ça, mais nous avons un vaisseau à prendre.
-         Euh, non, Jack. Il va falloir utiliser la Porte des Etoiles.
-         Mmmm ?
-         Comme nous ne s’avions pas comment notre assaut allait se passer, Anise est partie avec… heu… nos amis.
-         Dans ce cas là direction la porte.
-         Nous vous escortons jusqu’au Shaapaï !
 
Tout le monde se tourna vers le Prima qui venait de parler.
 
-         Oui, mais alors la, vous voyez ce n’est vraiment pas nécessaire.
-         Tel est la volonté de notre maître ! Il n’y a pas à discuter !
 
Jack s’apprêtait à répondre quand il se ravisa : Après tout si cela les amusait. Il suffirait au dernier d’entre eu qui passerait la Porte des Etoiles d’appuyer sur le détonateur. Ils seraient à l’abri avant que les Jaffa ne réalisent qu’ils étaient les responsables de la destruction de leurs dieux.
 
-         D’accord mon grand, les volontés d’un mort c’est sacré… En route.
 
 
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Sur le chemin qui mène à la porte des étoiles :
 
Les six compagnons avançaient en direction du cercle de pierre, entourés de dix Jaffa dont le Prima. Daniel semblait préoccupé, Sam s’en aperçu :
 
-         Daniel quelque chose  ne vas pas ?
-         En effet, c’est possible.
-         Quoi encore ? Ne me dite pas que vous n’avez pas mis tous vos paquets cadeau et qu’il en reste dans votre sac.
-         Non Jack, ce n’est pas ça. Teal’C ? Jacob ?
-         Oui, Daniel Jackson ?
-         Un problème docteur Jackson ?
-         Existe t-il un Goa’uld du nom de Hadès ?
-         En effet, mais il n’est vraiment pas apprécier pas les autres Grand-Maîtres. Je ne pense pas qu’il soit venu à la réunion.
-         C’est ce que je craignais, Jacob. Je m’explique : dans la mythologie Grecque Arès avait un allié de poids en la personne d’Hadès…
-         Laissez devinez la suite : Les jaffas qui sont là, n’ayant plus de dieu, vont aller se mètre au service de l’allié numéro un de feu Arès… Commença Jack.
-         …et ils vont, bien entendu, l’avertir que c’est les humains qui l’ont tué… Continua Sam.
-         … et Hadès va forcement s’en prendre à la terre, par vengeance… Continua Teal’C
-         … ou par craindre de subir le même sort… Rajouta Jacob.
-         Ce qui nous ramène dans le problème numéro un : L’invasion Goa’uld. Conclu Rachel.
-         Exactement.
-         Donc vous s’avez ce que ça veut dire ? Ajouta jack
 
Oui, ils le s’avaient tous : Pas de témoin.
Jack sorti la télécommande du détonateur de sa poche. Jusque là, les Jaffas n’avait pas prêté attention à leur conversation, tant mieux, l’effet de surprise serait total. Il fit un signe de la tête a ses partenaires. Chacun d’entre eux porta la main sur son arme. La porte des étoiles était en vue, c’était le nomment….  Il appuya sur le détonateur. L’explosion du temple fut d’une telle envergure que la terre en trembla et le ciel s’enflamma un instant. Dieu sait ce que les Goa’uld cachaient dans ce bâtiment. En tout cas, cela avait provoqué une belle explosion.
Les Jaffas, surpris, eurent le réflexe de se tourner vers le lieu de l’explosion, oubliant du même coût SG-1 :
 
-         Feu ! S’écria le Colonel.
 
L’Enfer se déchaîna. Les tirs d’armes pleuvaient. Teal’C fit feu avec sa lance. Les Jaffa surpris, tombèrent les un après les autres. Quelques-uns un tentèrent de riposter mais ils n’eurent pas le temps de viser et leur coup ne portèrent pas.
Dans ce chaos un seul Jaffa, le Prima, garda son calme. Il visa… Teal’C, qui s’en aperçu pivota sur lui même pour lui faire face et tira… une fraction de seconde trop tard… Un corps tomba…
 
 
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Cheyenne Mountain :
 
Le septième chevron s’enclencha et, comme à l’accoutumé un geyser de lumières bleues apparu.
 
-         Réception d’un code mon Général… C’est SG-1 !
-         Ouvrez l’iris.
 
Il prit le micro :
 
-         Soldat tenez-vous prêt SG-1 sera peut être poursuivit et il faudra les couvrires.
-         Mon Général, se sont eux ?
 
Janet venez à grande enjambé de rentrer dans la salle de contrôle. Le général put lire l’inquiétude sur son visage. Lui-même, avait une certaine appréhension comme à chaque fois qu’une de ses équipes rentrées d’une mission dangereuse.
 
-         En effet, docteur.
 
Janet ressorti aussitôt de la salle de contrôle pour se précipiter dans celle de débarquement :
 
-         Docteur Fraiser, attendez !
 
C’était inutile. Le Général le savait : L’amour à ses raisons… Il décida de lui emboîter le pas. Tous deux se retrouvèrent devant la mare bleutée que produisait la porte.
L’inquiétude se fit, personne ne sembler arriver. Quand soudain une personne apparue : Le docteur Daniel Jackson était pal, il avait la tête des mauvais jours. Janet poussa un soupir de soulagement. Le Général fut lui aussi soulager mais l’expression de Daniel l’inquiéta :
 
-         Docteur Jackson, est-ce que tout va bien ?
 
Daniel ne répondit pas. D’un pas lent il descendit la rampe d‘arriver et avança vers Janet. Arrivé à son niveau, il la prit dans ses bras. Celle-ci, surprise, répondit à son étreinte. Daniel se contenta de lever la tête et de contempler le plafond.
Une nouvelle forme émergea du vortex. Teal’C, comme à son habitude, n’exprimait rien. Silencieusement, il descendit à son tour. Arrivé en bas, il ne donna aucune explication à un Hammond qui en était avide. Il se contenta de se retourner et de faire face au vortex.
Deux autres personnes apparurent. Jacob soutenait Sam, elle était en pleure. Le Major ne semblait pas blessé mais elle avait besoin de toute l’aide que son père pouvait lui apporter pour ne pas s’effondrer. Arriver en bas de la rampe, ils continuèrent à faire face à la salle de contrôle comme s’ils refusaient de se retourner. Teal’C porta un regard compatissant à Sam. Le Général lança un regard interrogatif à Jacob. Celui-ci lui répondit par un signe négatif de la tête.
Gorge Hammond porta à nouveau son regard vers la porte. Il en sortie le Colonel O’Neill. Il portait le corps de Rachel… Ses yeux étaient remplis de larmes… Les larmes d’un père qui venait de perdre sa fille…
 
 
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 Chicago, Minnesota :

-         Salut Charlie, c’est papa… Je te présente Sam.
 
Il prit sa main. Elle se colla contre lui et inclina sa tête pour l’appuyer contre l’épaule de Jack.
 

-         A coté de toi, c’est ta petite sœur Rachel. Elle a vécu des choses vraiment pas drôle dans sa vie. Si tu pouvais lui trouver un coin sympa là-haut, ce serait bien elle le mérite, tu sais… Rachel, J’ai été fière de t’appeler "ma fille" même si cela n’a pas duré très longtemps… Je t’aime… Je vous aime tous les deux…

 

Sam se baissa. Elle posa sur la stèle une photo jaunie, souvenir d’une époque heureuse…

 

-         La prochaine fois, murmura t’elle, je t’amènerais la même, mais celle la ne sera pas abîmé… Je t’aime ma fille… Grâce à toi, tout peut recommencer…

 
 
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Ailleurs et nul par :
 
-         Où est-ce que je peu bien être ? C’est bizarre ici…
-         Salut, Rachel.
 
Elle se retourne et fait face à un garçon n’ayant pas dix ans
 
-         Mais qui es-tu ?
-         Je suis Charlie, ton grand frère.
-         Tu… tu es Charlie ? Mais c’est impossible tu es mort ! Cela voudrait dire que…
-         Oui… Désolé.
 
Silence.
 
-         Mais, et mes parents ? Ils vont bien ?
-         Ne t’inquiète pas. Ils vont tous bien, grâce à toi. C’est d’ailleurs papa qui m’a demandé de venir te chercher.
-         Pour aller où ?
-         Vers un monde meilleur.
-         Alors c’est fini ? Je veux dire c’est la fin de l’histoire ?
-         Mais non. Que se soit pour papa, Sam ou même toi ce n’est pas fini. C’est juste la fin du chapitre. L’histoire elle, ne fait que commencer…
 
Il lui pris la main. Ils avancèrent vers cette immense clarté tellement aveuglante qu’elle empêchait de voir quoi que se soit, même l’avenir. Un avenir, qui grâce au sacrifice d’une jeune fille, était redevenu incertain…
 
 
 
Fin
Commencement…