Voila la fameuse scène NC17 qui n'est pas de moi mais d'une auteur fabuleuse, j'ai nommé Hermione
Voila je tiens à vous prévenir que la scène se trouve ici. Hermione, je te remercie de ce que tu as écrit et j’avoue sans toi lool que je serais encore à des années lumières. Bref, tout ça pour te dire que j’ai adoré lool.
La suite et fin de la fanfic malheureusement sera pour demain soir normalement. Peut être qu’une petite autre fanfic qui fait suite à celle là verra peut être le jour.
Et c’est l’un des plus longs chapitres de la fanfic
John & Elizabeth furent les deux derniers à rester ici.
" Je crois que nous n’avons pas le choix" lui fit le Militaire.
La jeune femme lui fit signe que oui et c’est d’un pas déterminé que les deux prirent le chemin à leurs quartiers.
La route vers leurs quartiers semblait long aux yeux d’Elizabeth et le noir des couloirs ne la rassurait pas plus que ça. Il fallait vraiment qu’elle voit le psy de la base pour essayer d’atténuer sa peur. Mais elle ne se voyait pas aller voir Heitmeyer et lui demander. Non la seule façon était de faire face à sa peur elle-même.
John avait recommencé à lui donner sa main, qu’elle accepta. Finalement le chemin qui les menaient ne semblait être sans embûche.
Elizabeth et son compagnon arrivèrent juste devant la salle de la porte des étoiles. Rodney était en train de s’expliquer avec celui qui contrôlait les ordinateurs ainsi que le pauvre Technicien, ce dernier semblait être prit entre deux feux, Rodney qui avait fait preuve de son sang froid auprès de l’ancien était sur le point de lui dire ses quatre vérités.
L’arrivé d’Elizabeth et de John et le regard noir qu’elle eut pour Rodney, lui fit prendre conscience qu’il fallait qu’il se calme devant eux, elle n’avait pas envie d’avoir le peu de relation que l’expédition avait avec eux partir en fumée.
" Rodney, qu’Est-ce qui se passe ?"
Le scientifique Canadien s’avança vers le Docteur Weir avec un demi sourire sur les lèvres. Il la fit aller juste devant son bureau. John les avaient suivit tous les deux.
" Il y a qu’ils sont à nouveau chez eux et qu’ils fouettent déjà le bordel, vous voyez ces appareils étaient très utiles et c’est grâce à eux que nous pouvions vivre et voila qu’ils ont décidés d’y toucher sans demander la permission"
" Je comprends tout à fait Rodney, mais comme nous le savons à présent, nous ne sommes plus chez nous, Atlantis leur appartient et vous devriez vous faire à cette idée"
" Je sais Elizabeth et je vais aller m’excuser auprès d’eux pour le peu de diplomatie que j’ai eu avec eux"
" Très bien Rodney, est-ce que vous avez besoin de moi ?"
" Non, je crois que ça ira et puis vous avez un chevalier servant juste à vos côtés"
Le scientifique lui fit signe en lui montrant John. Ce dernier se sentit mal à l’aise.
" Elizabeth, je crois que nous pourrions les laisser travailler en paix et je vous ramenait jusqu’à vos quartiers."
" Bien comme vous voudrez, d’ailleurs, il me semble que je n’ai pas trop le choix ?"
Elle fixa de ses yeux même s’ils ne pouvaient pas se voir dans le noir. Elizabeth prit congé du scientifique et finalement suivit le militaire à travers les dédales de couloirs d’Atlantis.
Une dizaine de minutes bien plus tard et ils se retrouvèrent sur le seuil des quartiers d’Elizabeth.
" Je voulait vous remercier pour cette soirée"
" Ce n’est rien Elizabeth mais je crois que la soirée n’est pas finie"
Elle regarda et se demandait ce qu’il voulait dire, la jeune femme n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu’il commença à l’embrasser.
Elle regarda et se demandait ce qu’il voulait dire, la jeune femme n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit qu’il commença à l’embrasser.
C’était la deuxième fois qu’il goûtait à ses lèvres si douces qui le faisaient tant rêver. Mais cette fois, il était en pleine possession de son corps et de son esprit. Ces lèvres, ces lèvres si pleines, il s’en délectait enfin. Il les savourait comme on savoure un met rare et délicieux.
Elizabeth ne s’y attendait pas. Ce baiser, ce baiser qu’elle avait tant espéré, tant attendu, se produisait enfin. Il était si doux, si tendre. La jeune femme ferma les yeux et se laissa aller. Mais rien qu’une seconde, le temps de se rendre compte de ce qu’elle faisait. Elle se détacha brusquement.
E (murmurant) : John, qu’est-ce que vous faites ?
J : J’embrasse la femme qui fait battre mon cœur.
Malgré le noir du couloir, le militaire décela le trouble de la dirigeante. Mais il ne vit pas les mains de Liz se poser sur son torse et… le repousser.
E : Non.
La jeune femme s’engouffra dans ses quartiers, laissant John perplexe. Avait-il été trop vite ? Sûrement ! Mais il ne voulait pas renoncer si vite. Elle avait eu peur, c’était évident, mais cela ne voulait pas dire qu’elle ne ressentait pas elle aussi quelque chose pour lui. Il se décida donc à tenter le tout pour le tout et entra dans ses quartiers pour lui dire la chose la plus difficile qu’il n’ait jamais eu à dire. Il allait lui dévoiler ses sentiments.
Elizabeth était près de la fenêtre, dans l’obscurité, dos à la porte. John se glissa dans la pièce comme une ombre et s’approcha de la jeune femme qui, perdue dans ses pensées, ne l’avait pas entendu entrer. Il se demandait comment faire pour lui dire. Il avait beau se triturer les méninges, rien n’y faisait. Il ne trouvait jamais la bonne formule pour lui dire ce qu’il ressentait. Alors il décida de faire confiance à son instinct et d’y aller tout simplement. Arrivé à quelques centimètres de la leader, il se décida.
J : Elizabeth ?Je vous ai fait peur ?
La jeune femme sursauta et se retourna. Les faibles rayons de la lune lantienne diffusait une douce clarté dans les quartiers de la jeune femme. A présent, elle discernait les traits de celui qui venait de l’embrasser.
E : John ! Je… non vous ne m’avez pas fait peur. C’est juste.. . cette obscurité qui me rend nerveuse.
J (se rapprochant) : Je peux peut-être faire disparaître votre anxiété ?
Il avait déjà déposé une main sur sa hanche et l’autre allait aussi rejoindre sa taille lorsqu’elle se dégagea à nouveau.
E : John, qu’est-ce que vous avez ce soir ?
Elle lui avait posé la question qu’il redoutait mais à laquelle il s’était juré de répondre ce soir.
J :: J’ai que… je… je vous aime Elizabeth et que … je ne peux plus le cacher. Je ne veux plus le cacher.
La dirigeante se retourna.
E : Vous vous rendez compte de ce que vous venez de me dire ?
J : Oui.
Il se rapprocha à grand pas.
J : Et je le redis je vous aime depuis ce premier jour en Antarctique. Quand je vous ai vu, je vous ai trouvé sublime. Et ensuite, je vous a trouvé intelligente, spirituelle, dynamique, optimiste. Vous êtes… la femme que j’aime Elizabeth.
La jeune femme ne savait plus quoi penser.
E : Pourquoi me le dire maintenant ?
J : Parce que dans moins de 48 heures nous serons de retour sur Terre et que je veux construire quelque chose avec vous là bas. Parce que cette situation m’a enfin donné le courage de faire face à mes sentiments. J’ai peur de vous perdre si je ne vous dis pas ce que j’ai sur le cœur.
La dirigeante restait muette. Elle ne pensait pas qu’il l’aimait à ce point.
E : John…
Mais elle sentit un doigt se poser sur ses lèvres. Elle observa l’homme se tenant devant elle. Elle put voir sur ce si beau visage de l’appréhension et dans ces yeux de l’amour. Tellement d’amour. Elle ne savait plus quoi dire.
J : Je veux jute savoir une chose : m’aimez vous ? Ou est-ce que je suis en train de me faire des illusions ?
Que répondre ? Elle ne le savait pas. Aurait-elle le courage de lui dire ce qu’elle ressentait ? Les secondes s’égrenaient et les mots refusaient obstinément de sortir de sa gorge. Au bout d’un temps, John se détacha d’elle et lui tourna le dos.
J (la gorge nouée par le chagrin) : J’ai compris, je ne vous importunerai plus.
Il allait faire un pas vers la sortie lorsqu’il se sentit retenir par la manche et retourner doucement. Il se laissa faire et sentit rapidement des lèvres se plaquer sur les siennes. Il entre ouvrit la bouche le premier, rapidement suivi par Elizabeth. Lorsqu’ils se détachèrent, ils étaient essoufflés.
E : Pardon de ne pas avoir répondu tout de suite. Je t’aime, comme je n’ai jamais aimé un homme.
Le militaire ferma les yeux et sourit. Ca y est, elle lui avait dit les trois mots qu’il rêvait qu’elle prononce. Lorsqu’il les rouvrit, la jeune femme resta interdite par la lueur qu’elle y décela. Une lueur d’amour mêlée de passion.
J : Elizabeth ?
E : Oui ?
J : Je voudrais t’aimer dans cette chambre cette nuit.
Elizabeth sentit son souffle se couper. Il lui demandait s’ils pouvaient être ensemble cette nuit. Mais le moment n’était plus au questionnement. Elle savait maintenant plus que jamais. Elle savait qu’elle voudrait être à lui. Alors… alors oui. Elle lui passa une main derrière la nuque tandis que l’autre se posait sur sa hanche. Il approcha automatiquement son corps du sien, posant ses deux mains sur sa taille.
Ils se regardaient, se cherchaient, puis John entama leurs ébats. Il se pencha et captura doucement les lèvres de sa supérieure. Le baiser prit de plus en plus d’ampleur. La passion les prenait peu à peu sous son aile et les mains débutèrent leur ballet. Le militaire les infiltra rapidement sous le t-shirt rouge de la jeune femme qui fit de même sous celui, noir, de son colonel. Ils se détachèrent un court instant, le temps de se débarrasser de leurs hauts qui devenaient plus que gênant.
John admira un instant ce qu’il avait sous les yeux et qu’il pensait ne jamais avoir la chance de contempler.
J : Elizabeth…
Ses yeux s’encrèrent de nouveau dans ceux de la dirigeante.
J : Tu me laisses faire ?
La jeune femme ne put que hocher la tête, trop nerveuse pour faire ou dire quoique ce soit. Nerveuse ? Non, plutôt excitée, trop excitée pour se décider à faire quelque chose.
John se pencha vers elle et descendit plus bas que ses lèvres, plus bas que sa gorge, là où son désir le menait. Lorsqu’il arriva sur la poitrine de la dirigeante, il l’effleura du bout des lèvres. Et la réaction ne se fit pas attendre. Elizabeth se mordit la lèvre et laissa échapper un soupir de plaisir. Le militaire sourit et parsema de baiser la peau de celle qu’il aimait. Ses mains, jusqu’à présent sagement poser sur sa taille, remontèrent pour dégrafer le petit bout de tissu en dentelle noire qui le gênait dans son exploration.
Le jeune homme se redressa et, tout en fixant Liz dans les yeux, fit glisser ses mains sur les fines bretelles du sous vêtement, révélant à la lumière lunaire deux des plus beaux trésors d’Atlantis. Il sourit en observant se buste si parfait. Il sentit sa respiration s’accélérer.
E : John ? J’ai froid.
Elle le regardait avec un amour mêlé de peur. Il le vit et comprit son appréhension. Il avait eu la même avant de se lancer. Mais il allait lui prouver qu’elle pouvait avoir confiance en lui, dans ce domaine comme dans les autres. Il retira son t-shirt et vint enlacer sa compagne. Ils tressaillirent tous deux à ce contact.
J : Tu veux toujours de moi cette nuit ?
E : Oui, j’en ai besoin.
Le militaire l’embrassa dans le cou et la prit dans es bras pour l’emmener sur le lit. Il l’allongea comme on allonge une poupée fragile qu’on ne veut pas briser puis se mit à califourchon sur elle et l’observa encore.
J : Tu veux que je sois comment ?
E : Sois… toi. Doux et tendre à la fois.
J (un petit sourire en coin) : C’est comme ça que vous me voyez Docteur Weir ?
La jeune femme acquiesça et sourit à son tour. Il savait trouver les mots et les gestes pour la mettre à l’aise. Son sourire s’estompa lorsqu’elle vit les yeux de son amant s’assombrir. Il se pencha vers elle et l’embrassa tendrement avant de bifurquer dans son cou puis sur sa poitrine. Il en explora les moindres détails, gravissant les dunes, taquinant les sommets de sa langue et les excitant de ses dents.
Elizabeth était électrique. Elle ne souvenait pas d’avoir jamais rencontré un homme tel que lui, attentif à ses moindres soupirs, se laissant guider par ses gémissements et ses crispations de plaisirs. En quelques secondes, il lui fit ressentir tant de plaisir qu’elle en cria.
John était plus qu’heureux de lui faire cet effet là. Et il commençait lui aussi à prendre beaucoup de plaisir, beaucoup trop pour garder le contrôle bien longtemps. Il décida alors de passer à la vitesse supérieure. Alors qu’il continuait de couvrir de baisers chaque parcelle de la poitrine de sa partenaire, il descendit une de ses mains à la frontière du pantalon d’Elizabeth et commença à l’infiltrer non seulement sous le pantalon, mais aussi sous le sous vêtement qu’il devina de la même couleur et de la même matière que le coquin soutient gorge que la leader arborait quelques instants auparavant.
Le colonel releva la tête une seconde pour voir s’il pouvait continuer dans ce sens. Le spectacle de sa leader fermant les yeux, la tête pencher en arrière et les lèvres serrer pour ne laisser échapper aucun cri le fit sourire et le conforta dans l’idée d’aller plus loin. Il abandonna donc provisoirement sa poitrine, ce qui lui valut un léger grognement de protestation. Il défit alors rapidement les boutons du pantalon d’Elizabeth et le lui enleva. La jeune femme se redressa et sourit devant l’empressement du militaire. Il allait revenir prendre ses lèvres lorsqu’elle l’arrêta d’une main et porta son regard vers son pantalon à lui. Le message était clair : que faisait encore cet élément indésirable sur lui ?
J : On serait coquine Docteur Weir ?
E : Possible.
John enleva prestement son vêtement et se recoucha sur Elizabeth, en prenant soin de se positionner sur ses avant bras pour ne pas l’écraser.
J : Je t’aime tant Elizabeth.
E : Je l’ai vu. Mais prouve le moi une fois pour toute.
J : Vos désirs sont des ordres Madame.
Le militaire descendit le long du corps de la diplomate, parsemant ça et là sa peau de brûlants baisers jusqu’à revenir à l’endroit qu’il venait de quitter. Il ferma les yeux et déposa un baiser sur le tissu noir gardant le dernier trésor d’Elizabeth, Graal que John avait longtemps cru hors de sa portée mais qui aujourd’hui ne demandait qu’à être pris.
Dès qu’elle avait sentit ses lèvres se poser à cet endroit, Elizabeth fut électrisée. Elle se cambra et se mordit la lèvre. Pourquoi la faisait-il languir à se point ? Mais il lui faisait en même temps tellement de bien. Elle sursauta lorsqu’elle sentit son dernier rempart tomber. Elle n’avait même plus la force d’ouvrir les yeux et de relever la tête pour savoir ce qu’il lui préparait. Car elle savait ce qu’il allait faire et cette seule pensées la faisait atteindre le sommet. La seule pensée de John en elle la mettait dans un état second.
John embrassa une nouvelle fois l’intimité de la jeune femme, cette fois mise à nue et se délecta de l’odeur de passion et d’envie qui se dégageait d’elle. Elle avait envie de lui, il en était certain. Elle était prête à l’accueillir. Enfin… Il se repositionna alors près du visage de la jeune femme.
J : Elizabeth ?
Elle ouvrit les yeux avec peine et se noya dans ce regard obscur de désir.
E : John… maintenant.
Le militaire ne se fit pas prier et posa ses lèvres sur celle de la dirigeante, étouffant ainsi leurs cris lorsqu’il entra enfin en elle.
Les peaux se frottèrent, se frôlèrent, se caressèrent le temps de leur étreinte passionnée. Les langues se mêlèrent, les lèvres décorèrent le corps de l’autre. Les soupirs firent place aux gémissements qui firent place aux cris de plaisirs.
Et lorsqu’ils parvinrent là où leur amour les mena au bout de longues minutes d’ascension, les corps se cambrèrent l’un contre l’autre avec force et passion.
John laissa retomber sa tête sur la peau moite de sa partenaire. Il l’embrassa avec fougue et se retira d’elle. Il resta au-dessus d’elle jusqu’à ce qu’elle ouvre les yeux. Leurs regards s’encrèrent une nouvelle fois.
E : Reste avec moi cette nuit.
John lui sourit tendrement et lui déposa un baiser dans le cou avant de se mettre sur le côté et de ramener les draps sur eux. Il lui ouvrit les bras et elle s’y pelotonna. Un dernier baiser dans les cheveux de sa belle et le militaire s’endormit, rejoignant la femme se sa vie dans le sommeil peuplés de rêves des amants comblés.
A suivre…